Le pavillon des arts de l’Université McGill est un symbole emblématique de l’établissement. Cette structure, construite en 1843, est la plus ancienne du campus et elle est également réputée comme hantée. Cela relève peut-être de son histoire mouvementée en tant que premier bâtiment où des étudiants en médecine pratiquèrent des autopsies expérimentales sur de pauvres cadavres, dont beaucoup avaient été volés dans des cimetières locaux.
Aujourd’hui, des pas fantômes résonnent dans le vieux bâtiment et certains étudiants ont rapporté avoir aperçu ce qui pourrait être le fantôme d’un ancien professeur d’anatomie.
Bienvenue au quatre-vingt-deuxième épisode du blogue Montréal hanté !
Avec plus de 500 histoires de fantômes documentées, Montréal est sans conteste la ville la plus hantée du Canada, voire de toute l’Amérique du Nord. Montréal hanté se consacre à la recherche de ces histoires paranormales et son blogue, Montréal hanté, dévoile une nouvelle histoire de fantômes se déroulant à Montréal le 13 de chaque mois !
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La visite du centre-ville hanté
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Notre tournée des pubs hantés est offerte tous les dimanches à 15 h en anglais et le dernier dimanche du mois à 16 h en français.
Alors que des visites publiques sont disponibles le samedi soir et le dimanche après-midi pour le Haunted Pub Crawl, des visites privées peuvent être réservées à tout moment en fonction de la disponibilité de nos acteurs.
Notre Visite hantée virtuelle est également disponible sur demande !
De plus, notre équipe diffuse chaque samedi des vidéos d’histoires de fantômes du Blogue de Montréal hanté, dans les deux langues!
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Ce mois-ci, nous explorons la croix de métal géante du mont Royal, qui serait hantée.
Recherche hantée
La croix du Mont-Royal est l’un des symboles les plus emblématiques de Montréal. Perchée sur la montagne et haute de 30 mètres, elle peut être vue jusqu’à quatre-vingts kilomètres de distance lorsqu’elle est illuminée la nuit.
Enracinée dans l’histoire coloniale de la ville, la croix symbolise le génocide pour de nombreux autochtones. La montagne ayant servi de lieu de sépulture pendant des millénaires pour les Mohawks et autres Premières nations, certains estiment que la croix du Mont-Royal profane ce lieu sacré.
Le 1er mai 2022, un groupe autochtone appelé les Mères Mohawk (Kanien’kehá:ka kahnistensera) déclara que le moment était venu de démonter la croix de Montréal sur la célèbre montagne de la ville.
Dans un reportage de Global News, elles firent remarquer que le symbole religieux repose sur un territoire autochtone non cédé.
Une autre résidente mohawk de Kahnawake, Elizabeth, réagit en disant : « Bien, je suis contente qu’ils veuillent enlever la croix. La croix représente les églises qui ont torturé ces pauvres enfants autochtones innocents ».
Elle ajouta :
« Montréal est hantée par des âmes sans repos, qui ont été enterrées partout dans la montagne, comme me l’a dit un jour un aîné. »
Ces informations sont corroborées par des preuves archéologiques et l’histoire orale autochtone. Il existe également des rumeurs de sépultures autochtones dans les environs de l’hôpital Royal Victoria, voire à la Croix du Mont-Royal elle-même.
Selon les experts, le site où se trouve la Croix du Mont-Royal est le théâtre d’une activité paranormale. Les chasseurs de fantômes ont capturé des photos d’orbes et des images floues de ce qui pourrait être des esprits rôdant dans la forêt.
Selon un enquêteur paranormal de Toronto : « Lorsque je suis arrivé à la structure métallique géante, j’ai immédiatement senti que quelque chose n’allait pas et j’ai été pris de panique. Alors que j’installais mon équipement, je sentais que des yeux me fixaient depuis la forêt. Mes oreilles se sont mises à brûler, comme si quelqu’un parlait de moi négativement. Cette nuit-là, j’ai enregistré toutes sortes de PVE (phénomènes de voix électroniques) et d’images fantomatiques. Je ne me suis jamais senti aussi mal à l’aise de ma vie que pendant l’enquête. Heureusement, ces sentiments se sont atténués alors que je descendis la montagne dans l’obscurité. »
Le Mont-Royal fait partie d’une chaîne de montagnes connue sous le nom de collines Montérégiennes.
