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Bienvenue dans le quatre-vingt-sixième article du blogue de Montréal hanté !

Avec plus de 500 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois !

Ce service est gratuit et vous pouvez vous inscrire à notre liste de diffusion (en haut à droite pour les ordinateurs de bureau et en bas pour les appareils mobiles) si vous souhaitez le recevoir tous les mois le 13 ! Le blog est publié en anglais et en français !

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Enquête paranormale – Vieux cimetière Sainte-Antoine

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Ce mois-ci, nous explorons le vénérable hôpital Hôtel-Dieu de Montréal et ses histoires de fantômes racontées au fil des siècles !

Recherche hantée

L’Hôtel-Dieu de Montréal est l’un des hôpitaux les plus anciens et les plus hantés d’Amérique du Nord. Fondé en 1642 par l’infirmière Jeanne Mance, il a connu de nombreuses incarnations au cours des siècles et existe toujours aujourd’hui.

La fondation de cet hôpital colonial trouverait son origine dans un message divin reçu par Jérôme Le Royer de La Dauversière. Ce fervent collecteur d’impôts catholique de La Flèche, en France, faisait partie d’un mouvement religieux qui rêvait de coloniser la « Nouvelle-France » dans le but de convertir les indigènes au catholicisme.

Le 2 février 1630, à l’approche de son 33e anniversaire, Jérôme Le Royer se rend à la chapelle de Notre-Dame du Chef du Pont à La Flèche pour la fête de la Purification. Pendant la communion, Le Royer entend une voix divine intérieure, qui lui donne des instructions :

« Mon fils, consacre-toi, avec ta femme et tes enfants, à la Sainte Famille. Tu fonderas un ordre de religieuses que tu consacreras à mon père adoptif, Joseph. Ces religieuses iront à Montréal, au Canada, et y fonderont l’Hôtel-Dieu. »

Jérôme Le Royer est tellement inspiré par ce message de l’autre monde qu’il décide de fonder « La Société Notre-Dame pour la conversion des peuples sauvages de la Nouvelle-France ».

Cette organisation coloniale commence à recueillir des fonds et à rassembler des partisans dans le but d’établir une colonie française sur le territoire mohawk de Tiohtià:ke, appelé « île de Montréal » par les Français.

Le Royer établit également l’ordre des Religieuses Hospitalières de Saint-Joseph, pour fonder l’hôpital de l’Hôtel-Dieu. Il recrute une jeune femme nommée Jeanne Mance pour avoir la charge du projet. Il choisit également un chef militaire nommé le Sieur de Maisonneuve pour gouverner la colonie.

Une fois l’équipe de colonisation assemblée, elle s’embarque sur l’Atlantique pour rejoindre la ville de Québec en 1641. Après avoir passé l’hiver dans la colonie, en mai 1642, elle part pour coloniser Tiohtià:ke. Les Français possèdent un avantage, car le peuple mohawk ne se trouve pas dans cette partie de leur territoire à l’époque.

Il est important de noter que les colons catholiques sont terrifiés par le Diable et ses sbires maléfiques. Ils croient que les démons ont pour mission spéciale de harceler et de contrecarrer tout projet chrétien, surtout les œuvres de charité et de compassion comme les hôpitaux, les orphelinats et les refuges.

Dès leur arrivée, les colons français tirent de leurs canons pour essayer de faire fuir les démons présumés. Le Père Vimont, un prêtre jésuite qui fait partie du groupe qui fonda la ville, écrit : « Le tonnerre du canon se répercutait sur toute l’île. Les démons… étaient sans doute désemparés par ce bruit qui témoignait de l’amour que nous portons à notre grande dame. » La grande dame est la Vierge Marie, et les colons religieux nomment leur ville « Ville-Marie » en son honneur.

Avec la construction de la colonie de Ville-Marie, Jeanne Mance crée un hôpital rudimentaire en 1642 à l’intérieur de la palissade du fort.

Lorsque le premier hôpital en pierre est construit en 1645, Jeanne Mance fonde officiellement l’Hôtel-Dieu de Montréal le 8 octobre, comme le confirme un brevet du roi Louis XIV de France.

Lorsque la Première Nation Mohawk se rend compte que Tiohtià:ke a été colonisée, une guerre totale a éclaté avec les Français. En 1649, l’hôpital a été brièvement fermé et converti en installation militaire.

L’hôpital prend de l’expansion lorsque deux chirurgiens arrivent de France en 1653 et que les autorités commencent la construction d’une chapelle sur le site. Cependant, la catastrophe survient le 22 février 1695, lorsqu’un mystérieux incendie réduit l’hôpital en cendres. Les autorités attribuent le brasier à l’œuvre d’un démon.

