Une série de troublants événements récents, tels qu’une tentative de sacrifice animal dans un cimetière et l’abandon d’un corps dans un parc naturel local, a incité Montréal hanté à enquêter sur Sault-au-Récollet. Situé à la limite est de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, Sault-au-Récollet est l’un des nombreux quartiers hantés de Montréal. Situé sur la Rivière-des-Prairies, il est l’un des plus anciens peuplements coloniaux de la ville.
Bienvenue au cent quatorzième volet du blogue Montréal hanté !
Avec plus de 600 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois !
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Ce mois-ci, nous nous penchons sur l’histoire dérangée de l’asile d’aliénés de Saint-Jean-de-Dieu et ses nombreuses horreurs et fantômes.
Recherche hantée
Peu d’endroits à Montréal sont aussi hantés que l’asile de Saint-Jean-de-Dieu. Établi en 1873 par les Sœurs de la Providence, l’hôpital psychiatrique a été conçu pour accueillir les « idiots », les « imbéciles » et les épileptiques.
Avec un historique marqué par l’exclusion sociale, des traitements débilitants et des incendies mortels, l’asile d’aliénés de Saint-Jean-de-Dieu a été décrit comme « l’un des endroits les plus funestes de l’île ».
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Aujourd’hui, l’établissement est encore en fonction, rebaptisé Institut universitaire en santé mentale de Montréal. Il n’est pas surprenant que l’hôpital soit le théâtre de nombreuses histoires de fantômes et de hantises documentées.
Compte tenu de la taille du campus de l’hôpital et de sa longue histoire trouble, ce blogue ne pourra qu’effleurer la surface de ses multiples horreurs. En effet, de nombreux articles pourraient être écrits sur les hantises de cet asile psychiatrique !
Le premier établissement pour malades mentaux de la ville fut le Montreal Lunatic Asylum, qui ouvrit ses portes en 1839 et occupa un étage entier de la tristement célèbre Prison de Montréal. Cependant, la cohabitation entre patients mentaux et criminels n’était pas idéale.
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Par conséquent, quelques années plus tard, le gouvernement provincial commença à subventionner des asiles privés destinés à accueillir les malades mentaux. Parmi ceux-ci, on compte l’asile de Beauport (1845), l’asile Saint-Ferdinand d’Halifax (1872), l’asile d’aliénés Saint-Jean-de-Dieu à Longue-Pointe (1873) et l’hôpital protestant de Verdun (1890).
Parmi ces établissements, l’asile d’aliénés de Saint-Jean-de-Dieu fut le plus controversé. Il fut également conçu comme le plus grand établissement psychiatrique du Canada à l’époque et reçut même le statut de municipalité sous le nom de Gamelin.
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Dès son ouverture, l’asile est un immense complexe. Il comprenait soixante-dix-neuf salles privées, vingt-sept pièces, deux infirmeries, vingt-trois salles à manger, cinquante et une chambres, cent cinquante cellules, une cuisine à deux étages et cinq garde-mangers.
Environ 400 malades mentaux y étaient hébergés dans les premières années. Les portes étant verrouillées et les fenêtres munies de barreaux, il était pratiquement impossible de s’échapper.
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En raison de la stigmatisation et des tabous de l’époque, la grande majorité des patients étaient « oubliés » par leur famille et ne recevaient donc que rarement, voire jamais, de visites. Il en résultait un isolement social à vie pour les patients couronné par leur décès à l’hôpital.
En outre, les corps des patients décédés n’étaient généralement pas réclamés. La loi obligeait les Sœurs de la Providence à remettre les cadavres dans les 24 heures à l’inspecteur provincial de l’anatomie. En effet, les hôpitaux psychiatriques constituent la principale source de cadavres humains destinés à la dissection dans les facultés de médecine du Québec.
