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Bienvenue au cent dix-huitième volet du blogue Montréal hanté !

Avec plus de 600 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois !

Ce service est gratuit et vous pouvez vous inscrire à notre liste de diffusion (en haut à droite pour les ordinateurs de bureau et en bas pour les appareils mobiles) si vous souhaitez le recevoir tous les mois le 13 ! Le blog est publié en anglais et en français !

Nous sommes heureux d’annoncer que notre saison de visites guidées publiques sur les fantômes en plein air bat son plein et que les billets sont en vente ! Parmi celles-ci, on compte : le Vieux-Montréal hanté, la Montagne hantée, le Centre-ville hanté et Griffintown hanté. Les visites d’enquêtes paranormales incluent le Vieux-Cimetière Saint-Antoine et le Vieux-Montréal colonial.

Montréal hanté organise également sa tournée des pubs hantés tous les dimanches à 15 h en anglais. Pour les visites en français, elles ont lieu le dernier dimanche de chaque mois à 14 h.

Pour en savoir plus, consultez le calendrier au bas de notre page d’accueil et voyez plus de détails dans la section Nouvelles de la société ci-dessous !

Des visites privées pour toutes nos expériences (y compris les visites en plein air) peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs. Les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite opérationnelle. Ces visites commencent à 235 $ pour des petits groupes de 7 personnes maximum.

Envoyez un courriel à info@hauntedmontreal.com pour plus d’informations sur la façon de réserver une visite privée !

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Ce mois-ci, nous explorons une légende qui entoure le bâtiment le plus maudit de Montréal : le pavillon Macdonald de l’Université McGill.

Recherche hantée

McGill est une université axée sur la recherche à qui l’on doit de nombreuses découvertes scientifiques et inventions. L’université s’enorgueillit du fait que ses professeurs ont découvert tout ce qui existe, depuis l’ADN, élément constitutif de la génétique, jusqu’aux percées en neurosciences, et qu’ils ont inventé toutes sortes de merveilleuses choses.

Parmi celles-ci, on dénombre les premières cellules sanguines artificielles, les masques à gaz, le plexiglas, les bâtonnets de poisson précuits, l’hymne national canadien et même le basket-ball. L’Université McGill qualifie ces découvertes de « moments eurêka qui ont changé le monde ».

Cependant, certains projets de recherche ont connu une issue tragique, que l’université a tendance à minimiser. L’une des inventions les plus dévastatrices a vu le jour dans le pavillon Macdonald de physique de l’université McGill, qui est dorénavant considéré comme maudit.

Le matin du 6 août 1945, un bombardier américain B-52 largua une bombe atomique sur Hiroshima, au Japon.

La bombe, baptisée « Little Boy », explosa dans un holocauste infernal, tuant instantanément entre 60 000 et 80 000 personnes.

La chaleur dégagée par l’explosion nucléaire fut si intense que de nombreuses personnes furent pulvérisées et que le souffle détruisit dix kilomètres carrés de la ville, contaminant le reste de radiations nucléaires. Parmi les victimes figuraient les habitants d’Hiroshima, des prisonniers de guerre coréens et même certains prisonniers de guerre américains.

La découverte qui conduisit à la bombe atomique eut lieu dans le pavillon de physique MacDonald.

Le bâtiment fut construit en 1893 grâce à un don de Sir William Christopher MacDonald, fondateur, propriétaire et directeur de la compagnie MacDonald Tobacco.

Même s’il entretenait une aversion pour le tabac, il était ravi d’empocher des millions de dollars en vendant ce produit dangereux à autrui.

Plus de la moitié de sa main-d’œuvre était composée de femmes et d’enfants, qui étaient beaucoup moins bien payés que les hommes. Ils effectuaient la plupart des tâches ingrates, telles que le dépouillement, le tri et le séchage des plants de tabac.

La devise de l’entreprise de MacDonald était « le tabac avec du cœur ».

MacDonald se prenait également pour un homme de science. Il créa donc des chaires en physique, en génie et en chimie à l’Université McGill et finança la construction de divers bâtiments.

L’architecte Sir Andrew Taylor, en collaboration avec ses partenaires Morley Hogle et Huntley Davis, conçut le pavillon MacDonald de physique avec un soin particulier.

Ils construisirent l’édifice dans le style roman Richardsonien en utilisant uniquement du bois, des pierres, du cuivre, du bronze et du laiton pour les clous et les fixations.

Aucun fer ni acier ne fut utilisé afin de minimiser les interférences magnétiques susceptibles de compromettre les expériences. L’intérieur fut construit avec des briques épaisses et les laboratoires furent équipés d’appareils à la pointe de la technologie de l’époque.

Le porche est flanqué de deux colonnes, l’une symbolisant le pouvoir, l’autre le savoir. De plus, le manteau de la cheminée du hall d’entrée est gravé de la maxime « Prove All Things » (Prouvez toutes choses).

