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Bienvenue à la 63ème édition du blogue de Montréal hanté!

Avec plus de 400 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois!

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Ce mois-ci, nous examinons le pont du suicide Jacques Cartier. Avec une réputation de longue date de deuxième « pont suicide » le plus populaire au monde, après le Golden Gate Bridge de San Francisco, le pont Jacques Cartier est connu pour être à la fois mortel et hanté. Pont cantilever à poutrelles d’acier qui traverse le fleuve Saint-Laurent de Montréal à la rive sud à Longueuil, il a une histoire tragique de suicides et de meurtres qui se sont produits sur la travée. Malgré de récentes améliorations, telles qu’une barrière anti-suicide et un système d’éclairage coûteux, il y a encore des suicides chaque année et on sait que des esprits tourmentés hantent la structure massive qui traverse le puissant fleuve.

Nous sommes également ravis d’annoncer que notre tour hanté virtuel a connu un grand succès et que nous l’offrirons tout l’hiver.

Nous prévoyons également de créer d’autres nouvelles expériences virtuelles.

Non seulement il y aura une édition spéciale vendredi 13 novembre, mais nous ressusciterons la tradition du conte de Noël victorien sous forme virtuelle!

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Recherche hantée

AVERTISSEMENT: Cet article de blog aborde les thèmes du suicide, de l’agression sexuelle et du meurtre. Il contient des détails troublants.

Avec une réputation de longue date de deuxième « pont suicide » le plus populaire au monde, après le Golden Gate Bridge de San Francisco, le pont Jacques Cartier est connu pour être à la fois mortel et hanté.

Pont cantilever à poutrelles d’acier qui traverse le fleuve Saint-Laurent de Montréal à la rive sud à Longueuil, il a une histoire tragique de suicides et de meurtres qui se sont produits sur la travée. Malgré de récentes améliorations, telles qu’une barrière anti-suicide et un système d’éclairage coûteux, il y a encore des suicides chaque année et on sait que des esprits tourmentés hantent la structure massive qui traverse le puissant fleuve.

Le pont Jacques-Cartier a été construit par la Dominion Bridge Company, à partir de 1925. Construit en acier au coût de 23 millions de dollars canadiens, les travaux ont duré deux ans et demi. La société a utilisé 33 267 tonnes d’acier pour construire la travée, sans jamais perturber le trafic fluvial.

Appelé à l’origine « Harbour Bridge », il a été ouvert à la circulation le 14 mai 1930. Le pont a été rebaptisé « pont Jacques Cartier » en 1934, suite à une pétition de citoyens, qui tentaient d’honorer l’explorateur qui aurait « découvert » le Canada en 1534, alors que les terres étaient déjà habitées par des nations indigènes depuis des milliers d’années.

Ce colonisateur, qui a tenté de revendiquer des terres indigènes pour le roi de France en plantant une croix dans le sol, est aujourd’hui discrédité.

Aujourd’hui, le pont comprend une autoroute à cinq voies. Il y a environ 35,8 millions de passages de véhicules par an, ce qui en fait le troisième pont le plus fréquenté au Canada.

Tragiquement, bien qu’étant une excellente infrastructure de transport, le pont Jacques Cartier sera également connu comme un « Pont du suicide » populaire.

Le premier suicide enregistré sur le pont a eu lieu le 4 août 1934. Léopold Gingras, un fermier d’un petit village à l’extérieur de Montréal, et son neveu Lucien roulaient sur le Harbour Bridge.

En s’approchant de la travée centrale, ils ont vu un homme aux cheveux gris qui portait un costume sombre, assis vers l’ouest sur la rambarde extérieure du pont. Ils l’ont regardé glisser, terrorisés. Léopold a mis les gaz et s’est rendu directement au pavillon de la police près de l’entrée sud du pont pour signaler ce qui venait de se produire.

Pendant ce temps, un piéton nommé Hertel Bachard et un ami marchaient vers le nord le long de la passerelle, en direction de Montréal. Ils ont vu l’homme glisser de la balustrade et se sont précipités pour voir ce qui s’était passé. Au lieu de tomber dans le tourbillon de la rivière, ils ont vu que l’homme avait réussi à saisir le bord extérieur du pont avec ses deux mains. Ses jambes pendaient alors qu’il s’accrochait à la poutre d’acier pour sauver sa vie.

