Le blogue de Montréal, hanté, datant de 2019, a identifié 40 pubs, débits de boissons et autres établissements hantés dans la ville. Dans le secteur des bars, il arrive souvent que des lieux ferment et que de nouvelles entreprises voient, parfois même dans des bâtiments hantés. Une question revient souvent : les fantômes subsistent-ils lorsqu’un nouveau propriétaire reprend le débit de boissons ?
En 2024, le paysage des buvettes hantées a quelque peu changé à Montréal. Certains lieux ont fait faillite et ont été rouverts sous de nouvelles enseignes. D’autres ont été démolis et remplacés par des condos et de nouveaux débits de boissons hantés ont également été découverts !
Bienvenue au cent deuxième volet du blogue de Montréal hanté !
Avec plus de 500 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois !
Ce service est gratuit et vous pouvez vous inscrire à notre liste de diffusion (en haut à droite pour les ordinateurs de bureau et en bas pour les appareils mobiles) si vous souhaitez le recevoir tous les mois le 13 ! Le blog est publié en anglais et en français !
Avec l’hiver qui approche, nos visites publiques sont en pause jusqu’en mars, lorsque le temps se réchauffe. Notre première tournée extérieure est la marche spéciale Irish Famine in Montreal le samedi 16 mars à 13h (en anglais) ! Offerte seulement deux fois par année, cette tournée plonge dans les fantômes de la famine irlandaise à Montréal ! Lors de cette balade, nous expérimenterons également la réalité augmentée pour ressusciter des sites démolis et profanés !
Nous proposons également notre tournée des bars hantés tous les dimanches à 15h en anglais. Les visites en français ont lieu le dernier dimanche de chaque mois à 16h.
Les visites privées pour toutes nos expériences (y compris les visites en plein air) peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs. Les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite d’exploitation. Ces visites commencent à 215 $ pour de petits groupes jusqu’à 7 personnes. Envoyez un courriel à info@hauntedmontreal.com pour plus d’informations sur la façon de réserver une visite privée !
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Nous avons également une boutique en ligne pour ceux qui sont intéressés par les chèques-cadeaux et les produits de l’entreprise. Plus de détails sont ci-dessous dans notre section Nouvelles de la société !
Ce mois-ci, nous examinons les Écuries Youville dans le Vieux-Montréal, un charmant complexe en pierre qui abrite le célèbre Gibby’s Steakhouse. Cependant, un fantôme a été aperçu dans la cour en train de lire un livre – et il n’aime pas être dérangé !
Recherche hantée
Les écuries d’Youville sont un charmant complexe en pierre du Vieux-Montréal, construit en 1827 sur le terrain de l’hôpital des Sœurs grises, qui à l’origine servait d’entrepôt. Aujourd’hui, le site abrite le restaurant Gibby’s, l’un des meilleurs steakhouses de Montréal. Cependant, on rapporte que sa cour est hantée par un fantôme irascible, qui lit un livre assis sur un banc. Lorsqu’on s’approche de lui, il a tendance à lever les yeux comme s’il était agacé et à lancer un regard noir à ceux qui s’immiscent dans sa solitude, avant de disparaître en fumée.
Bien qu’il y ait eu plusieurs observations de ce fantôme, la plus importante fut rapportée par Sonny Orr, un écrivain et journaliste cri de Chisasibi.
Le 10 février 2010, il rédigea un article intitulé « CREEEPY CCCANAADA… » pour une publication autochtone intitulée for The Nation.
Dans cet article, il rapporte deux rencontres avec des fantômes, dont une dans la cour des écuries d’Youville.
Il explique :
« La première apparition eut lieu au populaire restaurant Gibby’s à Montréal, où, par une belle soirée il y a plusieurs années, nous assistions à un souper d’affaires et j’avais amené ma jeune fille avec nous. Comme les conversations sur les affaires n’étaient pas vraiment sa tasse de thé (ou de lait), nous avons décidé de faire une petite pause et de visiter la cour pittoresque couverte de lierre. Nous nous tenions par la main quand nous avons remarqué un homme tenant un livre, assis sur un banc un peu plus loin au fond de la cour ».
Ne voulant pas le déranger, ils décrivirent un cercle dans la cour et se retrouvèrent près de l’homme qui lisait tranquillement sur un banc.