En 1898, l’Université McGill recrute Ernest Rutherford, un jeune Néo-Zélandais au regard pénétrant et aux manières maladroites, comme nouveau titulaire de la chaire Macdonald et professeur de physique.

En 1903, le professeur Rutherford fit une découverte majeure en avançant l’hypothèse que l’énergie radioactive pouvait être émise par un atome dans certaines conditions.

Ses théories sur la radioactivité révolutionnèrent la compréhension scientifique de l’atome et marquèrent le début de l’ère atomique, ainsi que l’avènement de la bombe atomique.

Au cours de ses neuf années passées à McGill, Rutherford mena de nombreuses expériences révolutionnaires et publia pas moins de 69 articles. Surnommé « le père de la physique nucléaire », Rutherford s’est vu décerner le prix Nobel de chimie en 1908.

De plus, son collègue à McGill, Frederick Soddy, reçut le prix Nobel de chimie en 1921 pour ses recherches sur la désintégration radioactive.

Cependant, malgré ces distinctions qui faisaient la renommée de l’Université McGill pour la qualité de ses recherches, les choses allaient prendre une tournure tragique.

Le soir du bombardement d’Hiroshima, le journal Montreal Gazette dépêcha un journaliste au pavillon MacDonald de physique dans l’espoir d’interviewer le Dr John Stuart Foster, le successeur du professeur Rutherford.

En entrant dans le bâtiment sombre et désert, le journaliste erra dans les couloirs obscurs jusqu’à ce qu’il tombe sur le Dr Foster, penché sur une table dans l’un des amphithéâtres.

Une lumière éclairait sa table, le reste de la pièce étant plongé dans l’obscurité.

Le professeur Foster tambourinait nerveusement du poing sur la table et son regard était hagard. Il se mit à parler tout seul, comme un fou. « Tout a commencé ici, dans ce bâtiment, murmura-t-il, ici même, dans ce bâtiment ! »

Le journaliste, sentant que ce n’était pas le moment d’interviewer le professeur en émoi, prit congé discrètement, laissant le Dr Foster seul avec ses pensées dans le grand amphithéâtre silencieux. Il eut donc de la difficulté à rédiger son article.

Le professeur Foster ne fut plus jamais le même après cette soirée. Des rumeurs circulèrent au sujet de sa santé mentale et il acquit rapidement la réputation de « savant fou».

Depuis ce jour fatidique où les recherches de McGill portèrent leurs fruits, la rumeur veut que de nombreux autres étudiants et enseignants aient perdu la raison en travaillant dans le pavillon de physique MacDonald.

Selon la légende, Dame Nature fut très contrariée par cette violation des lois naturelles de son œuvre sacrée. Elle maudit donc le pavillon de physique MacDonald, le condamnant à la ruine.

Peu de temps après, toutes sortes de problèmes firent leur apparition dans le bâtiment.

Les portes se coinçaient et les fenêtres se fissuraient. La pluie s’infiltrait à travers le plafond. Des rats, des souris et des insectes de toutes sortes infestaient le bâtiment. Par conséquent, des expériences importantes étaient parfois compromises, malgré l’architecture méticuleuse conçue pour les protéger.

À l’extérieur, les murs commençaient à s’effriter, des tuiles tombaient du toit et divers oiseaux nichaient jusque dans les moindres recoins de l’édifice. Recouvert de vigne vierge, le pavillon de physique MacDonald offrait alors un spectacle désolant.

Des plaintes émanaient également des étudiants, des professeurs et du personnel travaillant dans le bâtiment maudit. Il était notamment question de maux de tête fréquents, de nausées, de sentiments dépressifs et même de l’apparition d’une peur extrême de devenir fou.

Les personnes atteintes de cette phobie ressentent une anxiété liée à la perte de leur emprise sur la réalité, comme la crainte d’avoir des hallucinations ou de présenter d’autres troubles psychotiques.

Ces nombreux problèmes n’étaient pas propices aux exigences scientifiques précises du département de physique de McGill. Ironiquement, l’espoir que surviennent de nouveaux « moments eurêka » et l’obtention de prix Nobel était contrecarré par la nature même du pavillon de physique MacDonald.

Alors que les plaintes s’accumulaient et que le bâtiment tombait en ruine, le département de physique de l’Université McGill créa en 1948 un nouveau laboratoire de recherche sur la radiation et un cyclotron sous la direction du Dr Foster. À la mort de ce dernier, victime d’une crise cardiaque en 1964, l’installation fut baptisée en son honneur.

Cependant, malgré ce nouveau laboratoire, l’ancien pavillon de physique MacDonald poursuivait sa dégradation.

