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Bienvenue au quatre-vingt-quinzième article du blogue de Montréal hanté !

Avec plus de 500 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois !

Ce service est gratuit et vous pouvez vous inscrire à notre liste de diffusion (en haut à droite pour les ordinateurs de bureau et en bas pour les appareils mobiles) si vous souhaitez le recevoir tous les mois le 13 ! Le blog est publié en anglais et en français !

La saison des visites fantômes publiques en plein air de Montréal hanté bat son plein! Offerts tous les mercredis, vendredis, samedis et dimanches soirs, nous avons quatre visites fantômes en rotation (Vieux-Montréal, Griffintown, Centre-ville et Mont-Royal.)

Notre tournée de bars hantés est également proposée les dimanches à 15h en anglais. Pour les visites en français, celles-ci ont lieu le dernier dimanche de chaque mois à 16h.

Notre Enquête Paranormale au Vieux Cimetière Sainte Antoine a lieu les premiers vendredi et samedi de chaque mois.

Les visites privées pour toutes nos expériences (y compris les visites en plein air) peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs. Les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite d’exploitation. Ces visites commencent à 190 $ pour de petits groupes jusqu’à 7 personnes.

Envoyez un courriel à info@hauntedmontreal.com pour plus d’informations sur la façon de réserver une visite privée !

Notre visite fantôme virtuelle est également disponible sur demande !

Envie d’offrir en cadeau une expérience hantée pour le temps des fêtes ?

Vous pouvez maintenant commander un chèque-cadeau Montréal hanté sur notre site Web. Ils sont échangeables via Eventbrite contre n’importe laquelle de nos expériences en personne ou virtuelles. Il n’y a pas de date d’expiration.

Enfin, et c’est important, nous avons ouvert une boutique en ligne pour ceux qui sont intéressés par la marchandise de Montréal hanté. Vous trouverez plus de détails ci-dessous dans notre section Nouvelles de la société!

Ce mois-ci, nous examinons l’Hôtel Place d’Armes, un hôtel-boutique du Vieux-Montréal qui hébergerait prétendument le fantôme d’une Dame en noir.

Recherche hantée

Le somptueux Hôtel Place d’Armes occupe le coin sud-est de la place la plus célèbre du Vieux-Montréal. Ouvert en 2000, ce charmant hôtel à l’architecture néo-Renaissance accueille les touristes aisés, les professionnel.le.s et les membres du jet-set international.

Cependant, malgré son prestige, certains affirment que l’hôtel est hanté. Lors d’une entrevue en 2009, une concierge chevronnée a expliqué qu’une mystérieuse femme à la robe noire et à l’accent américain hantait certaines suites.

Les quatre bâtiments historiques qui abritent l’Hôtel Place d’Armes ont été construits à l’origine pour accueillir des entreprises montréalaises de premier plan à l’époque victorienne.

Le bâtiment le plus à l’ouest remonte à 1870, lorsque la Great Scottish Life Insurance Company construisit un édifice de cinq étages pour son siège social à Montréal. Conçue par le cabinet d’architectes Hopkins & Willy, cette magnifique structure a résisté à l’épreuve du temps. En effet, le 7 novembre 1975, le gouvernement provincial du Québec classait le bâtiment site historique.

Au tournant du millénaire, le groupe Antonopoulos acheta l’immeuble de la Great Scottish Life Insurance Company. Voyant le potentiel de ce bâtiment situé au cœur du Vieux-Montréal, ils le rénovèrent et le rouvrirent en 2000 et en firent le « premier hôtel -boutique de Montréal ».

Selon Tourisme Montréal, « le luxe de l’hôtel-boutique réside entièrement dans les détails — le style, les commodités, les touches uniques qui ne sont offerts qu’à cet endroit. »

En général, les hôtels-boutiques sont plus chers, mais offrent une expérience luxueuse et unique. Les client.e.s ont tendance à être plus choyé.e.s. Iels peuvent également acheter tout ce qu’iels souhaitent garder, comme les peignoirs, les pantoufles, les oreillers, les lits, les miroirs de rasage et même les tableaux qui ornent les murs.

Généralement installés dans des bâtiments patrimoniaux réaffectés et situés dans des endroits recherchés, Montréal compte plusieurs de ces hôtels. Tourisme Montréal invite ainsi les visiteur.euse.s à y faire une réservation : « Offrez-vous les expériences personnalisées qui se cachent partout au centre-ville, dans les magnifiques hôtels-boutiques de Montréal, et commencez à vous forger des souvenirs de voyage qui dureront toute votre vie. »

Dès son ouverture, l’Hôtel Place d’Armes a connu un succès immédiat. En raison de la forte demande, il s’est depuis considérablement agrandi. Au fil des ans, le groupe Antonopoulos a acheté et intégré trois autres bâtiments à l’est de la rue Saint-Jacques. Il s’agit de l’ancienne People’s Bank, de l’édifice Alexander Cross et, enfin, d’un édifice construit en 1899 par la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal.