Orr ajouta : « Il posa lentement son livre et nous regarda, d’abord d’un air agacé, puis d’un air mauvais. Son message de ne pas déranger était clair, sans qu’il ne prononce un mot. Étant poli de nature, je lui dis que c’était une belle soirée pour lire, mais il ne réagit pas, si ce n’est en nous jetant un regard encore plus sévère.Nous nous sommes donc éloignés. En nous retournant pour lui jeter un dernier coup d’œil avant de rentrer dans le restaurant, nous avons constaté qu’il n’était plus là. »
Des années plus tard, après qu’il avoir visionné un épisode de Creepy Canada portant sur le Vieux-Montréal, M. Orr déclara que « les poils de mon cou se sont raidis après avoir réalisé que ce que nous avions vu était un fantôme. »
M. Orr n’est pas le seul à avoir vécu une rencontre fantomatique aux écuries d’Youville. En effet, le complexe a déjà été surnommé les « écuries fantômes » par les chauffeurs de calèches de Montréal, aujourd’hui bannis. Le site possède une histoire fascinante.
La construction du complexe, composé de trois entrepôts en pierre massive, a débuté en 1826 pour l’inspecteur de la potasse Jean Bouthillier.
Depuis vingt ans, il exerçait son métier dans une cabane en bois située sur un grand terrain qu’il louait aux Sœurs grises par un bail de longue durée.
Cette année-là, il renouvela le bail à long terme avec son fils Louis-Tancrède, alors âgé de 32 ans. Ils projetèrent de démolir la structure en bois existante et de construire un complexe de trois entrepôts en pierre. Achevés en 1828, les deux entrepôts situés à l’est abritent un chantier de ferronnerie et une fabrique de clous, tout en étant principalement utilisés pour l’inspection de la potasse des Bouthilliers.
Construits en forme de fer à cheval comme les ensembles monastiques, les entrepôts furent bâtis dans la tradition néoclassique, avec des fenêtres à œil-de-bœuf, des frontons et des pierres d’angle. La façade en pierre de taille et la grande échelle de la propriété reflètent la prospérité et les méthodes de construction solides de l’époque.
Au centre, Jean Bouthillier créa une oasis de jardin tranquille suivant la forme en fer à cheval de l’architecture. À l’époque, la plupart des jardins de ce qui est aujourd’hui le Vieux-Montréal étaient interdits d’accès aux personnes peu fortunées. Les jardins privés étaient perçus comme des symboles de statut social pour les prêtres puissants, les citoyens riches et les marchands influents. Jean Bouthillier considérait donc sa petite cour comme un coin de paradis privé dans une zone urbaine par ailleurs très animée. C’était un endroit calme et verdoyant où il pouvait se détendre, recevoir des invités et échapper à l’agitation de l’environnement urbain.
C’est à cet endroit qu’il aimait prend une pause et tenir des conversations approfondies avec son fils, Louis-Tancrède. Jean Bouthillier l’encourage à maintenir ses investissements et à s’instruire. Il expliqua à son fils qu’il pouvait gravir l’échelle sociale grâce à des efforts soutenus, des investissements judicieux et un réseau social solide.
En 1832, Jean Bouthillier décéda. Louis-Tancrède fut effondré, mais il hérita d’une belle somme, dont 75 % du complexe et des biens. Les 25 % restants furent laissés à Pierre de Rastel de Rocheblave, beau-frère de son père.
Bouthillier utilisa le reste de son héritage pour acheter plusieurs propriétés à Montréal et dans les environs, dont une ferme à Côte-Sainte-Catherine. L’année suivante, il entreprit la construction d’une grande maison de briques à deux étages pour loger sa famille sur la ferme qu’il venait d’acquérir. Il nomma la propriété Outre-Mont, ce qui signifie en anglais « the other side of the mountain » (l’autre côté de la montagne). Il lui donna ce nom parce que sa propriété se trouvait sur le versant opposé du mont Royal par rapport à la ville de Montréal. C’est là, dans son opulente demeure, qu’il élèvera ses deux fils, Charles-Frontenac et Henri, avec son épouse Françoise-Geneviève.
Louis-Tancrède retourna régulièrement dans son oasis de jardin au complexe du Vieux-Montréal. Repensant à son père qui l’encourageait à viser haut, il restait souvent assis sur un banc dans la cour, étudiant les investissements des entreprises, la littérature célèbre et d’autres écrits.