Bachard, qui s’était précipité vers l’homme pour tenter de le sauver, s’est rappelé : « Il me regardait avec un regard vide. » Alors que Bachard s’approchait, l’homme lâcha prise et tomba à près de 50 mètres dans le fleuve tourbillonnant. Le sauteur a laissé derrière lui trois journaux, un chapeau de paille et une note.

La note, entassée dans le bord du chapeau, se lit: « Mon nom est Pierre Mitchell ».

L’événement tragique n’a reçu que quelques lignes dans le journal La Presse, avec le titre « Suicide dramatique d’un inconnu » sur la sordide page 3. C’est là que les meurtres, les crimes violents, les suicides et autres horreurs diverses ont été rapportés dans le journal à cette époque.

L’article précisait : « La police pense qu’il est un étranger, ou un sans-abri. » L’article indiquait également que le corps n’avait pas encore été retrouvé, de sorte que l’identité ne pouvait pas être établie de manière certaine.

Un porte-parole de la police aurait déclaré: « Le mystère sera probablement résolu quand ils repêcheront le cadavre du malheureux. »

Lorsque son corps fut finalement repêché dans la rivière, le coroner Jean Roussel apprit que Pierre Mitchell avait soixante et onze ans et qu’il avait un fils nommé Hugh qui vivait dans la rue Sainte-Catherine.

Dans une interview, Hugh Mitchell a déclaré au coroner: « Il ne travaillait pas, et il était très découragé et désemparé. J’ai toutes les raisons de penser que mon père a dû perdre ses facultés mentales. »

Malheureusement, la mort par suicide de Pierre Mitchell ne sera pas la dernière. En effet, sa chute du pont en 1934 a marqué le début d’une terrible histoire qui continue à hanter la structure jusqu’à ce jour.

Avec la terrible chute de Mitchell, et ces quelques lignes de caractères dans La Presse, le pont s’est transformé à jamais en quelque chose de bien plus sinistre. Dès lors, le pont Jacques-Cartier avait acquis une double réputation, celle d’une porte d’entrée de la ville et celle d’un lieu terrifiant pour se suicider.

Depuis la chute de Pierre Mitchell de la travée en 1934, plus de 700 Montréalais ont suivi le mouvement, ce qui a valu au pont Jacques-Cartier la triste réputation d’être le deuxième « pont du suicide » le plus populaire au monde.

En aval du pont, les corps trouvés flottant dans la rivière ou échoués sur le rivage sont souvent découverts par les plaisanciers, les pique-niqueurs, la police ou d’autres personnes errant sur le rivage.

Les témoins étant rarement présents, il n’y a généralement aucun moyen de savoir exactement comment ces personnes ont vécu leur fin tragique et aquatique.

Rendant la situation encore plus dangereuse et dérangeante, le pont Jacques-Cartier est devenu un symbole de sauteurs dans l’esprit de nombreux Montréalais. Contrairement au Golden Gate de San Francisco, qui a tendance à attirer toutes sortes de sauteurs du monde entier, ceux qui ont choisi le Jacques Cartier pour se suicider sont surtout des Montréalais de la région.

En effet, le pont maudit a même engendré une expression souvent utilisée dans l’argot quotidien du Montréal français. Ceux qui ont une mauvaise journée peuvent dire « Je vais me lancer du Pont Jacques Cartier » – ou « I’m going to throw myself off the Jacques Cartier Bridge » en anglais.

Les recherches sur le sujet révèlent tant d’histoires tragiques et horribles. Tant d’histoires tragiques peuvent être facilement trouvées dans les archives des journaux ou par de simples recherches sur Internet. La plupart des sauts sont liés à des cas de dépression et d’autres maladies mentales traitables.

Le sauteur le plus tristement célèbre était un cinéaste renommé du nom de Claude Jutra. Il a été une figure centrale dans le développement du cinéma au Québec et a réalisé deux films d’une importance capitale pour la Révolution tranquille. Le premier est l’autobiographique À tout prendre (1963) et le second est Mon oncle Antoine (1970), qui était largement considéré comme un chef-d’œuvre du cinéma canadien à sa sortie.