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Saint-Jean-de-Dieu était également en proie à une grave surpopulation et peinait à répondre aux besoins de ses patients atteints de troubles mentaux. Beaucoup d’entre eux étaient rarement vus par un médecin après leur incarcération. À peine 30 % des patients libérés de l’établissement étaient considérés comme guéris, rétablis ou même stables.
En 1890, l’hôpital Saint-Jean-de-Dieu avait pris de l’expansion et comptait 1 297 patients, soixante-sept sœurs et une centaine d’infirmières dans le bâtiment principal.
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Malheureusement, un incendie dévastateur se déclara dans l’établissement le 6 mai 1890. L’enfer fit rage pendant la majeure partie de la journée et détruisit tout l’hôpital.
Au total, 86 personnes, pour la plupart des détenues, brûlèrent vives.
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Dans son édition du 18 mai 1890, The Dominion Illustrated rapportait que « le spectacle qui s’offrait aux yeux des personnes saines d’esprit et des aliénés était terrible. Il y avait encore des gens dans la partie centrale en feu et dans les sections adjacentes du bâtiment. Certains d’entre eux pouvaient être vus alors qu’ils se tenaient debout, serrant les barreaux de fer des fenêtres dans leurs mains et déchirant l’air de cris démoniaques. Riant, jurant, suppliant et priant ; chantant des chansons grossières et paillardes, regardant fixement la multitude excitée en dessous d’eux ; faisant des efforts vains pour arracher les lourdes barres de fer des fenêtres : insouciants et indifférents, impatients et pleins d’espoir, ils offraient un spectacle étrange et saisissant ».
Il a fallu une décennie entière pour reconstruire un établissement encore plus grand que l’original. Celui-ci était notamment doté d’une ligne de chemin de fer qui le reliait au réseau ferré.
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En juin 1898, l’hôpital fit l’acquisition d’une rame de voyageurs et de deux wagons de marchandises, et le service fut lancé.
Le nouvel aménagement comprenait également un système de chariots intérieurs qui circulaient sur des rails dans de grands couloirs et reliaient les différents pavillons de l’hôpital.
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Malheureusement, un autre incendie mortel se déclara le samedi 9 novembre 1935, dans l’une des ailes de l’asile d’aliénés de Saint-Jean-de-Dieu.
Comme l’indique l’édition du 11 novembre 1935 du Reading Eagle :
« Les responsables de l’hôpital ont déclaré que la cause de l’incendie ne serait probablement jamais découverte. Les pompiers ont émis l’hypothèse qu’un détenu pyromane était responsable, mais ont admis qu’ils étaient confrontés à une tâche presque impossible pour confirmer cette théorie. »
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La chronique se poursuivait ainsi :
« Quatre détenus atteints de troubles mentaux graves sont morts brûlés après que l’incendie s’est déclaré samedi soir, alors qu’ils avaient échappé à leurs gardiens et étaient retournés furtivement dans leurs cellules dans le bâtiment en flammes. Un autre détenu est mort d’un trouble cardiaque. »
Dans cette affaire, les religieuses auraient tenté d’éviter une enquête en invoquant le fait que l’hôpital formait une municipalité distincte. En effet, l’hôpital avait sa propre police et ses propres pompiers, même s’il n’y avait pas de résidents permanents en dehors des patients psychiatriques incarcérés.
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Au fil des années, l’hôpital continua de connaître de nouveaux problèmes, dont beaucoup étaient extrêmement déroutants, choquants et presque incroyables. Grâce aux progrès technologiques, la thérapie par électrochocs fut inventée en Italie en 1938 et se répandit rapidement dans d’autres institutions psychiatriques.
Saint-Jean-de-Dieu a commencé à administrer des électrochocs à ses patients, en plus de recourir à d’autres techniques douteuses telles que le perçage du crâne et la lobotomie.
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La période allant des années 1930 aux années 1960 a vu se multiplier les expérimentations et les abus psychologiques dans les institutions psychiatriques du monde entier. Certains des pires exemples se sont produits à Montréal, comme les expériences de lavage de cerveau financées par la CIA, y compris MKULTRA, au Allan Memorial Institute.