Alors qu’elles reconstruisent l’hôpital, les infirmières militaires se plaignent de l’arrivée du même démon qui les terrifie.

Elles prétendent qu’il court dans l’hôpital la nuit, une grosse bougie à la main. On peut voir le démon se précipiter de fenêtre en fenêtre, effrayant les passants de la rue Saint-Paul.

Le démon produit également un horrible vacarme en jetant des piles de matériaux de construction dans les escaliers de la cave. Parfois, on peut l’entendre travailler toute la nuit avec une hache et une scie, comme s’il était charpentier.

Certaines des nuits, le démon galope sur le toit comme un jeune cheval fringant ou arpente le dortoir, claquant le plancher comme s’il portait des chaussures en bois. Finalement, il fait rouler un grand tonneau dans les escaliers avant de partir terroriser d’autres lieux.

Dans un autre cas, un prêtre nommé Père de Fancampt prétend avoir été visité par un démon sur son lit de mort à l’hôpital de l’Hôtel-Dieu. Le démon le nargue et tente de l’amener au purgatoire, alors le Père de Fancampt refuse de mourir jusqu’à ce que le démon soit exorcisé par un autre prêtre.

L’hôpital brûlera à nouveau le 19 juin 1721. Lors de la célébration du Corpus Christi, des soldats tirent une salve en l’air. Une balle atteint l’Hôtel Dieu, déclenchant un incendie dévastateur qui détruit l’hôpital et brûle 138 maisons.

Un troisième hôpital est bientôt construit, mais il ne durera pas très longtemps.

La troisième incarnation est détruite par le feu le 10 avril 1734 et une femme esclave nommée Marie-Josèphe Angélique est accusée d’incendie criminel.

Le feu se déclenche sur le côté sud de la rue Saint-Paul et se propage très rapidement. Il est si intense que les forces de l’ordre ne peuvent s’en approcher. En raison d’un fort vent soufflant de l’ouest, le feu atteint et détruit quarante-six maisons ainsi que l’hôpital Hôtel-Dieu en moins de trois heures. La moitié de la ville est complètement en ruines.

Des rumeurs circulent qui veulent qu’une esclave nommée Marie-Josèphe Angélique ait mis le feu dans le grenier de la maison de sa maîtresse, une certaine Madame de Francheville, rue Saint-Paul. Même le crieur public annonce qu’elle est l’incendiaire.

Malgré l’absence de témoin, Marie-Josèphe Angélique est arrêtée et jugée pour incendie criminel. Une vingtaine de colons se présentent devant le juge. Tous sont convaincus que l’esclave de la veuve Francheville est coupable, pourtant aucun d’entre eux ne l’a vue mettre le feu. Elle est déclarée coupable par le juge et condamnée à avoir la main coupée, puis à être brûlée vive sur les lieux de l’incendie, ses cendres étant dispersées au vent.

Cependant, toutes les peines de mort en Nouvelle-France sont automatiquement portées en appel auprès du gouverneur à Québec. Le gouverneur examine le cas et l’estime trop cruel. Il réduit la peine : sa main ne serait plus coupée et au lieu de la brûler vive, elle sera d’abord pendue, puis son corps jeté sur le bûcher funéraire.

Elle est forcée de porter un nœud coulant autour de son cou et de tenir une torche en bois allumée, pesant deux livres en souvenir de son présumé crime.

Arrivée à l’endroit où se trouvait la maison de Madame Franchville, Marie-Josèphe Angélique grimpe sur un échafaudage sous lequel se trouvent des piles de bois de chauffage. Elle est ensuite pendue, puis un grand bûcher funéraire est allumé. Son corps est découpé et jeté dans le brasier. Une fois son corps incinéré, ses cendres sont dispersées au grand vent.

Aujourd’hui, le fantôme de Marie-Josèphe Angélique est probablement le plus connu du Vieux-Montréal. Non seulement de nombreuses personnes l’ont aperçue boitant dans les rues, vêtue d’une longue robe blanche, une torche à la main, mais son histoire est également présentée dans le cadre d’émissions de télévision comme Creepy Canada.

Le quatrième hôpital Hôtel Dieu est alors construit. Ce serait la dernière structure et la plus durable sur le site original.

En 1784, les autorités religieuses sont ravies lorsqu’un officier militaire nommé James Singer fait don de son esclave Dianne à l’hôpital de l’Hôtel Dieu avant de retourner en Angleterre. Les infirmières militaires sont si reconnaissantes de sa « générosité et sa pieuse charité » qu’elles promettent de prier à jamais pour sa santé et sa longévité.

