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Bienvenue au cent seizième volet du blogue Montréal hanté !

Avec plus de 600 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois !

Ce service est gratuit et vous pouvez vous inscrire à notre liste de diffusion (en haut à droite pour les ordinateurs de bureau et en bas pour les appareils mobiles) si vous souhaitez le recevoir tous les mois le 13 ! Le blog est publié en anglais et en français !

Nous sommes heureux d’annoncer que notre saison de visites fantômes publiques en plein air est maintenant en cours et que les billets sont en vente !

Parmi ces événements, on compte le Vieux-Montréal hanté, le Mont-Royal hanté, le Centre-ville hanté et Griffintown hanté. Les enquêtes paranormales incluent le Vieux-Cimetière Sainte-Antoine et le Vieux-Montréal colonial.

Montréal hanté organise également sa tournée des pubs hantés tous les dimanches à 15 h en anglais. Pour les visites en français, elles ont lieu le dernier dimanche de chaque mois à 14 h.

Pour en savoir plus, consultez le calendrier au bas de notre page d’accueil et voyez plus de détails dans la section Nouvelles de la société ci-dessous !

Des visites privées pour toutes nos expériences (y compris les visites en plein air) peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs. Les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite opérationnelle. Ces visites commencent à 235 $ pour des petits groupes de 7 personnes maximum.

Envoyez un courriel à info@hauntedmontreal.com pour plus d’informations sur la façon de réserver une visite privée !

Enfin, et c’est important, nous avons ouvert une boutique en ligne pour ceux qui sont intéressés par la marchandise de Montréal hanté.

Vous trouverez plus de détails ci-dessous dans notre section Nouvelles de la société!

Il existe une vieille histoire de fantômes peu connue qui se déroule dans le village de Beaurepaire, à Beaconsfield, intitulée « Les fantômes soldats de la Pointe-à-Quenet ». Relatée par le célèbre folkloriste E.-Z. Massicotte, l’histoire est liée à la plus ancienne maison de la péninsule. Les habitants de la maison auraient aperçu des soldats fantômes sortant de la cave des vestiges d’un fort colonial et défilant en formation autour de la propriété. Cette étrange histoire de fantômes s’est transmise de génération en génération dans l’ancienne demeure connue aujourd’hui sous le nom de la Maison Beaurepaire.

Recherche hantée

Le village de Beaurepaire, dans la banlieue ouest de l’île de Montréal, est un quartier pittoresque où les habitants peuvent faire leurs courses et manger un morceau dans un pub local. Connu pour sa douceur de vivre, le village est le théâtre d’une histoire de fantômes presque oubliée qui remonte à plusieurs siècles.

Intitulé « Les soldats fantômes de la Pointe-a-Quenet », ce conte hanté fut publié en français par Édouard-Zotique Massicotte. Lrécit parut dans l’édition du mois d’août 1927 dans LE BULLETIN DES Recherches Historiques, VOL. XXXIII, No. 8.

Massicotte, auteur et folkloriste, a recueilli quelque 5 000 versions de chansons et d’histoires du Canada français. Il a également publié de nombreux articles et ouvrages sur les traditions, les coutumes et la petite anecdotique du Québec.

L’histoire des « soldats fantômes de la Pointe-à-Quenet » se déroule dans l’une des plus anciennes maisons du village de Beaurepaire.

Connue sous les noms de Maison de Beaurepaire, Dornal Hall et Maison Amable-Curot, cette demeure seigneuriale fut érigée vers 1765 par l’artisan Basil Proulx.

Située au bord de la rivière, au 13 Thompson Point Road, la Maison de Beaurepaire a été construite en pierre des champs et est surmontée d’un toit symétrique à pente douce qui comprend cinq lucarnes.

La Maison de Beaurepaire est un joyau historique et architectural rare dans la municipalité de Beaconsfield. En effet, la maison est si importante qu’elle arbore même une plaque historique sur sa pelouse avant.