Le travail de Louis-Tancrède porta ses fruits. En 1835, il fut nommé commissaire du canal de Lachine, puis commissaire des terres de la Couronne en 1838.
Lorsque de Rocheblave vendit ses parts à Louis Renaud en 1850, Louis-Tancrède décida de lui louer l’ensemble du complexe pour servir son commerce de grains et de provisions. Louis-Tancrède était trop occupé à progresser dans le monde pour perdre son temps dans le commerce des entrepôts.
En 1850, il endossa le rôle de receveur des douanes de Montréal. En 1863, Louis-Tancrède fut nommé shérif de la ville, poste qu’il occupa pendant près de dix ans. Il devient également président de la Société Saint-Jean-Baptiste en 1864.
En 1875, Louis-Tancrède fut honoré lorsque la région entourant sa maison fut reconnue comme un village et nommée Outremont, d’après la maison qu’il avait construite des décennies plus tôt. Comptant seulement 300 habitants, Outremont deviendra plus tard une municipalité très riche pour l’élite francophone de la ville.
Désormais à la retraite, Louis-Tancrède Bouthillier put se féliciter d’une carrière couronnée de succès. Non seulement il avait occupé certains des postes les plus importants de la ville, mais ses investissements avaient fait de lui un homme riche. Il avait également élevé une merveilleuse famille. Il se rappelait souvent son père aimant et les moments magnifiques qu’ils avaient passés ensemble dans l’oasis de la cour du complexe d’entrepôts en pierre du Vieux-Montréal.
Malheureusement, après une période de maladie, Louis-Tancrède Bouthillier mourut dans sa maison d’Outre-Mont le 28 février 1881. Le journal Le budget du samedi annonça :
« M. Louis-Tancrède Bouthillier, qui a rempli plusieurs fonctions publiques sous le gouvernement, mais qui s’est retiré depuis longtemps à cause de son âge avancé et de ses infirmités, est mort ici hier soir à l’âge de 85 ans. Il a notamment été commissaire des terres de la Couronne, percepteur des douanes et shérif de Montréal. »
En 1869, de retour au complexe de pierre, les Sœurs grises décidèrent de prendre en charge l’administration de leur propriété. Près d’un siècle plus tard, elles vendirent le terrain et les bâtiments au promoteur immobilier Écuries D’Youville Limitée.
Sous la direction de l’architecte Janusz Warunklewicz, la compagnie entreprit une restauration majeure du complexe en 1967. Le projet fut rebaptisé « Écurie Youville / Youville Stables », ce qui parut étrange, car la propriété n’avait jamais été utilisée pour accueillir des chevaux ou d’autres animaux.
Néanmoins, Gilbert (Gibby) Rosenberg fut très impressionné par le site et y installa son deuxième restaurant Gibby’s en 1972.
Il avait ouvert le premier établissement à Saint-Sauveur avec deux partenaires commerciaux en 1969. Le restaurant proposait des steaks et des fruits de mer haut de gamme. La critique gastronomique de la Montreal Gazette, Lesley Chesterman, décrivit le Gibby’s comme « sans doute le restaurant le plus populaire de Montréal ».
Beaucoup croient que le fantôme de la cour est celui de Louis-Tancrède Bouthillier, étant donné son amour pour le jardin-oasis. Il existe de nombreuses théories selon lesquelles les fantômes reviennent parfois dans les lieux qu’ils ont le plus aimé de leur vivant.
Cependant, certains détracteurs pensent que le fantôme n’est autre que François Dollier de Casson, le premier historien de Montréal.
Le 28 août 2008, Norman Goldman publia un article intitulé « A Summer Walk into Montreal’s Early Years under French Rule » (Une promenade estivale dans les premières années de Montréal sous le régime français) sur un blogue appelé BootsnAll : One Stop Indie Travel Guide. Goldman proposait ce qui suit :
« Si vous êtes à Montréal par une journée d’été ensoleillée et si vous voulez entendre et peut-être voir les fantômes du Montréal d’antan, faites une promenade dans le Vieux-Montréal. Le meilleur moment pour se lancer dans cette aventure est très tôt dans la journée, un samedi ou un dimanche, où vous rencontrerez peut-être Monsieur Dollier de Casson, père supérieur du Séminaire de Montréal et peut-être le premier urbaniste du Canada. »
François Dollier de Casson fut un personnage important dans les débuts de la colonie de Ville-Marie, l’ancienne ville de Montréal. Il naquit en France dans une riche famille bourgeoise et militaire en 1636. Après avoir servi dans l’armée française pendant trois ans, il décida d’étudier pour devenir prêtre. Une fois accepté dans l’ordre des Sulpiciens, il fut déployé en « Nouvelle-France », une mission qu’il accepta avec une certaine réticence.