En 1836, l’hôpital fait l’objet d’un scandale lorsque le livre Awful Disclosures ou The Hidden Secrets of a Nun’s Life in a Convent Exposed de Maria Monk est publié. Cet ouvrage prétend révéler des abus sexuels systématiques de nonnes et les infanticides qui en résultaient par des prêtres catholiques dans le couvent et à l’Hôtel Dieu. Dans ce livre, Monk affirme que les nonnes des Religieuses Hospitalières de Saint-Joseph, qu’elle appelle « les Nonnes Noires », sont forcées d’avoir des relations sexuelles avec les prêtres du séminaire voisin. Les prêtres entrent soi-disant dans le couvent par un tunnel secret.

Si un bébé résulte de l’union sexuelle, les prêtres le baptisent, puis l’étranglent et le jettent dans une fosse à chaux au sous-sol. Les nonnes qui refusent de se plier à ces pratiques « disparaissent ». Largement considéré comme un canular anticatholique, le livre fournit même une carte du terrain avec le tunnel secret fictif reliant l’hôpital au séminaire.

En 1861, l’hôpital de l’Hôtel Dieu déménage dans un nouvel emplacement sur les pentes du mont Royal, marquant ainsi sa cinquième incarnation. Non seulement les religieuses et les patients vivants déménagent-ils dans le nouvel hôpital sur la montagne, mais tous les corps des religieuses décédées sont également transférés dans la chapelle du nouvel hôpital . Au total, 178 nonnes sont décédées au cours de deux siècles, mais seuls 23 cercueils sont requis pour transporter toutes leurs dépouilles, car de nombreux os sont réduits en poudre. Ces restes s’y trouvent toujours, y compris le squelette de Jeanne Mance.

Le campus de la montagne de l’hôpital Hôtel Dieu servira les Montréalais pendant plus de 150 ans. Il est le témoin de tout, des épidémies de variole et de grippe espagnole au diagnostic du premier patient atteint du sida au Canada. L’hôpital est le théâtre d’innovations médicales, de la guérison de centaines de milliers de patients et de la mort de nombreux autres.

On dit aussi qu’il est hanté par les fantômes des infirmières, des victimes de la variole et par toutes sortes d’autres apparitions effroyables.

En 1992, le Musée des Hospitalières de l’Hôtel-Dieu de Montréal ouvre ses portes sur le site. Créé à l’occasion du 350e anniversaire de la ville de Montréal, ce musée met en lumière l’histoire de Jeanne Mance et de l’hôpital qu’elle a fondé.

Pour en revenir au Vieux-Montréal, le quatrième hôpital est démoli après l’ouverture du campus Mont-Royal. Les magasins-entrepôts, le type de bâtiment le plus courant dans le Vieux-Montréal, sont érigés sur le site entre 1861 et 1874. Comme les Britanniques agrandissent le port, ces bâtiments sont construits pour entreposer le produit des importations et exportations aux étages supérieurs. Le rez-de-chaussée fait fonction de magasin. Les autorités religieuses louent ces bâtiments aux marchands, tirant des sommes records de leur propriété.

Lorsque le port se déplace vers l’est dans les années 1970, tous les entrepôts du Vieux-Montréal deviennent obsolètes. Ils sont transformés en premiers condos de luxe du Vieux-Montréal et se vendent plus d’un million de dollars chacun à l’heure actuelle. Comme les autorités catholiques n’ont jamais fait vœu de pauvreté, elles ont fait fortune avec le site de l’ancien Hôtel Dieu !

Aujourd’hui, la rumeur veut que les condos abritent des fantômes. Parfois, des infirmières fantômes apparaissent aux fenêtres de l’immeuble. D’autres fois, une voix féminine désincarnée crie « Au secours » (ou « Help me! » en anglais). Ces cris paranormaux sont peut-être liés à l’un des nombreux incendies qui ont consumé l’ancien hôpital.

Quoi qu’il en soit, le 23 septembre 2017, l’Hôtel Dieu a quitté son site du Mont-Royal pour s’installer dans le super-hôpital du CHUM en même temps que plusieurs installations plus anciennes. Aujourd’hui, l’un des plus anciens hôpitaux d’Amérique du Nord est toujours en activité dans le cadre le plus ultramoderne qui soit.

Une question demeure : les fantômes et démons ont-ils suivi l’hôpital Hôtel Dieu dans son plus récent emplacement ? Bien que la direction de l’hôpital nie que le nouvel emplacement fasse l’objet d’une quelconque activité paranormale, Montréal hanté fut contacté par un homme qui se remettait d’une crise cardiaque en octobre 2019 à l’emplacement du CHUM

Le patient a affirmé qu’alors qu’il se reposait un après-midi dans son lit d’hôpital, il a soudainement senti une odeur sulfureuse, presque comme des œufs pourris. Il pensa d’abord qu’un infirmier apportait une sorte de nourriture désagréable, d’autant plus qu’il entendait des pas s’approcher de sa chambre.