Situé au centre de l’île de Montréal, il atteint 233 mètres à son point culminant. On dit souvent que le Mont-Royal est un ancien volcan éteint, et il fait effectivement partie d’un complexe volcanique très érodé, qui était probablement actif il y a environ 125 millions d’années.
Toute cette région était sous l’eau jusqu’à il y a environ 10 000 ans. Lorsque les eaux se sont retirées, la montagne est d’abord apparue comme une île.
Les ancêtres des Kanien’kehá : ka, ou Première nation mohawk, ont appelé l’île Tiotà:ke, ce qui signifie « là où les courants se rencontrent », car plus d’une douzaine de rivières se sont formées lorsque les eaux se sont retirées, Tiotà:ke étant au centre de leur convergence. Ils appelaient la montagne Otsirà:ke, ou le « lieu du feu », parce qu’ils érigeaient souvent un grand phare enflammé au sommet de la montagne pour guider les délégations commerciales et les diplomates d’autres Premières nations lors d’importantes conférences. La montagne était également considérée comme une terre sacrée et était utilisée pour les enterrements, les corps étant enterrés en position fœtale, comme le voulait la coutume.
Profitant de sols fertiles et d’un ensoleillement orienté vers le Sud, les ancêtres de la Première Nation Mohawk construisent une ville au pied de la montagne appelée Hotsirà : ken, un important centre commercial de plus de 5000 habitants. Hotsirà : ken est une ville sophistiquée ceinte d’une palissade en bois et comptant plus de 50 maisons longues. Les habitants ne se contentent pas de faire du commerce, mais cultivent aussi ce que l’on appelle les trois sœurs : le maïs, les haricots et les courges. Pendant des milliers d’années, la ville indigène pospère.
Cependant, en 1535, un explorateur français du nom de Jacques Cartier arrive sur l’île. Un an plus tôt, il avait revendiqué toute la région pour le roi de France en plantant une croix dans le sol dans la région de Gaspé, il explore maintenant le fleuve Saint-Laurent. Cartier est accueilli par les habitants de Hotsirà : ken, qu’il inscrit par erreur comme « Hochelaga ».
Le chef de la ville, du nom d’Agouhanna, est handicapé et est porté jusqu’à Cartier sur des peaux d’animaux. Selon Cartier : « Ce chef était complètement paralysé et privé de l’usage de ses membres. »
Guidé par les habitants autochtones de Hotsirà : ken, Jacques escalade la grande montagne Otsirà:ke et la rebaptise « Mont Royal », en l’honneur du roi français François Ier.
Le nom appartait sur les cartes ultérieures utilisées par les navigateurs européens et le nom finit par s’imposer. Aujourd’hui, la grande majorité des Montréalais ne savent pas que le nom original du « Mont Royal » était Otsirà:ke.
Les Français ne revennient en force qu’en 1642. La ville de montagne de Hotsirà : ken a mystérieusement disparu, ouvrant la voie à la colonisation de l’île, selon les Français. En réalité, les Mohawks de Hotsirà : ken se sont retirés temporairement vers le Sud, au cœur de leur territoire, dans la vallée des Mohawks, en raison de la guerre avec d’autres Premières nations alliées aux Français et d’une épidémie apportée par les colonisateurs français.
Paul de Chomedey, Sieur de Maisonneuve, est envoyé par une organisation catholique ultra-religieuse de Paris appelée « Société Notre-Dame pour la conversion des peuples sauvages de la Nouvelle France » pour établir une colonie. Je ne plaisante pas, c’est vraiment comme ça que ça s’appelait !
En 1642, il arrive avec trois bateaux de soldats, de colons et d’autorités religieuses et ils établissent un fort appelé Ville-Marie dans ce qui est maintenant le Vieux-Montréal.
