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Bienvenue au cent sixième volet du blogue de Montréal hanté !

Avec plus de 500 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois !

Ce service est gratuit et vous pouvez vous inscrire à notre liste de diffusion (en haut à droite pour les ordinateurs de bureau et en bas pour les appareils mobiles) si vous souhaitez le recevoir tous les mois le 13 ! Le blog est publié en anglais et en français !

À l’approche de l’été, Montréal hanté est ouvert aux affaires avec une toute nouvelle saison de visites fantômes et d’expériences hantées !

Notre nouvelle expérience est une enquête paranormale dans le Vieux-Montréal colonial !

Détails dans la section Nouvelles de la société ! Nous avons aussi une enquête paranormale à l’ancien Cimetière du Choléra de Sainte-Antione !

Nos autres circuits fantômes incluent le Vieux-Montréal hanté, Griffintown, le centre-ville et la montagne ! Pour en savoir plus, consultez l’horaire en bas de notre page d’accueil

Nous proposons également notre tournée des bars hantés tous les dimanches à 15h en anglais. Les visites en français ont lieu le dernier dimanche de chaque mois à 16h.

Les visites privées pour toutes nos expériences (y compris les visites en plein air) peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs. Les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite d’exploitation. Ces visites commencent à 215 $ pour de petits groupes jusqu’à 7 personnes.

Ce mois-ci, nous examinons le système de métro hanté de Montréal. Avec des décennies de service, le réseau a été témoin d’innombrables tragédies et la rumeur dit maintenant qu’il héberge des fantômes et des activités paranormales, en particulier dans trois stations distinctes.

Recherche hantée

Le tentaculaire métro de Montréal est bien connu pour son architecture, ses œuvres d’art public et sa rapidité à faire circuler les gens dans la ville. Cependant, les hantises et l’activité paranormale qui sévissent dans le réseau sont moins connues. En raison d’une longue histoire de décès dus à des accidents de construction, des incendies, des actes violents, des électrocutions et des suicides, le métro de Montréal abrite de persistants esprits et d’autres déroutants mystères.

La construction du réseau souterrain débute en 1962 sous l’administration du maire Jean Drapeau.

Son objectif est qu’il soit prêt pour l’Exposition universelle de 1967. Lorsque le métro est inauguré le 14 octobre 1966, il compte 22 stations réparties sur deux lignes.

Depuis, le réseau est passé à quatre lignes avec un total de 68 stations.

Exploité par la Société de transport de Montréal (STM), le métro a connu toutes sortes de tragédies au fil des ans. Il n’est donc pas étonnant que de nombreuses personnes croient que le réseau est hanté.

Peut-être inspiré par ces fables paranormales, en 2023, l’auteur Glen Munro écrivit The Haunting of Montreal’s Metro. Qualifiée de fiction pour adolescents, l’histoire s’articule autour de diverses activités hantées dans le métro de Montréal, qui troublent gravement la ville.

Munro explique : « Sous le paysage urbain vibrant de Montréal, où l’histoire murmure à chaque coin de rue, une présence effrayante s’est emparée de la ville. Le métro, une ligne de vie qui palpite sous les rues pavées, résonne maintenant de récits surnaturels. Alors que la frontière entre le mythe et la réalité s’estompe, le pouls de la ville vacille sous le poids de secrets spectraux. »

Dans l’histoire, Paige Investigations, une équipe d’enquêteurs paranormaux de Seattle, est invitée par le maire de Montréal pour tenter de résoudre les différents phénomènes hantés dans le métro.

Selon Munro : « En descendant dans le labyrinthe souterrain, l’équipe est confrontée à bien plus que de simples apparitions fantomatiques. Des phénomènes inexpliqués défient leurs sens et le tissu même de la réalité semble se déformer autour d’eux. Chaque fois qu’ils s’enfoncent dans les profondeurs obscures du métro, ils découvrent des couches d’histoire qui refusent de rester enfouies ».

Le roman se déroule à un rythme rapide et met en lumière diverses manifestations hantées, fantômes et événements paranormaux dans le système de métro de Montréal. Bien que Munro soit doué d’une imagination fertile, on peut se demander si sa fiction n’est pas enracinée dans des germes de vérité.

Il ne fait aucun doute que le métro de Montréal peut parfois être terrifiant. En effet, MTL Blog a classé les stations de métro les plus effrayantes de Montréal sur une échelle de 1 à 10. La plus effrayante est le métro Frontenac sur la ligne verte avec une note de 10/10. Les stations suivantes sont Snowdon (9,5/10) et Bonaventure (9/10).

