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Bienvenue à la 59ième édition du blogue du Montréal hanté!

Avec plus de 350 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée au Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales, et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois! Ce service est gratuit et vous pouvez vous inscrire à notre liste de diffusion (en haut, à droite pour les ordinateurs de bureau et en bas pour les appareils mobiles), si vous souhaitez le recevoir le 13 de tous les mois!

Notre blogue du mois de juillet explore le cas d’une récompense manquante qui est récemment devenue hantée. Décerné à Montréal hanté en 2019, un prix de voyage et d’hospitalité pour «l’expérience la plus unique au Québec», est maintenant manquant. L’employé mécontent s’étant occupé des formalités administratives a refusé de rendre ledit prix à la société. Pour cette raison, un jeteur de sorts a placé un ‘jinx’ sur le prix pour qu’il soit très hanté.

La recherche hantée

J’écris rarement des histoires de fantômes personnelles, ou des histoires de magie, ou paranormales. Mais je pensais qu’il était important d’écrire une chronique sur ce qui m’a inspiré à poursuivre mes activités dans le genre des arts hantés, et certains des défis auxquels je suis confronté dans la gestion de Montréal hanté.

J’ai commencé à travailler dans le genre des arts hantés au début des années 1990, lorsque j’ai été recruté pour embaucher des acteurs bilingues pour une maison hantée temporaire appelée Château Greystoke.

Créée par Robert Short, un maître d’effets spéciaux hollywoodien qui a remporté un Oscar pour Beetlejuice (1988), l’attraction hantée avait été installée dans un ancien centre commercial appelé Decarie Square.                

J’ai non seulement engagé des acteurs bilingues pour Bob Short, mais j’ai également joué des personnages terrifiants dans la maison hantée. J’étais devenu accro à une toute nouvelle façon de faire du théâtre!

Devenu un mentor pour moi, Bob était très fier de son travail et de son Oscar. Il permettait aux acteurs de prendre des photos avec celui-ci.

En tant que jeune acteur, j’ai été extrêmement inspiré par le talent de Bob, son éthique de travail, son ouverture et son Oscar. Je me suis dit qu’un jour j’aimerais gagner mon propre trophée!

Je remercie Bob de m’avoir lancé dans le parcours fantastique des arts hantés, art qui me passionne encore près de 30 ans plus tard!

Après le Château Greystoke, je suis passé au London Dungeon, Angleterre. De renommée mondiale, le London Dungeon était une installation permanente nécessitant une équipe acteurs aguerris afin d’animer des scènes et terroriser les clients.

Lorsque les gérants ont constaté que mes idées et mes initiatives permettaient aux clients de vivre une expérience enrichissante, je fus promu responsable de tout l’aspect divertissement de l’opération. Vivre à Londres pendant deux ans et diriger le département de divertissement de l’installation a été, pour le jeune homme que j’étais, une expérience formatrice. Je garde de très bons souvenirs de mon séjour au London Dungeon.

À mon retour à Montréal, j’ai décroché un emploi chez Fantômes Montréal / Montreal Ghosts en tant qu’acteur, puis comme traducteur et dramaturge. Je travaille de temps à autre avec cette entreprise depuis plus de 15 ans maintenant.

En 2011, j’ai fondé Montréal hanté avec pour but, entre autres, de faire reconnaître Montréal comme étant la ville la plus hantée du Canada. J’ai créé de nouvelles visites hantées, un blog hanté, et finalement j’ai embauché d’autres acteurs pour diriger ces visites.

J’ai également atteint un de mes objectifs artistiques en payant des salaires syndicaux aux acteurs locaux, et ce sans aucune subvention. À Montréal, c’est généralement le contraire. Les artistes paient souvent pour jouer, tandis que les festivals récoltent des commandites des gouvernements et des entreprises.