D’autres « expériences » psychologiques douteuses de l’époque étaient davantage basées sur des questions sociales et l’asile d’aliénés de Saint-Jean-de-Dieu était connu pour héberger un grand nombre de ceux que l’on appelait les « orphelins de Duplessis ».
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De 1935 à 1964, des milliers d’enfants orphelins furent abandonnés ou confiés à l’État par un parent ou d’autres membres de leur famille. Ces orphelins furent élevés dans des établissements tels que des crèches, des orphelinats ou des hôpitaux psychiatriques gérés par des congrégations catholiques.
On les appelait les « orphelins de Duplessis » parce que le premier ministre du Québec de l’époque, Maurice Duplessis, avait reclassé ces enfants comme « malades mentaux » et les avait envoyés dans des asiles psychiatriques dans le seul but de recevoir une subvention par enfant du gouvernement fédéral.
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Les résultats furent horribles quand des enfants en parfaite santé furent enfermés et traités comme s’ils étaient mentalement instables.
Dans l’édition de juin 2006 du Freedom Magazine, un article intitulé « The Child Protection Racket » (le scandale de la protection de l’enfance) a été publié. Il mettait en lumière l’expérience de Joseph Martin, qui avait 5 ans et demi en 1938 lorsque ses parents l’ont placé à l’Institut Buisonnet de Montréal. Il a ensuite été transféré à Saint-Jean-de-Dieu, où il est resté jusqu’en 1956.
À leur arrivée, Martin et d’autres enfants furent dépouillés de leurs effets personnels, notamment « bijoux, vêtements, photos de parents chers, argent et papiers d’identité ».
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Martin se souvient qu’en 1941, il fut témoin du meurtre d’un garçon de 10 ans battu à mort par deux gardiens. Dans l’article, il affirme que de nombreux gardiens étaient des criminels et que certains auraient sodomisé les plus jeunes détenus.
En outre, Martin a également affirmé que des enfants étaient utilisés pour des expériences médicales et des prélèvements d’organes. L’article affirmait :
« Pendant des années, selon Martin, trois enfants par semaine ont été victimes d’opérations au cours desquelles des organes vitaux tels que le cœur, les poumons, les reins et le foie ont été prélevés et vendus aux États-Unis. Un véhicule réfrigéré, gris et noir transportait les organes. »
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Martin déclara que les restes mutilés avaient été jetés dans des boîtes en carton, puis brûlés dans un énorme incinérateur à ordures ou enterrés dans le « cimetière de la porcherie » situé à proximité.
Le cimetière aurait reçu son nom officieux de « porcherie » parce que les religieuses s’occupaient de porcs et d’autres animaux de ferme dans la région. Cependant, d’autres théories sont plus atroces. Selon l’édition du 7 février 2024 du Mohawk Nation News, le cimetière s’appelait la « porcherie » parce que « des enfants autochtones et non autochtones morts auraient été donnés en pâture aux porcs ».
Plus de 2000 corps furent enterrés dans le « cimetière de la porcherie » avant sa fermeture en 1958, puis exhumés en 1967 pour être inhumés ailleurs.
Cependant, les ouvriers ne parvinrent pas à les retirer tous et de nombreux autres ossements furent découverts en 1975 lors de la construction d’un entrepôt de la SAQ destiné au stockage de boissons alcoolisées.
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D’autres restes humains furent découverts sur le site en 1999 lors de travaux d’agrandissement du stationnement de l’entrepôt.
En raison de tous ces scandales sordides, l’hôpital a changé de nom à deux reprises. En 1975, l’asile Saint-Jean-de-Dieu a pris le nom d’hôpital Louis-Hippolyte-Lafontaine. En 2013, il a été rebaptisé Institut universitaire en santé mentale de Montréal.