Montréal hanté a également recueilli des témoignages d’activités paranormales dans plusieurs stations, dont Laurier, Berri-UQAM et Frontenac.

Avant de nous intéresser aux trois stations prétendument hantées, il convient de se pencher sur l’histoire des tragédies survenues dans le réseau métropolitain, ce qui peut nous donner des indications sur les phénomènes hantés.

Par exemple, neuf travailleurs sont morts et des dizaines d’autres furent blessés pendant la construction du métro montréalais.

Les travailleurs périrent dans des explosions, heurtés par des grues ou des engins de terrassement, lors d’effondrements ou en tombant de plates-formes.

Depuis l’inauguration du réseau, les décès et les blessures se sont multipliés. Par exemple, le bureau du coroner a enquêté sur 129 suicides dans le métro de Montréal entre 1986 et 1996.

Depuis, on a dénombré beaucoup plus de personnes qui ont fait le saut, ce qui a entraîné de graves retards et a laissé des conducteurs de métro, des ambulanciers, des employés de la STM et d’autres personnes traumatisées et souvent diagnostiquées du syndrome de stress post-traumatique (SSPT).

De nombreux décès ont également été causés par des accidents. Le pire s’est produit le 9 décembre 1971. Ce soir-là, le conducteur du métro Gérard Maccarone percuta accidentellement un train stationné au garage du métro Henri-Bourassa. Un incendie se déclara après la collision et Maccarone ne put s’extraire de la voiture endommagée. Malgré ses appels à l’aide, il mourut des suites de l’inhalation de la fumée.

L’incendie fit rage pendant 19 heures dans le tunnel et plusieurs pompiers et policiers furent blessés en combattant les flammes. Les wagons du métro et le tunnel ont également subi d’importants dégâts.

D’autres accidents se produisirent à la suite de chutes de personnes sur les voies ferrées. En avril 2013, une jeune femme succomba parce qu’elle aurait été distraite par son téléphone cellulaire. Des images de vidéosurveillance l’ont montrée portant des écouteurs et fixant son téléphone intelligent avant qu’elle ne s’engage dans un espace entre deux wagons, provoquant sa chute sur la voie ferrée. La pauvre femme fut traînée par le métro pendant deux arrêts avant que les navetteurs ne remarquent du sang sur les voies et que le système soit fermé.

En janvier 2014, un homme fut fauché par une voiture de métro à la station Langelier. Radil Hebrich, 59 ans, avait bu et tituba sur la ligne d’avertissement jaune au bord de la plate-forme. Il fut heurté à la tête par la paroi d’un train passant, puis tomba sur le quai.

Bien qu’il saignait abondamment, personne dans la station ne tenta de l’aider. En effet, trois voitures de métro passèrent tandis qu’il gisait sur la plate-forme dans son sang. Hebrich ne fut pris en charge par les secours qu’au bout de 20 minutes.

Il décéda peu de temps après.

Dans une autre affaire, le 13 février 2020, un homme de 20 ans, gravement intoxiqué, mourut après être tombé de la plate-forme et sur les voies dans la station Beaubien sur la ligne orange.

D’autres accidents sont survenus dans les escaliers roulants. Le 30 janvier 2014, une femme trouva la mort par étranglement au métro Fabre après que son écharpe se soit coincée dans de l’escalier roulant alors qu’elle descendait pour atteindre la plate-forme. Selon le rapport du coroner, l’écharpe, le manteau et les cheveux de Rharouity sont restés coincés dans l’escalier mécanique. Le rapport conclut : « La femme a été étranglée par son écharpe et son cuir chevelu a été lacéré par les dents de l’escalier roulant avant que la machine ne s’arrête ».

De nombreuses autres personnes sont également mortes dans le métro à la suite de problèmes médicaux, d’agressions criminelles, d’électrocutions et de surdoses de médicaments. Avec une histoire aussi longue et diversifiée de tragédies, il n’est pas étonnant que le métro de Montréal soit considéré comme hanté.

Pour en revenir aux trois stations prétendument hantées, Laurier, sur la ligne orange, est peut-être la plus connue. Sur l’une des plates-formes de la station se trouvent les tristement célèbres « sièges fantômes de Laurier ». Sur les murs de granit situés derrière eux, les images ténues de cinq fantômes apparaissent.

L’identité de ces fantômes et la raison pour laquelle ils sont assis sur les sièges de la plate-forme du métro Laurier font l’objet de nombreuses conjectures sans qu’aucune réponse claire ne soit apportée.

Il convient de noter que les sceptiques et les détracteurs estiment qu’il ne s’agit pas du tout de fantômes, mais plutôt de taches causées par la graisse des têtes des innombrables passagers qui s’appuient contre le mur en attendant leur métro.