En réponse, l’Université McGill érigea le nouveau pavillon de physique Ernest-Rutherford en 1977. Il était destiné à fournir des installations et des laboratoires plus modernes pour pallier la vétusté du pavillon de physique MacDonald.

Construite dans le style brutaliste, cette infrastructure de cinq étages était composée de dalles préfabriquées en béton, fixées individuellement à une ossature métallique imposante.

Des précautions furent prises afin de garantir la stabilité optimale du nouveau bâtiment. En effet, la nature sensible des expériences menées dans ses laboratoires exigeait des conditions rigoureuses.

En effet, cette nouvelle et remarquable structure en béton laissait présager la disparition du bâtiment d’origine.

En 1982, l’Université McGill admit que le pavillon de physique MacDonald n’était plus adapté à son usage. Les responsables déclarèrent : « Il ne répondait plus aux besoins du département de physique moderne. »

Le vieux bâtiment maudit fut donc fermé, entièrement rénové, puis reconverti en « Pavillon Macdonald-Stewart de sciences physiques et d’ingénierie ».

L’Université McGill déclara : « Sa structure robuste est parfaitement adaptée pour abriter plusieurs milliers de livres et elle est toujours fréquentée par de nombreux physiciens qui y font leurs recherches. »

Cependant, malgré sa rénovation et sa conversion en bibliothèque, le pavillon de physique MacDonald continua à se dégrader lentement.

En 2019, l’édifice était dans un état déplorable. Afin d’empêcher le bâtiment de s’effondrer, l’Université McGill investit 31,8 millions de dollars dans une « rénovation complète », qui fut achevée en 2023.

Selon le McGill Reporter :

« Le cœur du projet consistait à réparer et à moderniser le revêtement extérieur du bâtiment, y compris les façades détériorées. Certaines parties des façades avaient en effet été recouvertes pendant de nombreuses années afin d’empêcher les pierres de se détacher. »

La gestionnaire de projet Johanne Guertin précise :

« Nous avons dû ajouter des renforts structurels au bâtiment afin d’améliorer sa résistance sismique, de le solidifier et de consolider la façade. »

Cependant, malgré les rénovations complètes, de vives inquiétudes persistent. Le problème fondamental, à savoir le sort jeté par mère Nature qui pèse sur le pavillon de physique MacDonald, n’a jamais été correctement résolu.

Certains prétendent que les rénovations ne sont qu’une solution provisoire pour un bâtiment voué à l’effondrement.

Montréal hanté a contacté un professeur de philosophie de l’Université McGill afin qu’il nous éclaire sur ce dilemme singulier et remarquable. Le professeur a accepté d’être interviewé, à condition de rester totalement anonyme.

Tout d’abord, le professeur remit en cause l’idée selon laquelle mère Nature aurait maudit le bâtiment pour le voir tomber en ruine. « Certains prétendent qu’il s’agit d’une simple légende urbaine et rien de plus », affirma-t-il.

Cependant, dans l’esprit de la réflexion philosophique, l’éducateur accepta de considérer l’hypothèse de la « malédiction » comme véridique.

Le professeur cita d’abord ceci :

« Les gens doivent faire preuve de prudence, car tout ce qui est construit par l’homme peut être détruit par la nature. »

Il attribua cette citation au lieutenant-général américain Russel Honoré, qui dirigea les opérations de sauvetage lors de l’ouragan Katrina en 2005 à La Nouvelle-Orléans.

Le professeur nous expliqua que la nature est connue pour riposter aux activités destructrices de l’homme, déclarant : « Cela peut prendre la forme du réchauffement climatique, de catastrophes naturelles, d’épidémies mondiales et autres forces puissantes. »

Interrogé expressément sur le pavillon de physique MacDonald, le professeur de philosophie affirma : « Si la malédiction est réelle, il vaudrait mieux laisser le bâtiment se détériorer. »

Ce faisant, ajouta le professeur, l’Université McGill pourrait connaitre un autre moment eurêka et tirer une leçon essentielle : cesser d’interférer avec la nature. De plus, la présence de ruines au milieu du campus offrirait des possibilités pédagogiques captivantes d’étude et de réflexion. Peut-être pourraient-ils même établir un partenariat avec le Mémorial de la paix d’Hiroshima, ou le Dôme de Genbaku, au Japon ! »

Ainsi, tous les regards sont tournés vers le pavillon de physique MacDonald, récemment rénové, pour voir si le processus de délabrement reprendra.

Nouvelles de la société

La saison des visites fantômes extérieures de Montréal hanté bat son plein et les billets sont en vente ! Parmi les visites proposées, on compte le Vieux-Montréal hanté, le Mont-Royal hanté, le Centre-Ville hanté et Griffintown hanté. Les visites d’enquêtes paranormales incluent le Vieux-Cimetière Saint-Antoine et le Vieux-Montréal colonial.