Selon le site internet de l’hôtel : « Nous sommes fiers de faire partie de la culture vibrante du Vieux-Montréal et d’être l’une des structures architecturales les plus prestigieuses du quartier. Installés dans quatre bâtiments historiques, nous offrons une pléthore de commodités, dont deux restaurants, une magnifique terrasse sur le toit, plus de 12 000 pieds carrés d’espaces de réunion polyvalents et un spa Amman exquis. En tant qu’hôtel chéri du Vieux-Montréal, nous sommes populaires auprès des voyageur.euse.s d’affaires et d’agrément. »

Avec une note de 4,5 étoiles sur 5 sur TripAdvisor, il est évident que l’hôtel est populaire. De plus, contrairement à d’autres hôtels, aucune des mauvaises évaluations de l’Hôtel Place d’Armes n’inclut de plaintes concernant des fantômes ou des activités paranormales.

En effet, il semblerait que la dame fantôme qui hante l’hôtel n’interagisse pas avec la clientèle, mais plutôt avec certains membres du personnel.

Le 3 avril 2009, une étudiante en histoire de l’Université McGill a interviewé Marie-Ève Larin, concierge de l’Hôtel Place d’Armes à l’époque.

Marie-Ève Larin y travaillait depuis environ un an et demi au moment de l’entretien. Marie-Ève s’occupait à la fois de la conciergerie et de la réception, et assurait le service pour 135 chambres, y compris des suites et des penthouses.

En tant que concierge, le travail de Marie-Ève consistait à répondre aux demandes de la clientèle : arranger les fleurs, faire des réservations pour un dîner, donner des indications sur la route à suivre et suggérer des activités touristiques. Tout en s’occupant des demandes les plus courantes, la concierge doit littéralement répondre à tous les souhaits de la clientèle, pour autant qu’ils soient légaux (par exemple, pas de drogues ni d’escortes).

Il est indéniable que Marie-Ève était préparée à ce type de travail de service spécialisé ; après tout, son titre officiel est toujours « Concierge, Membre Clefs D’or Canada ». Au terme d’un processus qui lui a demandé plus de trois ans de perfectionnement professionnel intense, d’emploi à temps plein et de mise à l’épreuve par des « invité.e.s mystère », Marie-Ève a été accueillie au sein de l’ordre mondial des concierges. Organisées par l’Union Internationale des Concierges d’Hôtels (UICH), Les Clefs D’or possèdent environ 4000 membres travaillant dans plus de 80 pays et 530 destinations — répartis sur les 5 continents.

Contrairement à tous les autres pays où Les Clefs D’or exercent leurs activités, au Canada, les concierges doivent obtenir une clé d’or à la fois, ce qui rend le processus encore plus difficile. C’est un signe de distinction que de posséder ces clés, et Marie-Ève est la plus jeune membre au Canada à les avoir obtenues à l’âge de 25 ans. Les talents considérables de Marie-Ève, ses efforts et ses distinctions ne sont pas passés inaperçus ; elle a été sollicitée et recrutée directement par de nombreux grands hôtels de Montréal, dont l’Hôtel Place d’Armes.

En plus d’exaucer les souhaits de la clientèle, le concierge doit aussi connaître la ville de fond en comble afin de lui donner les meilleures recommandations possibles, comme les endroits où se trouvent les bons restaurants, les occasions de faire des emplettes extraordinaires et les activités touristiques les plus agréables. Selon Marie-Ève, le plus grand défi de son travail est de « toujours être au courant de ce qui se passe dans la ville ».

Avec ses centaines de festivals, de spectacles et d’événements, Montréal est réputée pour garder ses concierges constamment sur le qui-vive.

La meilleure partie du travail consiste à « rendre les gens heureux et à faire en sorte que leur séjour à Montréal soit extraordinaire », déclare Marie-Ève, qui ajoute : « C’est très gratifiant. »

Interrogée sur les aspects négatifs de son travail, tout en soulignant que les horaires peuvent être très lourds pendant la saison estivale, Marie-Ève n’y voit pas d’inconvénient et s’épanouit au contraire dans ce travail. Il existe également des rumeurs persistantes selon lesquelles l’hôtel serait hanté, et certains membres du personnel de ménage craignent d’entrer seul.e.s dans certaines chambres. « L’Hôtel Place d’Armes est divisé en plusieurs bâtiments historiques », explique Marie-Ève, « le premier était le Great Scottish Life, qui était une Société d’assurance dans les années 1860. » Cette section de l’hôtel conserve son charme d’antan, et l’on y a fait état d’observations de fantômes, notamment dans les suites 1702, 1703, 1704 et 1705.