Un mystère a frappé la ville lorsque Jutra a disparu de sa maison du Plateau, juste à côté de la place Saint Louis, le 5 novembre 1986. La rumeur disait que le cinéaste souffrait d’une maladie d’Alzheimer précoce et d’une dépression.

Le 19 avril 1987, le corps du célèbre cinéaste québécois s’est échoué sur les rives du fleuve Saint-Laurent, avec dans sa poche un billet sur lequel on pouvait lire « Je m’appelle Claude Jutra » ou « My name is Claude Jutra » en anglais.

Une autopsie a confirmé plus tard que la noyade était la cause de sa mort.

Publiée en 2016, une nouvelle biographie de Claude Jutra prétend qu’il a eu des relations sexuelles avec des garçons. Yves Lever, professeur de cinéma à la retraite et critique de cinéma qui a écrit la biographie, a déclaré à Radio-Canada dans une interview que Jutra « aimait les garçons qui avaient 14 ou 15 ans et même moins. »

La société québécoise a été choquée par ces allégations selon lesquelles Jutra était un pédophile. C’est le récit explosif d’un homme qui a déclaré avoir été abusé sexuellement par M. Jutra pendant 10 ans, à partir de l’âge de 6 ans, qui a déclenché une réaction majeure.

En mai 2018, le nom de M. Jutra a été retiré d’un parc, ainsi qu’une sculpture représentant une caméra de cinéma stylisée. Le nom de M. Jutra a également été retiré du gala que l’industrie cinématographique québécoise distribue comme sa propre version des Oscars.

En plus des centaines de suicides, il y a eu aussi de terribles meurtres sur le pont.

Le 3 juillet 1979, les adolescents Maurice Marcil (14 ans) et Chantal Dupont (15 ans) rentraient chez eux à pied par le pont Jacques-Cartier après avoir assisté à un concert de Gérard Lenorman sur la place des Nations de l’île Sainte-Hélène.

Sur le pont, ils ont été confrontés à deux hommes effrayants nommés Gilles Pimpare et Normand Guerin. Armés d’un couteau et d’un pistolet de départ, les hommes ont forcé les adolescents à descendre sur une passerelle en dessous du pont. Après avoir volé au garçon les 2 dollars qu’il avait en poche et agressé sexuellement la fille, les voyous les ont étranglés avec une corde puis ont jeté leurs corps dans la rivière en contrebas.

Les victimes adolescentes ont d’abord été répertoriées comme des personnes disparues, mais environ une semaine plus tard, leurs corps ont été retrouvés échoués sur la rive en aval.

Les criminels sont retournés sur le pont pour commettre d’autres crimes dégoûtants à une date ultérieure, mais la police était sur leur piste. Les enquêteurs ont découvert la corde qui a servi à étrangler Dupont et Marcil, qui sera finalement utilisée comme preuve contre eux dans un tribunal. La police a également reconstitué d’autres crimes commis sur le pont, tels que des agressions et des vols, qu’elle a reliés aux hommes dérangés.

Après leur arrestation, ils ont été jugés et reconnus coupables après trois jours de délibérations du jury. Le 17 octobre 1984, ils ont tous deux été condamnés à perpétuité pour les crimes odieux qu’ils avaient commis sur le pont Jacques Cartier.

Avec une histoire aussi horrible, comment le pont Jacques Cartier ne pourrait-il pas être hanté par certains des malheureux qui ont connu leur destin sur la travée?

Les fantômes les plus courants sont observés la nuit et les cyclistes et les piétons aperçoivent des figures fantomatiques qui marchent sur le chemin ou regardent fixement dans l’abîme, parfois même en sautant.

Selon le cycliste Alain Bordeleau, qui se rend habituellement à vélo de Longueuil à son travail à Montréal en passant par le pont Jacques-Cartier, même en hiver lorsque c’est illégal:

« Une nuit de juillet 2015, j’ai fait une étrange rencontre en revenant à Longueuil à vélo sur le pont Jacques-Cartier. Alors que je me rendais sur la Rive-Sud à vélo, j’ai remarqué quelque chose d’étrange devant moi, qui avait une lueur verdâtre. J’ai freiné et j’ai décroché avant que la situation que je voyais se dérouler. Mon vélo s’est arrêté à environ 6 mètres de là. »

Bordeleau poursuit: « Je pourrais jurer que ce que j’ai vu était un fantôme. Il était translucide, d’un vert éclatant, et a placé l’échelle fantomatique contre la barrière du suicide, où elle semblait être maintenue en place, bien qu’elle fasse partie des accessoires du fantôme. Assis sur la selle de mon vélo, je l’ai regardé monter rapidement l’échelle et sauter par-dessus la barrière dans le fleuve Saint-Laurent. L’échelle s’est alors dissoute dans l’air, comme si rien ne s’était passé. »

Troublé par ce qu’il avait vu, Alain Bordeleau a continué son voyage de retour à vélo. Tellement troublé par ce qui avait eu lieu, il ne put dormir cette nuit-là.