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En 2019, Kassandra Spooner-Lockyer, étudiante à la maîtrise, a présenté son mémoire intitulé « Evanescent Lives : Archival Dissolution in a Montreal Psychiatric Hospital » dans le cadre d’une maîtrise en anthropologie à l’université Concordia. Il convient de noter que l’autrice est une experte en hanthologie, c’est-à-dire « un ensemble d’idées faisant référence au retour ou à la persistance d’éléments du passé social ou culturel, comme à la manière d’un fantôme ».
Dans son mémoire captivant, Spooner-Lockyer se penche sur les dossiers médicaux de femmes souffrant de neurosyphilis à l’hôpital psychiatrique Saint-Jean-de-Dieu au début du XXe siècle. Elle soutient que l’histoire et l’hôpital les ont traitées différemment, car leur vie, leur corps, leurs traitements et leurs récits ont été réduits à néant.
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Elle révèle également des histoires effrayantes de patients incarcérés. Par exemple, une patiente s’est plainte aux médecins d’avoir vu des morts à sa porte pendant la nuit. Sa propre histoire de fantômes a été qualifiée d’hallucination par le personnel soignant.
Une autre femme admise en 1920 s’est fait demander par les médecins si elle entendait des voix. Elle a répondu : « Oui, depuis que j’ai été enfermée pour la dernière fois derrière une porte en fer sans serrure, ils ont changé mes pieds en ceux d’une bête et allongé mes mains ». On lui a diagnostiqué une « démence dégénérative » et elle est morte deux ans plus tard, à l’âge de 55 ans.
L’endroit hanté le plus connu de l’hôpital est peut-être la « tour des monstres ».
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En 2019, l’autorité sanitaire qui supervise l’hôpital, le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l’Est-de-l’Île-de-Montréal, a décrit la tour hantée sur son site internet.
Sous le titre « On l’appelle la tour des monstres », Marieve Paradis écrit :
« Elle n’a jamais eu de nom, contrairement à tous les autres bâtiments de l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal. Cette tour de briques rouges a longtemps stimulé l’imagination de la population locale. Dans les années 1960, le terrain de Saint-Jean-de-Dieu, ville autonome qui comprenait l’hôpital, était rempli d’arbres fruitiers. Et les enfants du quartier adoraient s’échanger des marrons. »
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Elle poursuit :
« Il fallait donc être courageux pour s’aventurer près de la tour des Monstres pour aller chercher des marrons. Lorsqu’ils sortaient du terrain de l’hôpital, les enfants racontaient ce qu’ils avaient vu : des ombres de têtes déformées et de prisonniers fous attachés ou enfermés dans des cages. Ils étaient dotés d’imagination fertile ! »
En juillet 2020, Radio-Canada dépêche le journaliste Vincent Maisonneuve à la tour pour tenter de percer ses mystères. Là encore, de nombreux cas d’enfants ont signalé des activités paranormales provenant de la tour, tels que des silhouettes fantomatiques et des cris désincarnés. Comme d’habitude, ces apparitions de fantômes ont été rejetées par les autorités comme étant le fruit d’une imagination débridée.
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Compte tenu de toutes ces histoires délirantes, il n’est peut-être pas surprenant que le journaliste local Kristian Grovenor ait décrit l’hôpital dans son Coolopolis Blog comme « l’un des endroits les plus maléfiques de l’île ».
Cependant, cette sombre et dérangeante histoire a eu un aspect positif.
Le 15 août 1961, les Éditions du Jour publient l’ouvrage précurseur Les fous crient au secours de Jean-Charles Pagé.
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Le livre contient le témoignage de Pagé, qui a été admis contre son gré à l’asile psychiatrique. Il y décrit sa quête pour être libéré.
Pagé insiste sur les traitements aberrants et les conditions de vie déplorables dans l’asile à l’époque, qu’il compare à une prison. Il décrit les mauvaises conditions de vie, le recours aux électrochocs, aux camisoles de force, à l’isolement et à la pharmacopée pour endormir les pensées et les comportements rebelles.