À plusieurs reprises, le personnel d’entretien a remarqué que la porte de l’une de ces suites était entrouverte et, en entrant, a remarqué une belle femme d’une vingtaine d’années, aux cheveux longs, qui réclamait parfois un verre d’eau. Lorsque le membre du personnel revint avec l’eau, la femme avait disparu. « Elle s’est volatilisée », raconte Marie-Ève. Ces rencontres se produisent généralement lorsque la chambre en question est inoccupée. D’autres fois, le personnel qui s’occupe des Minibars dans chaque chambre a rapporté l’avoir vue se promener dans les couloirs. Parfois, les rencontres avec la belle femme aux cheveux longs sont plus terrifiantes.

Dans un cas, une femme de ménage remarqua que la porte de la chambre 1704 était entrouverte et, lorsqu’elle voulut l’ouvrir, elle entendit la voix de la femme qui lui disait : « Revenez plus tard ». Sachant que la chambre était censée être inoccupée, la femme de ménage entra pour confronter la femme. Ce qu’elle vit la fait paniquer : une belle femme mince aux longs cheveux noirs, vêtue d’une longue robe noire, se tenait sur le rebord d’une fenêtre, comme si elle s’apprêtait à faire un saut de sept étages vers la mort.

La gouvernante s’écria : « Ne faites pas ça ! », mais il était trop tard : la femme avait sauté. La gouvernante se précipita à la fenêtre et regarda la rue en contrebas. Elle s’attendait à voir un cadavre fracassé. Mais il n’y avait ni corps brisé ni mare de sang. Là où aurait dû se trouver le cadavre de la victime, une volée de pigeons picorait des graines sur le trottoir.

Terrifiée, la femme de ménage quitta son emploi peu de temps après. Tout en ne possédant aucune théorie personnelle sur l’identité de ce fantôme, Marie-Ève n’est pas perturbée par le fait que l’hôtel soit hanté, affirmant que cela fait tout simplement partie de son travail. Être un concierge de premier ordre signifie accepter toutes les circonstances particulières que peut posséder un hôtel, y compris les fantômes et les activités paranormales.

Lorsqu’on lui demande quelles sont les compétences nécessaires pour être un bon concierge, Marie-Ève répond : « Un sens aigu des relations humaines, de la patience, de l’humour, de la débrouillardise et demeurer toujours une touriste dans sa propre ville ! Le dévouement, tout d’abord, est la clé. J’aime mon travail, ma ville et mes client.e.s. (enfin, la plupart des client.e.s) ». Lorsqu’on lui demande si elle recommanderait le métier de concierge à d’autres personnes, elle répond : « C’est le meilleur métier du monde ! Je le recommanderais à tout le monde, mais tout le monde n’est pas fait pour les longues heures de travail, les réunions hors des heures de travail et la gestion des problèmes de chacun !

Avec des qualités de service aussi exceptionnelles et une réputation aussi solide, l’avenir de Marie-Ève s’annonce très prometteur. Tout en adorant son travail à l’Hôtel Place d’Armes, elle aspire un jour à devenir concierge à Toronto, et peut-être après cela à New York : « Comme je suis membre des Clefs d’Or, dit-elle, mes clés sont valables partout dans le monde ».

Il faut préciser que Marie-Ève Laurin a depuis quitté l’Hôtel Place d’Armes. En effet, elle a récemment été aperçue comme concierge pour American Express Centurion.

Pour en revenir à la mystérieuse femme fantôme, personne ne sait vraiment qui elle est ni pourquoi elle hante l’Hôtel Place d’Armes. Aurait-elle été une cliente en deuil de la Great Scottish Life Insurance Company ? Aurait-elle pu se jeter par la fenêtre parce que l’assurance vie de son défunt mari lui avait été refusée ? Aurait-elle possédé une ancienne cliente de l’hôtel, qui y aurait trouvé la mort d’une manière ou d’une autre ? Pourrait-elle être quelqu’un d’autre ? Aucune preuve n’a été trouvée dans les archives historiques jusqu’à présent, donc jusqu’à ce que plus d’informations soient disponibles, il n’y a que des spéculations.