Nommé en l’honneur de la Vierge Marie, ce fort devait être une sorte de nouvelle Jérusalem, une ville religieuse consacrée à la conversion des Premières Nations au christianisme. La colonie connaît une paix relative jusqu’à ce que la Première nation Mohawk apprenne l’année suivante que les Français ont colonisé Tiotà:ke, ce qui déclenche une guerre brutale entre Français et Mohawks qui durera jusqu’en 1701.
Avant la guerre, la jeune colonie religieuse fait face à un désastre le 24 décembre 1642, leur première veille de Noël. Un embâcle fait monter les eaux du fleuve Saint-Laurent, menaçant d’inonder la colonie. Le sieur de Maisonneuve, Jeanne Mance et les colons prient la Vierge Marie de les délivrer de la montée des eaux sur le point d’inonder leur fort.
De Maisonneuve construit une croix en bois à cet endroit et promet de la porter au sommet du mont Royal si l’inondation se calme. Miraculeusement, les eaux se retirent.
Fidèle à sa parole, le 6 janvier 1643, de Maisonneuve gravit la montagne et plante une croix de bois sur le mont Royal pour remercier Dieu d’avoir épargné l’établissement de Ville-Marie des inondations.
L’emplacement de cette croix n’est pas le même que celui du symbole actuel. En effet, elle est située beaucoup plus bas sur la montagne, quelque part le long du chemin de la Côte-des-Neiges, au nord du Grand Séminaire de Montréal.
Lors d’un pèlerinage à la croix en 1653, de Maisonneuve découvre que la croix a été détruite par les Kanien’kehá : ka. Il confie à l’institutrice Marguerite Bourgeoys, nouvellement arrivée, la mission d’ériger une nouvelle croix et de la protéger par une palissade de pieux. Accompagnée de trente hommes et d’un habile charpentier nommé Gilbert Barbier, Bourgeoys passe trois jours à superviser la construction d’une nouvelle croix entourée d’une palissade en bois.
Plus tard, Bourgeoys participera à la fondation du premier pensionnat du Canada moderne, l’inquiétant pensionnat Fort de la Montagne.
Lorsque l’armée britannique prend le contrôle de la ville en 1760, la croix est enlevée. Les autorités britanniques, en tant que protestants, souhaitent que ce symbole catholique proéminent soit retiré du paysage urbain.
Au cours du 19e siècle, les catholiques se manifestent et demandent que l’on érige un autre symbole religieux sur la montagne. Lorsque le maire anticlérical Honoré Beaugrand reçoit une proposition pour une statue « titanesque » de bronze de la Vierge Marie, haute de 61 mètres, il rejette immédiatement cette idée.
Elle aurait été beaucoup plus haute que la statue de la Liberté, qui mesure 38 mètres.
Au début du XXe siècle, la Société catholique Jean Baptiste propose d’ériger une nouvelle croix sur la montagne, une version beaucoup plus haute qui serait installée au sommet. Cette fois, elle a un allié en la personne du maire Médéric Martin, un catholique qui aimait semer la zizanie chez les résidents anglophones de Montréal.
La croix en acier est conçue par un prêtre sulpicien. Pendant que les architectes préparent les dessins, d’autres adeptes recueillent des fonds. Plus de 4 000 adultes catholiques et 100 000 enfants vendent des timbres commémoratifs à 0,5 $ l’unité, ce qui permet de recueillir 10 000 $ au cours de la longue campagne.
Pesant 26 000 kilos, la croix est en acier et se compose de 1 830 pièces reliées par 6 000 rivets. Les plans initiaux prévoient une tour d’observation au sommet de la croix, mais cette idée est abandonnée pour des raisons financières.
Le 24 décembre 1924, la croix est illuminée pour la première fois, ce qui permet de la voir à environ 80 kilomètres de distance.
Il convient également de noter que la croix change parfois de couleur. Autrefois, les ampoules à incandescence devaient être changées manuellement, une tâche qui prenait beaucoup de temps. En 1992, un système de fibre optique a été installé pour remplacer les ampoules vétustes.