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Le livre suscite un tollé à sa sortie et une vaste campagne médiatique est lancée pour moderniser les soins psychiatriques au Québec. En réponse, le gouvernement commande le rapport Bédard, qui propose la décléricalisation des soins de santé psychiatriques et la désinstitutionnalisation des patients.
Ce rapport a marqué une étape importante dans l’évolution du traitement de la santé mentale au Québec. Il a permis à la grande majorité des patients d’être libérés des hôpitaux psychiatriques et de réintégrer la communauté, tout en continuant à bénéficier d’un traitement ambulatoire dispensé par des professionnels de la santé.
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En conclusion, il est indéniable que l’asile d’aliénés de Saint-Jean-de-Dieu (et ses changements de nom ultérieurs) est marqué par une histoire extrêmement trouble et oppressante. Avec ses nombreux fantômes et son histoire hantée, il n’est pas étonnant que certaines personnes pensent que c’est un endroit extrêmement maléfique.
Nouvelles de la société
Nous sommes heureux d’annoncer que notre saison de visites publiques fantômes en plein air reprendra début avril ! Les billets sont déjà en vente !
Avant de lancer notre saison, nous proposons la visite à pied de la Famine irlandaise à Montréal (en anglais) le samedi 15 mars !
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Découvrez Black ’47, l’année où 75 000 réfugiés irlandais fuyant la famine ont débarqué sur les quais de Montréal. La visite visite des sites clés associés à cette tragédie, tels que les emplacements des hangars à fièvre, des cimetières et des hôpitaux, offrant ainsi une histoire approfondie de l’impact de la famine irlandaise sur Montréal en 1847.
Dirigé par Donovan King, la visite à pied Irish Famine in Montreal propose également de la réalité augmentée pour ressusciter l’église Sainte-Anne, le cœur de la communauté Irish Famine de Griffintown !
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En attendant, Montréal hanté organise notre tournée des pubs hantés tous les dimanches à 15h en anglais. Pour les visites en français, celles-ci ont lieu le dernier dimanche de chaque mois à 14h.
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Vous pouvez également apporter l’expérience Montréal hanté à votre fête de bureau, à votre maison, à votre école ou à votre événement en réservant dès aujourd’hui l’un de nos conteurs fantômes en tournée.
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Écoutez quelques-uns des récits les plus effrayants de nos visites et de notre blog racontés par un acteur et conteur professionnel. Vous fournissez le lieu, nous fournissons les histoires et le conteur. Renseignez-vous et contactez info@hauntedmontreal.com
Notre équipe diffuse un samedi sur deux, dans les deux langues, des vidéos d’histoires de fantômes du Blogue de Montréal hanté. Animée par Holly Rhiannon (en anglais) and Dr. Mab (en français), cette nouvelle initiative plaira à coup sûr aux fans d’histoires de fantômes !
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N’hésitez pas à liker, vous abonner et activer la cloche !
Dans d’autres nouvelles, si vous voulez offrir à quelqu’un une expérience hantée en cadeau, vous le pouvez certainement !
Nous offrons des chèques-cadeaux Montréal hanté sur notre site Web et échangeables via Eventbrite pour l’un de nos événements en personne ou virtuels (sans date d’expiration).
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Enfin, et c’est important, nous avons ouvert une boutique en ligne pour ceux qui sont intéressés par la marchandise de Montréal hanté. Nous vendons des t-shirts, des aimants, des sweat-shirts (pour les nuits d’automne et d’hiver hantées) et des tasses avec le logo de Montréal hanté et les images de notre tournée.
Les achats peuvent être commandés via notre boutique en ligne : shop.hauntedmontreal.com
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De plus, Montréal hanté modifie son expérience de blog en raison d’un engagement sur un gros projet d’écriture !
