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Blogue de Montréal hanté #41 – Les pubs hantés et les bars de Montréal

Alors que Dublin, en Irlande, compte une quinzaine de pubs hantés et que Savannah, en Géorgie, “la ville la plus hantée des États-Unis”, compte environ 25 bars paranormaux, Montréal est clairement la meilleure métropole pour mélanger l’alcool avec des histoires de fantômes. Avec plus de 40 pubs hantés, Montréal est une ville idéale pour rendre prendre une biere tout en méditant sur le paranormal.

Blogue de Montréal hanté #40 – Les traditions du conte fantôme de Noël dans le Montréal victorien

Pendant ce temps, à Montréal, les histoires de fantômes ne manquaient pas pendant la saison des fêtes. En effet, les Montréalais ont embrassé l’hiver avec des carnavals fantastiques avec des châteaux de glace géants, des combats simulés impliquant des centaines de participants, des soirées de patinage à la somptueuse patinoire Victoria et de magnifiques feux d’artifice.

Blogue de Montréal hanté # 39 – le pub John Doe

À d'autres moments, le personnel a constaté que les robinets fonctionnaient lorsqu'ils étaient convaincus qu'ils étaient fermés. Dans un cas, un plongeuse a fermé le robinet dans la cuisine et s'est dirigé vers la salle de bain. À son retour, elle entendait l'eau couler et repéra le fantôme d'une jeune fille qui venait d'ouvrir le robinet. La fille fantomatique regarda directement dans ses yeux puis s’évanouit avec l’eau qui coulait toujours à fond

Blogue #38 de Montréal hanté – Ravenscrag

Ravenscrag est un hôtel particulier sur avenue des Pins, actuellement utilisé comme département de psychiatrie. Maintenant connu sous le nom d’Institut Allan Memorial, il s’agit d’un domaine très terrifiant qui, dit-on, serait extrêmement hanté. On sait que des voix torturées et désincarnées font écho aux couloirs. Non seulement les gardiens refusent souvent de nettoyer les morgues terrifiantes de l'immeuble, mais parfois, une lumière mystérieuse apparaît la nuit dans la coupole de la tour principale qui surplombe le campus de McGill.

Blogue #37 de Montréal hanté – La Calèche Fantôme

Les promenades en calèche à Montréal sont une tradition longtemps chérie. Depuis le 18ème siècle, des calèches transportant des touristes circulent autour de Montréal pour visiter les sites et les attractions touristiques. Parmi ceux qui conduisent les calèche nous avons des personnages colorés qui ont depuis longtemps dévoilé certains des secrets les plus bizarre et les plus sombres de Montréal. Cette tradition est sur le point de terminer en 2020 sur les ordres du nouveau maire de Montréal, Valerie Plante. Alors que la plupart des gens croient que sa décision a été influencée par les défenseurs des droits des animaux, certains spéculent qu’elle a décidé de les interdire pour une raison particulière: une calèche paranormale connue sous le nom de Calèche Fantôme qui mettait les touristes en danger.

Blogue #36 de Montréal hanté – Le fantôme victorien de Sainte-Anne-de-Bellevue

"C’était une jeune fille, d’environ dix ou onze ans, vêtue complètement en blanc — de ses rubans dans ses cheveux à sa robe, dont le style tirait à l’ancienne, ses gants blancs, ses chaussettes blanches, ses souliers blancs et autour d’elle une fraicheur presque bleue. Elle penchait en avant dans un angle étrange. La détermination était dans son regard comme si elle était forcée à marcher auprès de quelqu’un qui la menaçait, si ç’a du sens. C’était si discordant avec un samedi après-midi ensoleillé d’été. Elle marchait assez vite, et se dirigeait vers le pont qui nous fait quitter l’ile, et Brigitte et moi l’avons observée jusqu’à ce qu’elle disparût sous nos yeux. La robe n’était pas de notre temps, et au début nous pensions que c’était peut-être une robe chic de fête."

Blogue #35 de Montréal hanté – La Roche noire

En août 1942, les ouvriers de la compagnie Kennedy Construction firent une découverte horrible. Alors qu’ils creusaient un tunnel piétonnier sous la ville près du pont Victoria ils découvrirent douze « cercueils en pin pourri, noircis par les ans, dans un long tombeau style tranché au pied de la rue Bridge. La communauté irlandaise requit la permission du CNR et des dirigeants anglicans pour réenfouir les morts au site du monument. Permission accordée, les os furent enterrés près de la Pierre irlandaise, dans des cercueils gris plat, à la Toussaint, le 1er novembre 1942. La découverte servit à démentir que le site n’était pas, en effet, un cimetière.

Blogue #34 de Montréal hanté – L’ancien Hôpital Royal Victoria

En effet, l’une des raisons du déménagement est parce que le vieil hôpital fut déclaré trop hanté. Dans le passé, les visiteurs rapportaient avoir été parfois témoins d’apparitions d’anciens patients errant dans les couloirs, vêtus d’une chemise démodée des 1800. Des pas spectraux et l’écho des voix désincarnées pouvaient être entendus au fond des couloirs d’hôpitaux. Des sonnettes, dans des chambres vides, appelaient des infirmières à des patients non-existants. D’étranges anomalies lumineuses, tels des globes flottants et des lumières scintillantes, seraient apparues à l’occasion. Il fut dit que "les morts trépassaient ici, mais n’en partaient pas. "

Blogue de Montréal hanté #33 – La Chasse-galerie

Avec le passage du Nouvel An, la légende fantastique de La chasse-galerie est toujours fraiche dans l’esprit de plusieurs Montréalais, du seul fait que c’est la légende québécoise la plus fameuse qui se passe au Nouvel An. Selon la tradition, ceux qui entendent un bruit dans le ciel à la Saint-Sylvestre devraient lever les yeux, car ils y pourraient voir un canot volant rempli de bucherons terrifiés en chute libre vers l’enfer.

Blogue de Montréal hanté #32 – La Maison Maudite

Gisèle remarqua ensuite une agression sur le lit. Elle vit que sa mère se faisait violemment attaquer par deux garçons nus et spectraux. Leurs corps secouaient sous un rire sans son alors qu’ils enfonçaient leurs poings sur la face de Denise, meurtrie et sanglante. En pleurant, Gisèle courut immédiatement chez le voisin, et tenta difficilement d’expliquer ce qui lui était arrivé. Malheureusement, les dégâts étaient faits. Son père était déjà mort et sa mère fut trouvée comateuse. Dans un état catatonique, Denise fut emmenée à l’hôpital où les médecins furent incapables de la ranimer. Elle mourut trois mois plus tard.
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