La pointe de terre où se dresse la maison possède une histoire qui remonte à des milliers d’années. Située sur l’île de Tiohtià:ke, le nom mohawk de l’île actuelle de Montréal, la région était probablement utilisée par diverses Premières Nations pour la navigation, la pêche, le commerce et pour s’abriter des eaux agitées et des intempéries.

Cependant, lorsque les Français colonisèrent Tiohtià:ke en 1642, les prêtres sulpiciens « héritèrent » de l’île entière en 1663 après qu’elle eut été « cédée » par « la Société Notre-Dame de Montréal pour la conversion des peuples sauvages de la Nouvelle-France ». Avant cela, Jacques Cartier avait revendiqué tout le territoire autochtone au nom du roi de France en juillet 1534, en érigeant une croix dans la baie de Gaspé.

Pourtant, ni la Première Nation mohawk ni aucun autre peuple autochtone du Québec actuel n’a jamais cédé ses territoires aux Français ou à qui que ce soit d’autre. En effet, les Premières Nations continuent de réclamer la restitution de leurs terres à ce jour.

Ces arguments n’ont pas empêché les Sulpiciens d’accorder la première concession de territoire à la « Pointe de Beaurepaire », comme ils l’appelaient, en 1678. Elle était également connue sous le nom de « Pointe Ana8y ». Ana8y (prononcé « Anaouy ») était évidemment un nom algonquin pour désigner la pointe, qui signifie « rivière et courant ».

Les Sulpiciens ont donné la terre à un colon nommé Jean Quenet qui était impliqué dans le commerce des fourrures. Les Sulpiciens exigèrent de Quenet qu’il construise un poste de traite fortifié sur la terre, une protection aux colons.

Cependant, une guerre entre les colonisateurs français et la Confédération Haudenosaunee contrecarra les plans de Quenet.

Il a dû attendre 1698 pour échafauder sa fortification, lorsque les tensions militaires s’apaisèrent avant un important traité de paix en 1701.

Selon des documents fournis par la Société historique de Beaurepaire, Jean Guenet a conçu l’édifice comme un poste de traite fortifié, construit pièce sur pièce (avec des rondins). Le fort comprenait des meurtrières biseautées (embrasures) dans ses fondations en pierre pour la défense. Une carte de 1744 montre le Fort de la Pointe à Quenet sur le site.

Après la conquête britannique de 1760, les forts du régime français devinrent largement obsolètes et beaucoup furent abandonnés ou démolis.

Lorsque la Maison de Beaurepaire fut construite vers 1765, les fondations de l’ancien fort furent de toute évidence intégrées à la nouvelle maison pour former une partie de sa cave.

Au fil des décennies, la maison changea de mains à de nombreuses reprises. Le second locataire, Amable Curot, en fit l’acquisition en 1769 après la mort de Quenet. Lorsque Massicotte publia son histoire de fantômes en 1929, la maison était passée entre les mains d’une quinzaine de familles depuis sa construction.

En effet, tout un quartier de banlieue s’était développé autour de la maison au moment de la publication du récit.

En 1929, le propriétaire était l’avocat John Augustine Mann, C.R., et la maison était connue sous le nom de Dornal Hall.

Massicotte entame son récit intitulé « Les soldats fantômes de la Pointe-à-Quenet » par la préface suivante :

« À cet emplacement s’attache une légende qui nous fut racontée l’an dernier par Mlle Louise Swindlehurst, alors journaliste et maintenant l’épouse de M. Cooper, de la rédaction de la Gazette. »

Massicote plonge par la suite au cœur du récit :

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« Par une chaude et lourde après-midi, il y a quinze ans, la cuisinière de la Dornal Hall repose sur sa chaise, opérant avec quiétude la digestion laborieuse d’un copieux repas.

