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Blogue #56 de Montréal hanté – Le Bonhomme Sept Heures

Il existe de nombreuses descriptions de lui, selon la région du Québec. Pour certains, cette créature est décrite comme un vieil homme grand et maigre, au long nez tordu, qui erre dans les rues la nuit, portant un grand sac de toile de jute. Pour d’autres, cet être redouté prend l’apparence d’un vieil homme vêtu comme un vagabond avec une longue barbe noire, des cheveux sales, vêtu de plusieurs manteaux et de vêtements délabrés. Dans l’ensemble, il est connu comme un homme démoniaque, pas tout à fait humain, capable d’utiliser des astuces étonnantes pour enlever des enfants et les transporter dans son grand sac en toile de jute. Dans toutes les histoires, le Bonhomme Sept Heures déclenche la peur de la mort et de la nuit.

Blogue #55 de Montréal hanté – Le pari fantomatique du Réseau Express Métropolitain (2ème partie)

Les fantômes se régaleront du côté électrique. Ils cherchent une source pour pouvoir se manifester, donc oui, les fantômes vont hanter le REM. Je te le dis, vous verrez des gens se plaindre de choses étranges qui se passent au REM et aux personnes qui y travaillent. Les fantômes vont même causer des problèmes au niveau du train et il y aura souvent des pénuries d'électricité et des dysfonctionnements du train.

Blogue #54 de Montréal hanté – Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours

L’église est entourée de mystère. Non seulement les corps de plusieurs religieuses sont enterrés dans la crypte, mais c’est également là que se trouvent les restes sacrés de Sainte Marguerite Bourgeoys, une statue miraculeuse et un tableau de 1848 probablement hanté appelé « Le Typhus » par Théophile Hamel qui dépeint l’horrible impact de la famine irlandaise sur la ville. Il y a aussi plusieurs rapports de touristes qui ont photographié soit un homme en tuxedo ou un prêtre de l’extérieur des vitraux de l’église. Certains croient que le fantôme photographié n’est autre que le prêtre de la Famine M. Gottefrey, qui a subi une terrible blessure dans l’église plusieurs heures avant de mourir à l’été 1847 alors qu’il s’occupait de réfugiés irlandais.

Blogue #53 de Montréal hanté – Le pari fantomatique du Réseau Express Métropolitain

En novembre, des ouvriers qui creusaient un trou pour un pylône près du pont Victoria ont découvert les ossements d'une douzaine de victimes de la famine irlandaise de 1847 sur le site de la Roche Noire. Étant donné que ces réfugiés irlandais fuyaient vers l'ouest, il est tout à fait possible que leur esprit troublé revienne hanter le nouveau réseau de trains électriques.

Blogue #52 de Montréal hanté – Hôpital de la Miséricorde

Un survivant, qui s'est rendu sur place en 2003, a déclaré : "Quand nous marchons dans cette aile de l'hôpital où les mères célibataires ont accouché et qui est abandonnée depuis plusieurs années, nous pouvons encore entendre les pleurs des petits abandonnés. Il y a aussi les gémissements, les larmes, les prières de ces mères célibataires, qui sont comme les pleurs des petits abandonnés, imprégnés dans les murs et les boiseries de l'établissement. Nous les entendons encore aujourd'hui en 2003."

Blogue #50 de Montréal hanté – Les voleurs de corps à Montréal

Pendant la majorité du XIXe siècle, Montréal avait un grave problème de vol de corps. Avec la fondation de l'Université McGill en 1821, le département de médecine avait besoin de cadavres pour pouvoir étudier dans la classe d'anatomie. Malheureusement, à l'époque, il était illégal de procéder à des dissections humaines, sauf si cela faisait partie du châtiment d'un criminel. En effet, pour les pires criminels, cette peine ultime et honteuse était parfois inscrite dans les peines prononcées par les juges locaux.

Blogue #47 de Montréal hanté – La statue hantée de Jacques Cartier à Saint-Henri

Vers 21 heures, Marie-Josée était en train de mettre sa fille au lit quand elle entendit un rire venant de l'extérieur. Elle ouvrit la fenêtre pour voir s'il y avait des adolescents turbulents dans le quartier, mais ne vit personne dans la rue ou dans le parc d'en face. Alors qu'elle ne savait pas d'où le rire venait, elle a reconnu la voix comme étant un homme. Les rires devinrent de plus en plus forts et se transformèrent bientôt en un mélange de ricanements et de rires. Peu impressionné, Marie-Josée a fermé la fenêtre et sécurisé son loquet. Malheureusement, elle pouvait encore entendre le rire dérangé, bien que plus étouffé.

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