En raison du nombre élevé de suicides, la société fédérale des ponts a décidé en 2004 de construire une barrière de prévention du suicide après avoir fait pression sur les défenseurs de la santé mentale.

D’un coût de 1,3 million de dollars, la barrière a été élevée à 2 mètres de haut et a été équipée de caméras vidéo et de téléphones d’urgence.

Cette stratégie préventive a permis de réduire le nombre de sauteurs d’une moyenne annuelle de 10 à un nombre inférieur de 3.

En 2017, pour tenter de redorer le blason du pont Jacques-Cartier, le maire de l’époque, Dennis Codère, a ordonné que la structure soit réaménagée avec un nouvel éclairage décoratif.

L’objectif était de marquer à la fois le 150e anniversaire du Canada et le 375e anniversaire de Montréal. Appelé « Living Connections », le projet a été conçu et mis en place sur une période de plusieurs années par la Moment Factory basée à Montréal. Le système d’éclairage, qui comprend des couleurs et des animations variées, est actuellement prévu pour rester actif jusqu’en 2027.

Le pont a été éclairé pour la première fois le 17 mai 2017. Cet anniversaire colonial a marqué le même jour que l’établissement de la colonie française de Ville-Marie en 1642. La cérémonie a donné le coup d’envoi officiel des festivités du 375e anniversaire de cet événement colonialiste.

Depuis que l’éclairage intense a été installé, les observations de fantômes ont considérablement diminué sur la portée.

Le pont Jacques Cartier est sans aucun doute l’un des ponts les plus maudits et les plus hantés de la planète.

Avec plus de 700 suicides, sans parler des meurtres et des fantômes dérangés, la travée a une histoire terrible et est une tache noire sur la réputation de la ville.

Montréal hanté vous recommande d’éviter le pont Jacques-Cartier – ou de le traverser à vos risques et périls!

Où trouver de l’aide:

Service canadien de prévention du suicide

Numéro gratuit 1-833-456-4566

Texte: 45645

Chat : crisisservicescanada.ca

En Français: Association québécoise de prévention du suicide : 1-866-APPELLE (1-866-277-3553)

Jeunesse, J’écoute: 1-800-668-6868 (téléphone), conseils en direct sur jeunessejecoute.ca

Association canadienne pour la prévention du suicide: Trouver un centre crise 24 heures sur 24

Nouvelles de la société

La saison d’Halloween est terminée et Montréal hanté passe en mode hiver.

Normalement, cela impliquerait un passage aux foyers chauds de notre Haunted Pub Crawl. Cependant, Covid-19 a fermé tous les pubs et débits de boissons de Montréal.

C’est pourquoi nous proposerons des tours hanté virtuel tout l’hiver!

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Montréal hanté aimerait remercier tous nos clients qui ont assisté à une promenade fantôme, une tournée de pub hantée ou une enquête paranormale en 2019 – 2020!

Si l’expérience vous a plu, nous vous encourageons à rédiger une critique sur notre page Tripadvisor, ce qui aidera Montréal hanté à commercialiser ses tournées!

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À venir le 13 décembre: Les égouts hantés de Montréal

Sous la ville se trouve un réseau d’égouts couvrant une distance totale de plus de 5 000 kilomètres. Certains tronçons datant de 1832, ce réseau a connu des accidents mortels, notamment des enfants tombant par des trous d’homme ouverts vers leur tombe aquatique. Les tragédies qui se sont déroulées dans ce vaste réseau d’égouts ont inspiré de nombreuses histoires de fantômes. Aujourd’hui, on dit que ce vaste labyrinthe souterrain de canalisations d’égouts, grandes et petites, est extrêmement hanté.

Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.

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