Lorsqu’il arriva à Québec en 1666, ses supérieurs le nommèrent aumônier militaire de Prouville de Tracy, un commandant qui menait une campagne génocidaire contre la Première Nation mohawk, dont les Français tentaient de coloniser le territoire.
Dollier de Casson œuvra comme missionnaire et explorateur jusqu’à ce qu’il devienne supérieur des Sulpiciens en Nouvelle-France en 1671. Il contribua également à l’architecture des églises, fut vicaire général du diocèse de Québec et ordonna le premier arpentage de ce qui est aujourd’hui le Vieux-Montréal.
Il fut également l’un des principaux acteurs de la première tentative d’excavation du canal de Lachine, en 1689, qui se solda par un échec.
Bien connu comme religieux et autorité publique, Dollier de Casson s’autoproclama premier « historien » de la ville et rédigea Histoire du Montréal, 1640-1672, fascicules 1-5.
Qui plus est, Dollier de Casson apparaît avec un livre à la main dans un portrait officiel, ce qui renforce la théorie selon laquelle il serait le fantôme de la cour.
Fait remarquable, Dollier de Casson écrivit également sur les activités paranormales dans la colonie.
Dans un cas, il décrivit un « navire fantôme » arrivant dans le port de la ville par une journée brumeuse. Les colons ne parvinrent pas à se mettre d’accord sur le fait qu’il s’agissait ou non d’un navire, et celui-ci disparut par la suite sans avoir tenté la moindre forme de communication avec les habitants de Ville-Marie. Une autre histoire fait état d’un mouchoir taché de sang qui pouvait parler et même convertir les gens au catholicisme !
L’histoire la plus étrange de Dollier de Casson est peut-être celle d’un notaire nommé Jean Saint-Père, dont la tête décapitée se mit à harceler les guerriers Oneida après qu’ils l’eurent tué.
En 1701, Dollier de Casson mourut à l’âge de 65 ans au séminaire de Montréal. Ceux qui le soupçonnent d’être le fantôme de la cour croient qu’il aimait tellement la colonie qu’il a décidé d’y rester après sa mort.
Quoi qu’il en soit, les deux hommes soupçonnés d’être le fantôme aimaient manifestement le quartier qui est aujourd’hui le Vieux-Montréal.
Pour ceux qui songeraient à entrer dans la cour des écuries d’Youville, soyez prudents. Si vous apercevez un homme lisant un livre sur l’un des bancs, mieux vaut ne pas le déranger !
Nouvelles de la société
Montréal hanté est maintenant en mode hiver et se prépare pour une toute nouvelle saison !
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De plus, notre équipe diffuse un samedi sur deux, dans les deux langues, des vidéos d’histoires de fantômes du Blogue de Montréal hanté. Animée par Holly Rhiannon (en anglais) and Dr. Mab (en français), cette nouvelle initiative plaira à coup sûr aux fans d’histoires de fantômes !
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À venir le 13 mars : L’Auberge Saint-Gabriel
L’Auberge Saint-Gabriel est un bâtiment de pierre pittoresque situé au cœur du Vieux-Montréal. Construit en 1688 par un soldat français, le bâtiment est devenu la première auberge de la ville en 1754. Aujourd’hui, elle abrite un restaurant chic, mais on dit aussi qu’elle est hantée. De la musique de piano fantomatique à l’esprit d’une petite fille qui aurait brûlé vive lors d’un incendie, l’Auberge Saint-Gabriel est un foyer d’activité paranormale bien connu.
Auteur :
Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.
Traductrice :
Claude Chevalot détient une maîtrise en linguistique appliquée de l’Université Mcgill. Elle est rédactrice, réviseure et traductrice. Depuis plus de 15 ans, elle se consacre presque exclusivement à la traduction littéraire et à la traduction de textes sur l’art actuel et contemporain.
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