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Blogue de Montréal hanté #31 – Activité paranormale à l’Hôtel Bonaventure

Craignant que ce fût quelque avertissement ou signal préventif, la direction contacta la police tout de suite. François Lippé fut le premier policier arrivé à l’hôtel. Perplexe, il contacta ses supérieurs et leur demanda de venir voir eux-mêmes l’objet dans le ciel de Montréal. Le chef de police, Robert Masson, arriva vite sur les lieux et vit sur le champ l’objet bizarre en question.

Blogue de Montréal hanté #30 – Le Fantôme de Harry Houdini

Suivant un incident avec un étudiant de l’université McGill dans sa loge, la santé du magicien se mit à dépérir. Bien qu’il tentât de continuer sa tournée, il mourut à peine une semaine plus tard dans un hôpital de Détroit - à l’Hallow’en, quand même ! Aujourd’hui, les rumeurs courent que son fantôme hante différents sites à travers l’Amérique du Nord, incluant Montréal !

Blogue de Montréal hanté #29 – Boite de nuit hantée au 1234 rue de la Montagne

Un cas particulièrement effrayant eut lieu autour de 2005. Une femme soûle avait été avertie de ne pas monter au grenier. Ignorant le conseil, elle y entra quand même à l’insu du personnel. Peu après, ils entendirent un cri fort et hystérique. Hurlant à tue-tête, la femme, en sautant du balcon de la fenêtre du grenier face à la rue plus bas, plongea dans un état de terreur complète. Par chance, les videurs avaient pu l’attraper. Ils tentèrent de la calmer mais sans succès. Elle fut transportée en ambulance.

Blogue de Montréal hanté #28 – Le Cercle des professeurs de McGill

Le Cercle des profs de McGill est le genre de lieu où littéralement on entend des choses la nuit. Les portes des étages supérieurs claquent par elles-mêmes. Le personnel rapporte que l’ascenseur bouge parfois entre les étages, inexplicablement, sans passagers. Dans la salle des billards, les boules se déplacent seules, comme si des esprits invisibles y jouaient. Certains domestiques sont énervés par les nombreux portraits sur les murs : les yeux peints les suivent, affirment-ils.

Blogue de Montréal hanté #27 – Masion Pierre du Calvet

Des sources variées suggèrent que l’auberge soit hantée, que des apparitions de Marie-Louise Jusseaume et d’un brasseur de carte vêtu d’un habit du 19e siècle ont été vues à différentes occasions. Des invités rapportent entendre des voix désincarnées, voire des conversations. Un autre cas parle d’une empreinte profonde apparue sur le lit nouvellement fait de la chambre 1, comme si quelqu’un y dormait. Des lumières anormales ont aussi été photographiées dans la chambre..

Blogue de Montréal hanté # 26 – Le fort hanté sur l’ile Sainte-Hélène

Il y a plusieurs rapports de fantômes au musée. D’étranges apparitions ont été vues rôder ça et là dans les ombres. Le son des bottes fantomales peut être entendu parfois comme si des soldats en formation marchaient à l’unison. Des objets manquants, même des malaises et des essoufflements font partie des plaintes des visiteurs. Ajoutez à cela des brumes mystérieuses, des lumières étranges, des voix désincarnées, l’odeur inattendue de la fumée, c’est facile de conclure que le fort est très hanté.

Blogue de Montréal hanté # 25 – L’autostoppeur de l’Avenue Christophe Colomb

La fille, qui semblait soulagée qu’il s’arrêtât, s’assit immédiatement dans le siège du passager de la voiture. Elle était belle et grande avec de longs cheveux foncés. Il la crut dans sa mi-vingtaine. De toute évidence la fille avait froid et tremblait. Il lui demanda sa destination mais, mystérieusement, elle ne répondit rien. Il crut alors qu’elle ne pouvait parler, alors il lui offrit un stylo et papier. Elle y écrivit son nom et son adresse sur l’Avenue Christophe Colomb. Et, comme elle tremblait encore, il lui offrit son manteau de cuir pour se réchauffer, qu’elle accepta gracieusement, et qu’elle mit tandis qu’ils partaient vers le nord en silence.

Blogue de Montréal hanté #24 – Les bêtes invisibles de Montréal

Au début des années 1970, la famille Grey fit l’expérience d’un chat invisible chez eux, à Montréal. Le fait qu’ils sentaient et entendaient le félin sans jamais le voir est remarquable. Dans un cas, un jeune garçon de la banlieue de Roxboro adopta ce que ses parents pensaient être un ami imaginaire nommé Duke. Le garçon se fâchait si ses parents s’assoyaient sur le divan quand « Duke » y était. Au début, ses parents le taquinèrent, mais ils eurent le choc de leur vie quand un voisin les informa qu’une ancienne propriétaire avait eu un chien du même nom avant de mourir avec lui dans un incendie. Il semblerait que les animaux fantômes fassent partie du folklore de la ville de Montréal. Une seule question sans réponse demeure : pourquoi ?

Blogue de Montréal hanté #23 – L’ancien hôpital général de Montréal

Puis un jour quelque chose d’inexplicable se produisit. Le neveu, étant un gars curieux, explorait les coins de l’hôpital avant d’aller visiter son oncle. Se trouvant dans une chambre vide, il fut soudainement envahi par une odeur délicate, pénétrante et distincte. Un nuage lui apparut, et, pendant qu’il inspirait, il se mit à halluciner. Le plancher de linoléum s’était transformé en quelque sorte en bois. Soudain, inexplicablement, il vit du sang s’épancher autour de ses pieds. Cependant que l’odeur s’intensifia, il tenta de s’enfuir, mais il glissa dans la flaque de sang et tomba par terre. Paniqué, en frappant le sol, il vit aussitôt tout redevenir à la normale — ni sang, ni plancher de bois, ni odeur bizarre.

Blogue de Montréal hanté #22 – 1428 rue Stanley

"Ensuite, j’ai vu le regard des gens avec lesquels j’étais : le gérant et le propriétaire. J’ai vu leurs faces ; elles étaient blanchies et ils ne riaient pas. Ils étaient effrayés, perplexes et très secoués. Inutile de dire que le fun était fini. Moi, j’étais catégorique : il y avait certainement quelqu’un là- haut ; c’était évident. Ils m’ont dit que c’était impossible parce que, premièrement, les deux portes (pour accéder à l’étage supérieur) étaient verrouillées, enchainées, avec un cadenas pour plus de sécurité. Deuxièmement, l’étage en entier servait d’entrepôt pour un tas de chaises et de tables qui n’avaient pas servi depuis des années. Il y en avait beaucoup. Elles étaient toutes empilées.  Autrement dit, l’étage était bondé de tables et de chaises au point qu’il était impossible de s’y promener, encore moins d’y courir..."
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