La cuisine, domaine de la domestique, est contiguë avec les restes d’un vieux fort qui sert de caveau ou de dépense. Une porte met en communication les deux pièces. Le plus grand silence règne dans la maison lorsque la servante voit la porte du caveau s’ouvrir et un jeune militaire pénétrer dans la cuisine. Il est coiffé d’un tricorne, campé sur une chevelure blanche ou poudrée, et certains détails de son costume indiquent que c’est un officier.

N’accordant aucun regard à la domestique, dont il parait ignorer la présence, le nouvel arrivé s’arrête à quelques pas du caveau, et la main gauche appuyée sur le pommeau de son épée, il attend.

Par la porte restée entr’ouverte, arrivent alors quatre soldats portant fusil sur l’épaule droite et la cuisinière terrifiée voit (car il ne fait que remuer les lèvres) l’officier dicter un ordre à ses subalternes. Cependant, aucun son, aucun bruit ne se produisent. Après ces préliminaires, les cinq hommes traversent la cuisine, sortent par la porte qui donne sur la pelouse à l’arrière de la maison, puis s’évanouissent clans la direction du lac Saint-Louis dont la grève borne l’emplacement. »

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Massicotte évoque ensuite les spéculations sur l’identité de ces soldats fantômes.

Veuillez noter que Montréal hanté a cité Massicotte directement pour des raisons d’exactitude historique et que nous n’approuvons pas son langage raciste.

Il écrivit :

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« Le récit de cette vision ou de ce rêve a été répété maintes fois. Tous les possesseurs de la maison de Quenet se le transmettent et il a fait surgir de nombreuses conjectures.

D’abord, on a cherché à imaginer la nationalité des soldats. Les uns ont pensé que ce pouvait être des militaires du régiment de Hesse réfugiés à Beaurepaire, après avoir combattu avec les Anglais de l’armée de Washington.

D’autres prétendirent que c’étaient les ombres de quelques soldats français de la garde que devait avoir Jean Quenet, l’inspecteur du castor, qui demeurait à cet endroit.

Que Jean Quenet ait eu une garde, l’hypothèse est plausible, car après le massacre de Lachine, il est probable que ce fonctionnaire en se construisant une maison fortifiée, ait entretenu une petite garnison pour assurer la conservation des fourrures de la compagnie des Indes qu’il représentait. Un poste aussi éloigné de Montréal était exposé aux incursions, tant de la part des maraudeurs à peau rouge que de celles des cambrioleurs aux visages pâles.

On a cherché également à savoir, s’il n’y avait pas eu quelques combats au cours desquels des soldats auraient été tués et enterrés à cet endroit, mais les fouilles dans le sol comme dans les registres ont été inutiles jusqu’à présent ».

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Lorsque Montréal hanté interrogea Pauline Faguy-Girard, la présidente actuelle de la Société historique Beaurepaire-Beaconsfield, elle répondit :

« J’ai entendu parler de l’histoire de fantômes par Barbara, la propriétaire de la vieille maison de 1770, de 1997 jusqu’à sa mort en 2023. Barbara a été présidente de la Société historique Beaurepaire-Beaconsfield pendant de nombreuses années… Quant aux fantômes soldats, la propriétaire (Barbara) les a décrits comme étant des soldats fenians, mais comme vous pouvez le lire dans le texte que vous avez mentionné, nous ne savons pas exactement de quel type de soldats il s’agissait. »

Faguy-Girard a également déniché le texte suivant, « Les fantômes de la pointe Thompson » :

« C’est la cuisinière de M. Robert Reford (né en 1867) qui aurait vu les fantômes. Eric Reford, son fils, m’a raconté l’histoire telle qu’elle lui a été rapportée. La cuisinière demanda à M. Reford si elle pouvait s’asseoir avec lui. Il lui demanda si quelque chose n’allait pas. Elle lui dit que la porte s’était ouverte depuis la cave, qu’un homme en était sorti, un soldat avec un galon de sergent ; il ordonna à 6 ou 7 soldats de sortir et les fit défiler. La description correspondait à un régiment britannique. Lorsque M. Reford se leva pour observer, ils avaient disparu. »

Lorsque l’on s’interroge sur les origines de ces fantômes militaires, l’analyse de l’histoire et des uniformes des soldats français, britanniques, hessois et fenians s’avère un exercice utile.