Nous sommes également heureux de le dévoiler ce mois-ci ! Le livre s’intitule Haunted McGill et est écrit par votre serviteur, Donovan King ! Notre éditeur est The Stygian Society.
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L’Université McGill n’est pas seulement connue pour son prestige académique : elle abrite également certaines des histoires de fantômes les plus fascinantes de Montréal. Notre prochaine publication, Haunted McGill, explore les légendes étranges et les hantises réelles du campus, vous emmenant vers des monuments clés comme les portes Roddick et le bâtiment des arts, qui, selon la rumeur, abriteraient des esprits persistants.
Nous explorons également des liens troublants, notamment l’implication de McGill dans le développement de techniques controversées de lavage de cerveau dans les couloirs fantomatiques de l’hôpital Allan Memorial.
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Avec une carte de visite autoguidée détaillée, ce livre vous permet de découvrir le passé effrayant de McGill dans le confort de votre foyer, puis de partir avec des amis pour découvrir par vous-même les secrets cachés du campus.
Il s’agit d’une aventure unique en son genre que vous ne trouverez nulle part ailleurs ; une invitation à explorer la sombre histoire et les monuments mystérieux de McGill comme jamais auparavant.
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Que vous soyez amateur d’histoire, passionné de fantômes ou simplement à la recherche d’une sortie amusante, ce livre offre un mélange parfait de paranormal et d’historique.
Nous effectuons un financement participatif via le Scriptorium de la Stygian Society, les 25 premiers contributeurs recevant un exemplaire exclusif de la première édition, de magnifiques tirages d’art et d’autres trésors effrayants. Aidez-nous à atteindre notre objectif d’ici juillet et à sécuriser votre morceau de l’histoire hantée de Montréal. Ne manquez pas cette occasion : soutenez-nous aujourd’hui et rendez l’histoire un peu plus effrayante !
Jusqu’à leur publication, de nouvelles histoires sur le blog Montréal hanté seront proposées tous les deux mois, tandis que tous les deux mois, il y aura une mise à jour d’une histoire ancienne. Comme toujours, ces histoires et mises à jour seront publiées le 13 de chaque mois !
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Montréal hanté tient à remercier tous nos clients qui ont assisté à une marche fantôme, une tournée des pubs hantés, une enquête paranormale ou un événement virtuel !
Si vous avez apprécié l’expérience, nous vous encourageons à écrire une critique sur notre page Tripadvisor et/ou Google Reviews, ce qui aide vraiment Montréal hanté à commercialiser ses circuits.
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Enfin, si vous souhaitez recevoir le blogue de Montréal hanté le 13 de chaque mois, veuillez vous inscrire à notre liste de diffusion.
À venir le 13 mars : Mise à jour sur l’église Saint-Jean l’Évgéliste
La célèbre église au toit rouge de Montréal, nommément l’église Saint-Jean l’évangéliste, pourrait être définitivement fermée. L’église bénéficie d’un emplacement de choix au cœur du Quartier des spectacles et a la réputation d’être hantée par son fondateur, le révérend Edmund Wood. Le fantôme du révérend serait amical et susciterait des sentiments chaleureux chez ceux qui le rencontrent. Cependant, en raison de travaux de réparation urgents que la congrégation peut difficilement se permettre, les autorités ont envisagé en 2023 de mettre en vente cette église historique après avoir relocalisé la Mission Saint-Michel un an plus tôt. On craint maintenant que si l’église est fermée, le fantôme d’Edmund Wood ne commence à hanter d’autres endroits du Quartier des spectacles.
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Auteur :
Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.
Traductrice :
Claude Chevalot détient une maîtrise en linguistique appliquée de l’Université Mcgill. Elle est rédactrice, réviseure et traductrice. Depuis plus de 15 ans, elle se consacre presque exclusivement à la traduction littéraire et à la traduction de textes sur l’art actuel et contemporain.
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