Cette théorie soulève la question de savoir pourquoi les concierges de la STM ont toujours omis de nettoyer le mur derrière les sièges fantômes.

La deuxième station hantée est Berri-UQAM. Cette station est unique en ce sens qu’elle est la seule à relier trois lignes : la ligne orange, la ligne verte et la ligne jaune. C’est une station très fréquentée avec beaucoup de correspondances. C’est aussi la station la plus marquée par la criminalité, avec des centaines de vols à main armée, d’agressions violentes, de vols divers, de vandalisme et de graffitis qui ont lieu chaque année.

Le fantôme le plus répandu à Berri-UQAM est celui d’un homme portant un casque de sécurité qui apparaît parfois dans le tunnel sud de la Ligne orange. Les conducteurs de train qui repèrent l’homme freinent généralement dans l’espoir de ne pas l’écraser. Alors que le métro se dirige vers l’homme sur les voies, celui-ci disparaît soudainement, laissant les conducteurs bouleversés et les passagers secoués par le freinage brusque.

Beaucoup soupçonnent que le fantôme est celui d’un jeune ouvrier de la construction nommé Jean Bérubé, qui mourut vers 10 heures du matin le 17 novembre 1964 dans la station connue à l’époque sous le nom de gare de Berri-de-Montigny. Il succomba à une chute de 30 pieds pendant des travaux de construction.

Bérubé n’avait que 19 ans et travaillait pour la firme d’ingénierie Dufresne.

La dernière station, qui serait la plus hantée des trois, est Frontenac, sur la ligne verte. Des rapports sporadiques font état de cris désincarnés qui résonnent dans la station et qui troublent les voyageurs. De plus, Montréal hanté a reçu des photos de la station montrant des orbes flottant autour des plates-formes et dans les tunnels.

Qui plus est, une personne a déclaré avoir cessé d’utiliser la gare de Frontenac après plusieurs incidents au cours desquels elle a eu l’impression que quelque chose d’invisible la poussait vers les voies chaque fois qu’un train s’approchait.

Ces activités paranormales pourraient être liées au pire accident survenu lors de la construction du métro de Montréal. Le 11 septembre 1964, vers midi, une énorme explosion secoua la station de métro Frontenac.

Un foreur du nom de Roger Roy aurait percuté par erreur un boîtier d’interrupteur, provoquant la chute de fils sous tension sur un dépôt contenant environ 300 bâtons de dynamite. Malheureusement, l’explosion fit trois morts, dont Roger Roy, Albert Hubert et Steve Filycsyk.

Cinq personnes furent grièvement blessées, dont un superviseur, William Allen, qui fut projeté à une trentaine de mètres de l’explosion, mais qui survécut miraculeusement.

Le réseau du métro de Montréal recèle bien d’autres mystères, comme la STATION 69, qui est utilisée à des fins de formation et n’est pas accessible au public. On parle également d’un « train fantôme » qui circule la nuit et émet des éclairs bleus en filant dans les tunnels.

Avec sa sombre histoire de décès, de tragédies, de phénomènes hantés et d’activités paranormales, le métro montréalais n’est pas fait pour les âmes sensibles. Entrez à vos risques et périls !

Où trouver de l’aide:

Service canadien de prévention du suicide

Numéro gratuit 1-833-456-4566

Texte: 45645

Chat : crisisservicescanada.ca

En Français: Association québécoise de prévention du suicide : 1-866-APPELLE (1-866-277-3553)

Jeunesse, J’écoute: 1-800-668-6868 (téléphone), conseils en direct sur jeunessejecoute.ca

Association canadienne pour la prévention du suicide: Trouver un centre crise 24 heures sur 24

Nouvelles de la société

Alors que l’été approche à grands pas, Montréal hanté est ouvert aux affaires avec une toute nouvelle saison de visites fantômes et d’expériences hantées !

Nous sommes heureux de vous annoncer notre nouvelle expérience – une enquête paranormale dans le Vieux-Montréal !

Animée par l’un des meilleurs enquêteurs paranormaux de Montréal, Dominique Desormeaux, cette expérience plonge dans les esprits qui hantent le Vieux-Montréal à l’époque coloniale. Parmi ces fantômes figurent ceux exécutés par des prêtres jésuites, les autorités françaises et les gardiens de prison britanniques, parmi bien d’autres qui sont morts tragiquement dans la colonie.