Les soldats français faisaient partie des colons qui ont entrepris la colonisation de Tiohtià:ke en 1642. Ces soldats portaient généralement des manteaux blancs ou de couleur claire avec des parements rouges ou bleus, ainsi que des culottes rouges et un chapeau tricorne. Il y avait également des variations mineures selon le régiment et le grade.

L’armée britannique marcha sur Montréal en 1760, qui capitula sans qu’un seul coup de feu soit tiré. Les nouveaux colonisateurs mirent effectivement fin à l’ère de la Nouvelle-France.

Les soldats britanniques portaient le traditionnel manteau rouge, une chemise blanche, un pantalon gris et un tricorne. Les parements et les dentelles pouvaient varier selon le régiment.

Les soldats hessois étaient des troupes allemandes engagées par les Britanniques pour combattre pendant la Révolution américaine.

Ils portaient généralement des manteaux bleus avec des dentelles et des garnitures colorées, et certains régiments arboraient des tissus jaunes, des galons et des franges.

Enfin, les fenians étaient des rebelles irlandais qui tentèrent à maintes reprises d’envahir le Canada depuis les États-Unis. Leur objectif était de se libérer du joug de la puissance coloniale britannique en Irlande en utilisant leurs territoires nord-américains comme monnaie d’échange.

Les soldats fenians portaient une veste verte, inspirée de la veste de l’armée américaine, avec une bordure dorée sur le col et le long des bords. Les vestes comportaient six boutons en laiton portant l’inscription « IRA » (« Irish Republican Army ») entourée de trèfles. Ils portaient une casquette en tissu bleu comme couvre-chef.

Étant donné que la description du jeune soldat fantomatique mentionne un tricorne et des cheveux blancs poudrés, les Féniens et les Hessois peuvent être exclus. Aucune de ces deux forces ne portait de perruque poudrée, popularisée pour la première fois par le roi de France Louis XIV.

Connu pour son style de vie extravagant et son sens de la mode, le roi portait une perruque poudrée pour lutter contre la chute des cheveux et projeter une image de puissance et d’autorité.

Les perruques poudrées étaient essentiellement un symbole de pouvoir et d’aristocratie, et étaient généralement réservées aux officiers de haut rang dans les armées coloniales.

Quant aux armes décrites, l’épée et les fusils étaient courants chez les soldats français et britanniques.

Le meilleur indice est peut-être que les soldats spectraux sont sortis des vestiges du Fort de la Pointe à Quenet, ce qui suggère un lien avec l’époque de la Nouvelle-France.

De plus, le fait que les soldats aient reçu l’ordre d’effectuer un exercice laisse entendre une volonté d’afficher leur domination militaire.

La seule fois où cette pointe de terre a été menacée par les militaires, ce fut à l’époque de la Nouvelle-France. Dès le début de la colonisation de l’île, les guerriers de la Confédération iroquoise ont cherché à chasser les colons de leurs territoires traditionnels. Des centaines de conflits sanglants ont opposé ces deux forces jusqu’à la signature de la Grande Paix de Montréal en 1701.

Ainsi, il semble probable que ces soldats fantômes étaient français. Bien sûr, il est également possible que l’histoire ait été inventée par des imaginations fertiles il y a des centaines d’années.

En effet, Massicotte conclut son récit par ceci :

« On peut avoir raison de suspecter la véracité de la légende des soldats fantômes. Sans doute elle repose sur un songe dont les éléments doivent provenir de quelques conversations sur le passé du fort Quenet et que la servante avait entendues. Mais, doit-on s’excuser d’en parler ? Bien des légendes reconnues fausses, ne se détruisent pas. Quand elles sont jolies, elles sont plus fortes que l’histoire. Ajoutons encore que les légendes sont parfois des dentelles mignonnes qui ornementent le vêtement de l’histoire vraie — ou à peu près vraie — et qu’il n’y a pas lieu de les abolir, si l’on veut bien les prendre pour ce qu’elles sont. »

Nouvelles de la société

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Vous pouvez également apporter l’expérience Montréal hanté à votre fête de bureau, à votre maison, à votre école ou à votre événement en réservant dès aujourd’hui l’un de nos conteurs fantômes en tournée.