Cependant, les bruits de pas s’arrêtèrent devant sa porte et personne ne l’ouvrit.

« Il y a quelqu’un ? » demanda-t-il, il ne reçut aucune réponse.

Le patient se tira du lit et marcha lentement jusqu’à la porte, se bouchant le nez en chemin à cause de la puanteur sulfureuse. Une fois devant la porte, il tourna la poignée pour essayer de l’ouvrir. Elle semblait être verrouillée !

Perplexe, le patient tenta encore de tourner la poignée, quand tout à coup, les lumières se mirent à clignoter dans sa chambre d’hôpital. Il entendit alors ce qui ressemblait à un rire démoniaque.

Cela commença lentement avec un ricanement détraqué et se transforma rapidement en un caquetage rugissant à gorge déployée.

L’homme boitilla jusqu’à son lit aussi vite qu’il le put et appuya sur la sonnette pour appeler une infirmière. Les rires et l’odeur de soufre étaient de plus en plus forts et l’homme s’effondra dans son lit, terrorisé.

Lorsqu’il se réveilla, il était entouré d’infirmières et la puanteur et les rires n’étaient plus. Le personnel médical l’informa qu’il avait eu une légère crise cardiaque

Le patient supposa qu’il avait rêvé ou halluciné à cause du cocktail de médicaments qu’il prenait, et ne mentionna pas son expérience au personnel hospitalier.

En effet, ce n’est que quelques jours plus tard qu’il s’est confié à Montréal hanté sur ce qui s’était passé.

Étant donné la longue association de l’hôpital Hôtel Dieu avec les démons et autres esprits, il est possible que l’emplacement du CHUM soit hanté.

Quoi qu’il en soit, comme il s’agit de l’un des plus anciens hôpitaux d’Amérique du Nord encore en activité, on ne peut nier les histoires de fantômes et d’apparitions qui le hantent depuis maintenant près de quatre siècles.

Nouvelles de la société

Pour la saison d’Halloween de cette année, nous lançons une nouvelle tournée fantôme – Le vieux Montréal hanté ! Cette promenade hantée est disponible tous les dimanches soirs d’octobre et d’autres dates peuvent être ajoutées en fonction de la demande.

Les billets sont maintenant en vente !

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Tous les vendredis :

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Tous les samedis (en rotation) :

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Chaque dimanche :

Notre tournée des bars hantés est offerte tous les dimanches à 15 h en anglais et le dernier dimanche du mois à 16 h en français.

Pour ceux qui veulent essayer de communiquer avec les Morts, nous proposons une véritable Enquête Paranormale le premier week-end de chaque mois (les vendredis en français et les samedis en anglais) :

Enquête paranormale – Vieux cimetière Sainte-Antoine

Des visites privées pour l’une de ces expériences peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs.

Pour les visites privées, les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite opérationnelle. Ces visites sont basées sur la disponibilité de nos acteurs et commencent à 170 $ pour de petits groupes jusqu’à 7 personnes.

Envoyez un courriel à info@hauntedmontreal.com pour plus d’informations sur la façon de réserver une visite privée !

De plus, notre équipe diffuse tous les samedis, dans les deux langues, des vidéos d’histoires de fantômes du Blogue de Montréal hanté. Animée par Holly Rhiannon (en anglais) and Dr. Mab (en français), cette nouvelle initiative plaira à coup sûr aux fans d’histoires de fantômes !

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Montréal hanté tient à remercier tous nos clients qui ont assisté à une marche fantôme, une tournée des pubs hantés, une enquête paranormale ou un événement virtuel au cours de la saison 2022 !

Si vous avez apprécié l’expérience, nous vous encourageons à écrire une critique sur notre page Tripadvisor, ce qui aide vraiment Montréal hanté à commercialiser ses circuits

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À venir le 13 novembre : Sir Arthur Conan Doyle à Montréal

Lors d’une visite à Montréal à l’occasion d’une tournée de conférences en 1922, l’auteur de Sherlock Holmes, Sir Arthur Conan Doyle, apprit l’existence d’un poltergeist dans la ville. Il décrivit l’apparition dans son livre de 1924, Our Second American Adventure. Doyle fit un récit détaillé de la façon dont elle avait harcelé un couple marié. Lorsqu’un prêtre vint chasser le poltergeist, « au milieu de son exorcisme, le tapis se jeta sur lui et lui enveloppa la tête et les épaules, si bien qu’il s’élança terrifié hors de la maison ».

Auteur :

Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.

Traductrice :

Claude Chevalot détient une maîtrise en linguistique appliquée de l’Université Mcgill. Elle est rédactrice, réviseure et traductrice. Depuis plus de 15 ans, elle se consacre presque exclusivement à la traduction littéraire et à la traduction de textes sur l’art actuel et contemporain.

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