Depuis que j’ai créé la société, j’ai mis sur pied cinq expériences fantomatiques publiques. Il s’agit notamment de trois promenades fantômes, d’une tournée des pubs hantés et d’une enquête du paranormal. J’ai également travaillé sans relâche pour promouvoir Montréal comme étant la ville la plus hantée du Canada – parce que c’est le cas!

Être un artiste et essayer de gérer une société a beaucoup de hauts et de bas.

Je suis un artiste dans l’âme, je me veux créatif dans la recherche et l’écriture de blogs;  créer visites fantômes et autres expériences hantées et, évidemment y jouer.

Toutefois, je n’aime pas les tâches administratives qui, bien que répétitives et angoissantes, sont pourtant cruciales pour le bon fonctionnement de toute société. J’essaie donc de m’entourer de personnes de confiance pour les effectuer.

Début 2018, frappé par un épisode de dépression majeure, à la suite d’un épuisement professionnel, causé par un surplus de travail créatif et administratif, sans parler d’un contrat d’enseignement à temps plein, j’ai dû fermer Montréal hanté.

J’ai, par la suite, décidé de prendre un partenaire d’affaires, dans un accord 50/50. J’ai pu ainsi me concentrer à mon travail de création, et éviter l’épuisement professionnel. Cette solution me semblait logique, malgré 50% des revenus que je concédais dorénavant à mon partenaire.

Celle qui fut ma partenaire d’affaires a alors assumé toutes les responsabilités administratives, et a redémarré l’entreprise alors que j’étais toujours en congé maladie. Cela incluait toutes les questions financières. Je lui ai proposé un accord selon lequel je ne demanderais qu’une redevance de 15% pour l’année 2018 alors qu’elle pourrait conserver 85% des profits.

À l’automne 2018, bien rétabli, je suis retourné au travail. J’ai reçu une rémunération pour le travail effectué (visites fantômes), tel que le stipulait la politique de la société depuis 2011. Cependant, je ne sais pour quelle raison, ma redevance de 15% n’avait pas été payée pour l’année fiscale en cours.

En 2019, nous sommes revenus à l’entente de partage des profits 50/50, officialisée par la création d’une société appelée Griffin Tours Inc. qui superviserait les tournées de Montréal hanté, ainsi que l’ensemble des d’activités.

Cette année-là, j’ai créé la Tournée des bars hantés, l’Enquête du paranormal, j’ai écris 12 blogs et fait des prestations qui ont amassé plus de 8 000$, sans parler d’environ 10% des tâches administratives.

En avril 2019, mon rêve initial s’est finalement réalisé!

Montréal hanté s’est vu décerné le prix 2019  »voyage et d’hospitalité » pour «l’expérience la plus unique au Québec».

J’étais ravi qu’après une décennie de travail acharné, Montréal hanté soit enfin reconnu pour ses attributs uniques et sa solide prestation d’expériences hantées dans la ville.

À ce moment, j’ai discuté avec mon administratrice lui demandant de traiter le prix et d’en payer les frais associés, ce qui se fait normalement à partir des comptes de la société. Elle l’a fait et a réclamé le prix au nom de Montréal hanté. Elle m’a envoyé la photo suivante.

J’étais très heureux que l’entreprise se porte si bien jusqu’à une réunion avec ma partenaire administrative en Novembre 2019 au sujet du bilan financier de la saison.

Lors de cette réunion, elle m’a informé que je ne serais pas payé pour des prestations totalisant plus de 8 000$ prétextant l’iniquité et ce, malgré qu’elle-même s’était payée pour avoir complété les tâches administratives.

Malgré mes objections, elle est rapidement partie en vacances pendant 4 mois à Charleston, en Caroline du Sud, la 4ème ville la plus dispendieuse d’Amérique.

Par la suite et pour faire une histoire courte, ce fut une période difficile pour les affaires. Après lui ai mentionné que je ne travaillais pas gratuitement, elle a engagé et payé un autre acteur pour faire mes tournées. Et, un beau jour lorsqu’il n’a pas pu participer à une tournée des bars, celle-ci fut annulée plutôt que de me la proposer.