Nous organisons également notre tournée des pubs hantés tous les dimanches à 15h en anglais. Pour les visites en français, elles ont lieu le dernier dimanche de chaque mois à 14h.

Les visites privées pour toutes nos expériences (y compris les visites en plein air) peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs.

Les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite opérationnelle. Ces visites sont basées sur la disponibilité de nos comédiens et commencent à 235$ pour des petits groupes jusqu’à 7 personnes.

Envoyez un courriel à info@hauntedmontreal.com pour plus d’informations sur la façon de réserver une visite privée !

Vous pouvez également apporter l’expérience Montréal hanté à votre fête de bureau, à votre maison, à votre école ou à votre événement en réservant dès aujourd’hui l’un de nos conteurs fantômes en tournée.

Écoutez quelques-uns des récits les plus effrayants de nos visites et de notre blog racontés par un acteur et conteur professionnel. Vous fournissez le lieu, nous fournissons les histoires et le conteur. Renseignez-vous et contactez info@hauntedmontreal.com

Notre équipe diffuse un samedi sur deux, dans les deux langues, des vidéos d’histoires de fantômes du Blogue de Montréal hanté. Animée par Holly Rhiannon (en anglais) and Dr. Mab (en français), cette nouvelle initiative plaira à coup sûr aux fans d’histoires de fantômes !

N’hésitez pas à liker, vous abonner et activer la cloche !

Dans d’autres nouvelles, si vous voulez offrir à quelqu’un une expérience hantée en cadeau, vous le pouvez certainement !

Nous offrons des chèques-cadeaux Montréal hanté sur notre site Web et échangeables via Eventbrite pour l’un de nos événements en personne ou virtuels (sans date d’expiration).

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Les achats peuvent être commandés via notre boutique en ligne : shop.hauntedmontreal.com

Montréal hanté modifie son expérience de blog en raison d’un engagement sur un gros projet d’écriture !

Le livre s’intitule « McGill hanté » et est écrit par mon serviteur, Donovan King ! Notre éditeur est la Stygian Society.

L’Université McGill n’est pas seulement réputée pour son prestige universitaire : elle est aussi le berceau de certaines des histoires de fantômes les plus fascinantes de Montréal.

Notre prochaine publication, « Haunted McGill », explore les légendes étranges et les fantômes bien réels du campus, vous faisant découvrir des lieux incontournables comme les portes Roddick et le Pavillon des Arts, où l’on raconte qu’il abrite des esprits persistants.

Nous effectuons un financement participatif via le Scriptorium de la Stygian Society. Les 25 premiers donateurs recevront un exemplaire exclusif de la première édition, de magnifiques reproductions d’art et d’autres trésors effrayants. Aidez-nous à atteindre notre objectif d’ici juillet et à vous procurer votre morceau de l’histoire hantée de Montréal. Ne manquez pas cette occasion ! Soutenez-nous dès aujourd’hui et rendez l’histoire encore plus effrayante ! Pour soutenir le projet, cliquez sur ce lien !

Jusqu’à leur publication, de nouvelles histoires sur le blog Montréal hanté seront proposées tous les deux mois, tandis que tous les deux mois, il y aura une mise à jour d’une histoire ancienne. Comme toujours, ces histoires et mises à jour seront publiées le 13 de chaque mois !

Montréal hanté tient à remercier tous nos clients qui ont assisté à une marche fantôme, une tournée des pubs hantés, une enquête paranormale ou un événement virtuel !

Si vous avez apprécié l’expérience, nous vous encourageons à écrire une critique sur notre page Tripadvisor et/ou Google Reviews, ce qui aide vraiment Montréal hanté à commercialiser ses circuits.

Enfin, si vous souhaitez recevoir le blogue de Montréal hanté le 13 de chaque mois, veuillez vous inscrire à notre liste de diffusion.

À venir le 13 juillet : Mise à jour du blogue sur l’oratoire Saint-Joseph

L’emblématique oratoire Saint-Joseph de Montréal fait l’objet d’importants travaux de rénovation depuis 2018, pour un coût de 150 millions de dollars. L’objectif est d’améliorer l’accessibilité et de créer un nouveau centre d’accueil, un musée et un observatoire dans le gigantesque dôme. Cependant, en août 2019, des ouvriers ont mis au jour quatre squelettes autochtones précoloniaux sous le stationnement de l’Oratoire. Au printemps 2023, trois autres dépouilles ont été découvertes, soulevant de nombreuses questions et préoccupations quant à la profanation de sept ancêtres mohawks âgés de plus de 1 000 ans.

Auteur :

Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.

Traductrice :

Claude Chevalot détient une maîtrise en linguistique appliquée de l’Université Mcgill. Elle est rédactrice, réviseure et traductrice. Depuis plus de 15 ans, elle se consacre presque exclusivement à la traduction littéraire et à la traduction de textes sur l’art actuel et contemporain.

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