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Notre équipe diffuse un samedi sur deux, dans les deux langues, des vidéos d’histoires de fantômes du Blogue de Montréal hanté. Animée par Holly Rhiannon (en anglais) and Dr. Mab (en français), cette nouvelle initiative plaira à coup sûr aux fans d’histoires de fantômes !

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Nous offrons des chèques-cadeaux Montréal hanté sur notre site Web et échangeables via Eventbrite pour l’un de nos événements en personne ou virtuels (sans date d’expiration).

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De plus, Montréal hanté modifie son expérience de blog en raison d’un engagement sur un gros projet d’écriture !

Le livre s’intitule « McGill hanté » et est écrit par mon serviteur, Donovan King ! Notre éditeur est la Stygian Society.

L’Université McGill n’est pas seulement réputée pour son prestige universitaire : elle est aussi le berceau de certaines des histoires de fantômes les plus fascinantes de Montréal. Notre prochaine publication, « Haunted McGill », explore les légendes étranges et les fantômes bien réels du campus, vous faisant découvrir des lieux incontournables comme les portes Roddick et le Pavillon des Arts, où l’on raconte qu’il abrite des esprits persistants.

Nous effectuons un financement participatif via le Scriptorium de la Stygian Society. Les 25 premiers donateurs recevront un exemplaire exclusif de la première édition, de magnifiques reproductions d’art et d’autres trésors effrayants. Aidez-nous à atteindre notre objectif d’ici juillet et à vous procurer votre morceau de l’histoire hantée de Montréal. Ne manquez pas cette occasion ! Soutenez-nous dès aujourd’hui et rendez l’histoire encore plus effrayante !

Jusqu’à leur publication, de nouvelles histoires sur le blog Montréal hanté seront proposées tous les deux mois, tandis que tous les deux mois, il y aura une mise à jour d’une histoire ancienne. Comme toujours, ces histoires et mises à jour seront publiées le 13 de chaque mois !

Montréal hanté tient à remercier tous nos clients qui ont assisté à une marche fantôme, une tournée des pubs hantés, une enquête paranormale ou un événement virtuel !

Si vous avez apprécié l’expérience, nous vous encourageons à écrire une critique sur notre page Tripadvisor et/ou Google Reviews, ce qui aide vraiment Montréal hanté à commercialiser ses circuits.

Enfin, si vous souhaitez recevoir le blogue de Montréal hanté le 13 de chaque mois, veuillez vous inscrire à notre liste de diffusion.

À venir le 13 mai : Mise à jour du blogue sur la boîte de nuit hantée au 1234 de La Montagne

La boîte de nuit hantée, la plus tristement célèbre de Montréal, au 1234 de La Montagne, a été transformée en grill japonais. Rebaptisé Yoko Luna, le restaurant haut de gamme est le plus grand club gastronomique du Canada, occupant un espace de 1 858 mètres carrés. Situé dans « un environnement onirique », l’établissement dispose d’un bar à whisky, d’un bar à cocktails, d’une salle à manger et de terrasses. Cependant, affligé d’une sombre histoire de funérarium effrayant et hanté, on peut se demander comment les anciennes hantises affectent le nouveau club de dîner.

Auteur :

Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.

Traductrice :

Claude Chevalot détient une maîtrise en linguistique appliquée de l’Université Mcgill. Elle est rédactrice, réviseure et traductrice. Depuis plus de 15 ans, elle se consacre presque exclusivement à la traduction littéraire et à la traduction de textes sur l’art actuel et contemporain.

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