Je l’ai alors informée, qu’à moins qu’une entente soit conclue, qu’elle n’aurait plus la permission d’utiliser ma propriété intellectuelle.

Elle a finalement accepté de payer mes tournées en 2020, mais seulement à la condition que je renonce aux 8000$ acquis en 2019. J’ai accepté à contrecœur, malgré les conseils obtenus de la clinique légale YES. Je voulais que la société continue de fonctionner sans interruption.

Au cours des mois suivants, il y a eu plusieurs irrégularités financières. Par exemple, lorsque j’ai demandé ma part des profits, on m’a assuré que je recevrais effectivement 50% des profits – éventuellement. Normalement, en affaires, les deux partenaires se partagent les profits à la fin de l’année fiscale.

Cependant, elle a déclaré:

« Nous avons tous deux convenu que les profits seraient divisés 50-50 l’année dernière. J’ai reçu 8200$ et vous obtiendrez 8200$. La raison pour laquelle vous n’avez pas le montant total est parce qu’il n’y a pas suffisamment de fonds dans le compte bancaire en raison des dépenses. »

J’ai alors demander des informations financières détaillées, ce, qui n’avait jamais été fourni correctement. Je voulais savoir pourquoi elle s’était payée, au cours de l’année fiscale, et pourquoi je n’avais pas eu ma part. Cela constituait une violation de l’accord juridique.

Lorsque j’ai suggéré un audit légal, elle m’a dit: «Je quitte».

Lorsque j’ai finalement obtenu les chiffres définitifs de la part notre comptable, il a expliqué que je n’avais gagné que 800$ pour une année complète de travail, après la prise en compte de mes dépenses. Moins de 1/10 de ce que l’ex-administratrice s’était payé. Mon profit de 800$ a été rapidement absorbé par des dépenses bizarres, telles que des «frais de service» de 848$ pour un site Web de 4,5K$ avec une boutique en ligne qui n’a jamais existée ou qui a été conjointement autorisée.

En avril 2020, pour aggraver les choses, l’ex-administratrice a affirmé que ses parents voulaient jeter à la poubelle les biens de Montréal hanté, tels que des marchandises, des documents comptables, et une machine à plastifier pour affiches. Elle m’a suggéré de trouver un moyen de récupérer ces biens, même si elle habite maintenant dans les Cantons-de-l’Est après 4 mois de vacances ensoleillées à Charleston.

Elle a également déclaré: « Je voudrais garder le prix parce que je l’ai payé, et honnêtement, j’ai l’impression de l’avoir mérité. Vous pouvez avoir la machine à plastifier si vous le souhaitez. »

J’ai répliqué: « Il a été décerné à Montréal hanté en 2019. La communication initiale mentionne mon travail (Montréal hanté) et pas votre nom. Ce n’est pas parce que vous étiez l’administratrice que le prix est pour vous. Le prix  »voyage et hospitalité » est décerné à l’entreprise pour souligner son apport à l’industrie touristique, et non personnellement un administrateur de la dite entreprise. »

L’ex-administratrice répliqua : « Cela fut décerné au début de 2019. Vous pouvez minimiser la quantité de travail que j’ai fait, cela ne me dérange pas. »

Je lui ai répondu: « Je ne le minimise pas du tout, mais la société l’a attribué à Montréal hanté et pas à vous. Montréal hanté existe depuis 2010 et je suis déçu que vous pensiez que le prix est pour vous parce que vous avez travaillé fort au niveau de l’administration. Ne pensez-vous pas que cela minimise mon travail de dire que vous méritez ce prix plus que la société que j’ai créée? »

J’ai également été très surpris que l’ex-administratrice ait affirmé qu’elle avait payé les frais de la société de sa poche, ce qui n’a aucun sens sur le plan commercial, car elle avait un accès complet aux comptes de la société.