Nos autres circuits fantômes incluent le Vieux-Montréal hanté, Griffintown, le centre-ville et la montagne ! Pour en savoir plus, consultez l’horaire en bas de notre page d’accueil

En attendant, notre tournée de bars hantés est proposée les dimanches à 15h en anglais. Pour les visites en français, celles-ci ont lieu le dernier dimanche de chaque mois à 16h.

Les visites privées pour toutes nos expériences (y compris les visites en plein air) peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs. Les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite d’exploitation (sauf Mont Royal hanté en raison des conditions hivernales).

Ces visites commencent à 215 $ pour de petits groupes jusqu’à 7 personnes.

Envoyez un courriel à info@hauntedmontreal.com pour plus d’informations sur la façon de réserver une visite privée !

Vous pouvez également apporter l’expérience Montréal hanté à votre fête de bureau, à votre maison, à votre école ou à votre événement en réservant dès aujourd’hui l’un de nos conteurs fantômes en tournée.

Écoutez quelques-uns des récits les plus effrayants de nos visites et de notre blog racontés par un acteur et conteur professionnel. Vous fournissez le lieu, nous fournissons les histoires et le conteur. SVP vous informer, et contacter info@hauntedmontreal.com

De plus, notre équipe diffuse un samedi sur deux, dans les deux langues, des vidéos d’histoires de fantômes du Blogue de Montréal hanté. Animée par Holly Rhiannon (en anglais) and Dr. Mab (en français), cette nouvelle initiative plaira à coup sûr aux fans d’histoires de fantômes !

N’hésitez pas à liker, vous abonner et activer la cloche !

Dans d’autres nouvelles, si vous voulez offrir à quelqu’un une expérience hantée en cadeau, vous le pouvez certainement ! Nous offrons des chèques-cadeaux Montréal hanté sur notre site Web et échangeables via Eventbrite pour l’un de nos événements en personne ou virtuels (sans date d’expiration).

Enfin, et c’est important, nous avons ouvert une boutique en ligne pour ceux qui sont intéressés par la marchandise de Montréal hanté. Nous vendons des t-shirts, des aimants, des sweat-shirts (pour les nuits d’automne et d’hiver hantées) et des tasses avec le logo de Montréal hanté et les images de notre tournée.

Les achats peuvent être commandés via notre boutique en ligne.

De plus, Montréal hanté modifie son expérience de blog en raison d’un engagement sur un gros projet d’écriture ! De nouvelles histoires sur le blog Montréal hanté seront désormais proposées tous les deux mois, tandis que tous les deux mois, il y aura une mise à jour d’une histoire ancienne. Comme toujours, ces histoires et mises à jour seront publiées le 13 de chaque mois !

Montréal hanté tient à remercier tous nos clients qui ont assisté à une marche fantôme, une tournée des pubs hantés, une enquête paranormale ou un événement virtuel !

Si vous avez apprécié l’expérience, nous vous encourageons à écrire une critique sur notre page Tripadvisor et/ou Google Reviews, ce qui aide vraiment Montréal hanté à commercialiser ses circuits. Nous sommes une petite entreprise de tourisme spécialisée pour les fans d’histoire dérangée, d’histoires de fantômes et de macabre et apprécions tout le soutien et les commentaires que nous pouvons obtenir.

Enfin, si vous souhaitez recevoir le blogue de Montréal hanté le 13 de chaque mois, veuillez vous inscrire à notre liste de diffusion.

À venir le 13 juillet : Mise à jour au sujet du site Dawson

Le site Dawson est l’un des plus grands mystères de Montréal. Mis au jour en 1860 par le géologue William Dawson, les fouilles archéologiques révélèrent les vestiges d’un village autochtone caché juste sous les rues de la ville. En 2016, un excavateur installé à l’angle des rues Peel et Sherbrooke a tranché les restes d’un chef mohawk, ce qui a interrompu les travaux et aurait déclenché une activité paranormale. Entre 2016 et 2019, les archéologues ont découvert plus de 2 000 artefacts. Ces découvertes ont également inspiré Tsi niion kwarihò:ten, une série de lieux situés le long de la rue Peel qui illustrent les perspectives autochtones et non autochtones à l’époque coloniale au moyen de sphères de bronze portant sur divers thèmes.

Auteur :

Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.

Traductrice :

Claude Chevalot détient une maîtrise en linguistique appliquée de l’Université Mcgill. Elle est rédactrice, réviseure et traductrice. Depuis plus de 15 ans, elle se consacre presque exclusivement à la traduction littéraire et à la traduction de textes sur l’art actuel et contemporain.

Cet article comporte 1 commentaire

  1. WOW quelle lecture passionnante !! Merci, je ne verrai plus le métro de Montréal de la même manière. Bonne continuité et bon été 🙂
    Fanny

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