Espérons qu’un jour l’identité de cette triste et spectrale femme en noir sera révélée. D’ici là, les femmes de ménage de l’Hôtel Place d’Armes devront rester sur leurs gardes lorsqu’elles travailleront près des suites 1702, 1703, 1704 et 1705.

Nouvelles de la société

La saison des visites fantômes publiques en plein air de Montréal hanté bat son plein! Offertes tous les mercredis, vendredis, samedis et dimanches soirs, nous avons quatre visites fantômes en rotation (Vieux-Montréal, Griffintown, Centre-ville et Mont-Royal).

Notre tournée de bars hantés est également proposée les dimanches à 15h en anglais. Pour les visites en français, celles-ci ont lieu le dernier dimanche de chaque mois à 16h.

Notre Enquête Paranormale au Vieux Cimetière Sainte Antoine a lieu les premiers vendredi et samedi de chaque mois.

Les visites privées pour toutes nos expériences (y compris les visites en plein air) peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs. Les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite d’exploitation. Ces visites commencent à 190 $ pour de petits groupes jusqu’à 7 personnes.

Envoyez un courriel à info@hauntedmontreal.com pour plus d’informations sur la façon de réserver une visite privée !

Vous pouvez apporter l’expérience de Montréal hanté à votre fête de Noël au bureau, à votre école ou à un événement en réservant l’un de nos conteurs de fantômes en tournée dès aujourd’hui. Écoutez quelques-uns des récits les plus effrayants de nos visites et de notre blog racontés par un acteur et conteur professionnel. Vous fournissez le lieu, nous fournissons les histoires et le conteur. Informez-vous et contactez info@hauntedmontreal.com

De plus, notre équipe diffuse tous les samedis, dans les deux langues, des vidéos d’histoires de fantômes du Blogue de Montréal hanté. Animée par Holly Rhiannon (en anglais) and Dr. Mab (en français), cette nouvelle initiative plaira à coup sûr aux fans d’histoires de fantômes !

N’hésitez pas à liker, vous abonner et activer la cloche !

Dans d’autres nouvelles, si vous voulez offrir à quelqu’un une expérience hantée en cadeau, vous le pouvez certainement !

Nous offrons des chèques-cadeaux Montréal hanté sur notre site Web et échangeables via Eventbrite pour l’un de nos événements en personne ou virtuels (sans date d’expiration).

Enfin, et c’est important, nous avons ouvert une boutique en ligne pour ceux qui sont intéressés par la marchandise de Montréal hanté. Nous vendons des t-shirts, des aimants, des sweat-shirts (pour les nuits d’automne et d’hiver hantées) et des tasses avec le logo de Montréal hanté et les images de notre tournée.

Les achats peuvent être commandés via notre boutique en ligne.

Montréal hanté tient à remercier tous nos clients qui ont assisté à une marche fantôme, une tournée des pubs hantés, une enquête paranormale ou un événement virtuel !

Si vous avez apprécié l’expérience, nous vous encourageons à écrire une critique sur notre page Tripadvisor, ce qui aide vraiment Montréal hanté à commercialiser ses circuits

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À venir le 13 août : le cimetière de Notre-Dame-des-Neiges

Le cimetière catholique Notre-Dame-des-Neiges est le plus grand cimetière du Canada. Avec plus de 65 000 monuments et 71 caveaux familiaux dans un jardin, le cimetière contient les restes de plus d’un million de personnes. Ce vaste cimetière possède non seulement la réputation d’être hanté, mais ces dernières années, il a été le témoin de toutes sortes d’activités détraquées. Des marmottes ont déterré de nombreux ossements et dentiers. Des arbres se sont effondrés sur des tombes lors d’une tempête de verglas. Des centaines de corps sont entassés dans l’attente d’un enterrement, les fossoyeurs et autres membres du personnel étant en grève. Pour ne rien arranger, les familles sont privées d’accès et ne peuvent même pas rendre visite à leurs défunt.e.s. Autrefois le cimetière le plus pittoresque du Canada, le cimetière Notre-Dame-des-Neiges est aujourd’hui un lieu désolé, envahi par la végétation et délaissé. Sans entretien, avec des arbres brisés et des ossements éparpillés, il est devenu un véritable lieu d’horreur.

Auteur :

Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.

Traductrice :

Claude Chevalot détient une maîtrise en linguistique appliquée de l’Université Mcgill. Elle est rédactrice, réviseure et traductrice. Depuis plus de 15 ans, elle se consacre presque exclusivement à la traduction littéraire et à la traduction de textes sur l’art actuel et contemporain.

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