En essayant de lui donner le bénéfice du doute, j’ai dit: « C’est très difficile pour moi d’interpréter les finances si vous ne pouvez pas fournir de chiffres. Mais je pense que toutes les dépenses de l’entreprise que vous avez payées de votre poche devraient être incluses dans les calculs finaux, que [le comptable] a préparés. »

Je ne comprenais pas comment j’avais été payé une bouchée de pain pour une année de dure labeur, alors que l’ex-administratrice demandait maintenant une compensation pour une dépense faite pour la société.

J’ai fourni une liste des biens de Montréal hanté à l’ex-administratrice, le prix  »voyage et hospitalité », et j’ai engagé des chauffeurs au coût de 200$ pour récupérer les biens de l’entreprise.

Lorsque les chauffeurs sont revenus, le prix et la machine à plastifier étaient manquants. Lorsque je me suis renseigné au sujet du prix, l’ex-administratrice a déclaré: « Cela ne me dérange pas de vous le donner mais j’aimerais être compensée pour cela. »

Lorsque j’ai souligné qu’elle avait déjà facturé la société dans les documents qu’elle avait fournis au comptable, elle a changé son discourt et a dit: « Je suis certaine que je rencontrerai un ami que nous avons en commun, et que je pourrai lui donner éventuellement sauf si vous en avez besoin maintenant. »

J’ai répondu: « Rien ne presse, et comme j’ai dit, je n’ai aucun problème à le partager avec vous ou toute autre personne qui a contribué à Montréal hanté. C’est comme la Coupe Stanley – tous les joueurs sont autorisés à boire du champagne à même la coupe, chacun leur tour. J’en ai principalement besoin pour essayer de promouvoir la société et l’aider à se remettre des difficultés causées par le coronavirus. Sur la photo que j’ai, on voit des empreintes digitales sur la plaque (le prix) qui n’est pas mise en  valeur. J’aimerais la mettre en valeur sur un lit de velours ou de satin, avec un excellent éclairage, ou même, qu’un acteur effrayant la tienne serrée dans ses mains, dans un coin sombre, et faire savoir au monde que  »l’expérience la plus unique du Québec de l’année » reviendra bientôt.»

Inutile de vous dire que la récompense n’a toujours pas été restituée plusieurs mois plus tard, alors que Montréal hanté tente maintenant désespérément de redémarrer ses activités après des mois de tournées annulées en raison de la COVID-19.

J’ai tout essayé, de la persuasion à la mise-en-demeure, mais jusqu’à présent, j’ai été incapable de récupérer notre prestigieuse récompense (ou ma juste part des profits selon l’accord juridique).

Comme je l’ai dit, être un artiste n’est jamais facile, même si l’on a atteint un certain succès. Mon ancien voisin, Leonard Cohen, s’est plaint une fois des administrateurs des arts qui dépassent leurs limites. En effet, il a eu une expérience dans laquelle son administrateur a empoché la plupart de ses économies de subsistance alors qu’il était à la retraite. Il a intenté une action en justice en 2005 et a gagné.

Selon le DJ international primé Ron Roxtar, qui est proche de nombreuses célébrités de la planète:

« Plusieurs artistes ne sont pas très bien payés, en contre-partie des prix sont décernés en reconnaissance d’un travail bien fait, et la fierté d’un objectif atteint. »

Lorsqu’on lui a demandé ce qu’il ferait si un ex-administrateur conservait l’un de ces prestigieux prix, DJ Roxtar a déclaré:

« Si je gagnais un prix et qu’un ex-administrateur le conservait, je le contacterais pour le récupérer. Si les appels ne fonctionnaient pas, j’irais certainement directement chez lui, face à face. De cette façon, le prix très probablement à son domicile lors de ma visite, pourrait être récupéré. »

L’un des employés de Montréal hanté, qui sera nommé Spell-Caster X à des fins de confidentialité, n’a pas été impressionné par la décision de l’ex-administratrice de conserver le prix de la société pour elle-même.

Spell-Caster X a déclaré: « Les artistes méritent ce prix  »voyage et hospitalité » parce qu’ils offrent aux voyageurs une expérience unique. Il nous a été décerné à nous qui travaillons chez Montréal hanté, et non pas à l’ex-administratrice en particulier. Il a été décerné à toute l’équipe de Montréal hanté pour souligner 10 ans de travail acharné. Cela comprend les acteurs professionnels, les concepteurs, les enquêteurs du paranormal, les mystiques, le personnel de la billetterie et les administrateurs, tels que les comptables, les commerçants et les vendeurs de billets. Il comprend également Donovan King, qui a fondé la société et qui est le cerveau artistique derrière toute l’opération. »

Spell-Caster X a décidé d’utiliser l’art de la magie ancienne pour placer un ‘jinx’ sur le prix pour le rendre hanté. Un ‘jinx’ est un ancien type de sort placé sur une personne ou un objet pour porter malheur ou malchance.

Selon Spell-Caster X: « J’ai placé le ‘jinx’ sur le prix en particulier, et non sur l’ex- administratrice elle-même, car cela entraînerait un mauvais karma. Dans ce cas-ci, j’ai créé un sort très spécial pour garantir que toute personne qui conserve le prix de la société pendant plus de 7 jours souffrirait des effets du ‘jinx’. Pour que la hantise cesse, il suffit de rendre le prix à Montréal hanté, les récipiendaires légitimes. »

Montréal hanté aimerait remercier Spell-Caster X d’avoir placé un jinx protecteur sur notre prestigieux prix.

Au nom du respect des artistes, nous espérons que l’ex- administratrice rendra notre Prix très prochainement sans plus tarder.

Nouvelles de la société

Montréal hanté est extrêmement heureux d’annoncer la reprise de ses tournées!

Les visites publiques sont offertes tous les Samedis soirs de Juillet, en français, et tous les Vendredis soirs, en anglais, ainsi que les Samedis soirs d’Août. Notre enquête du paranormal est également disponible les derniers Vendredi et Samedi soirs de chaque mois.

Il y a un maximum de 15 clients par visite hantée. Nous pratiquons également la distanciation sociale et offrons des masques faciaux et du désinfectant à mains à nos clients afin de respecter des directives de la santé publique.

Montréal hanté tient à remercier tous ses clients qui ont assisté à une marche hantée, à une tournée des bars hantée ou à une enquête du paranormal au cours de la saison 2019-2020!

Si vous avez apprécié l’expérience, nous vous encourageons à rédiger une critique sur notre page Tripadvisor, ce qui aidera Montréal hanté à commercialiser ses tournées.

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À venir le 13 août: Place des Jésuites (Place Jacques Cartier)

Aujourd’hui, la place Jacques-Cartier est un endroit idyllique pour les touristes qui désirent prendre un repas, profiter des spectacles de rue ou se faire faire une caricature. Entourée de monuments coloniaux, la place Jacques-Cartier a pourtant une histoire très sombre et serait hantée. À l’époque coloniale de la Nouvelle-France, alors appelée Place des Jésuites, c’est à cet endroit que des Autochtones ont été torturés et exécutés par des prêtres Jésuites et leurs sbires. Dans un de ces épisodes en 1696, quatre membres de la Confédération Haudenosaunee ont été attachés à des piquets et torturés avec des fers chauds jusqu’à ce qu’ils périssent. Aujourd’hui, alors que la place Jacques Cartier peut sembler idyllique pour les touristes, elle serait également hantée. Il y a eu plusieurs observations fantomatiques de l’un des prêtres Jésuites qui a supervisé les meurtres sans fin, la brutalité et le génocide à cet endroit.

Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.

       

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