La couleur peut maintenant être modifiée en appuyant sur un interrupteur.
Elle passe généralement d’une couleur dorée blanchâtre à un violet profond lorsqu’un pape catholique meurt. Elle demeure ainsi jusqu’à ce qu’un nouveau pape soit choisi, et reprend alors sa couleur d’origine.
Ce fut le cas pour les papes Pie XII en 1958, Paul VI et Jean Paul I en1978 et pour Jean Paul II en 2005. Lorsque le pape Benoît XVI a pris sa retraite (au lieu de mourir) en 2013, de nombreux Montréalais furent déçus que la croix ne change pas de couleur.
La croix a également changé de couleur : violet pour la mort du roi George V (1936), jaune pour la « Grande Mission », un événement du diocèse de Montréal (1960), bleu lors des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste sur le Mont-Royal (1975), et rouge pour marquer une marche contre le sida dans les années 1980.
En 2004, la Ville prend officiellement possession de la Croix, offerte par la Société Saint-Jean-Baptiste. Aujourd’hui, elle est équipée de caméras et de détecteurs de mouvement qui alertent la police dès que quelqu’un tente de l’escalader.
Pour en revenir à la question de savoir si la Croix du Mont-Royal a pu être érigée sur un cimetière autochtone, cette théorie est tout à fait possible.
Historiquement, les Européens n’ont montré pratiquement aucun respect pour les nombreux cimetières autochtones qui se trouvent sur la montagne et ailleurs sur l’île. Dans Lumières sous la ville : Quand l’archéologie raconte Montréal, des archéologues ont localisé l’emplacement exact de certains de ces cimetières indigènes.
L’un d’eux se trouve en fait sous le cimetière protestant du Mont-Royal, qui a été construit sur des tombes indigènes. Il n’est pas surprenant que le fantôme le plus connu qui erre dans le cimetière soit celui d’un guerrier algonquin.
On en trouve un autre exemple sur une carte coloniale où le cartographe a noté un « Cimetière des sauvages » (une expression raciste pour désigner un cimetière indigène) juste à l’extérieur des murs de la ville, au nord du Séminaire des Sulpiciens.
Il existe très peu de connaissances historiques sur les personnes qui ont été enterrées à cet endroit et sur les raisons de cet enterrement.
S’agit-il des indigènes tués ou exécutés par les autorités françaises ? Est-ce que ce sont ceux qui se sont convertis au catholicisme et qui sont décédés ? Ou bien le cimetière était-il déjà présent lorsque les Français ont colonisé l’île ? C’est certainement un mystère.
Aujourd’hui, un condominium de luxe appelé Les Étolies se trouve sur le site et il n’y a même pas de plaque historique pour marquer l’emplacement du cimetière autochtone, aujourd’hui détruit.
La construction sur des lieux de sépulture indigènes est un thème commun à de nombreux romans et films d’horreur et cela se termine presque toujours mal.
La Croix du Mont-Royal étant considérée comme un symbole de génocide par de nombreux peuples autochtones, l’idée de la retirer vaut certainement la peine d’être débattue.
Pendant trop longtemps, les colons européens ont insisté pour que l’histoire, la culture et les langues autochtones soient effacées et remplacées par des versions européennes. À l’ère de la vérité et de la réconciliation, le moment est venu de trouver des moyens d’inverser cette tendance inquiétante.
Nouvelles de l’entreprise
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Il s’agit de notre deuxième récompense après le prix Travel and Hospitality pour « pour l’expérience la plus unique de l’année au Québec » remporté en 2019.
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Pour les visites privées, les clients peuvent demander n’importe quelle date, heure, langue et visite. Ces visites sont basées sur la disponibilité de nos comédiens et commencent à 170 $ pour des petits groupes jusqu’à 7 personnes.
Envoyez un courriel à info@hauntedmontreal.com pour plus d’informations sur la façon de réserver une visite privée !
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Si vous avez apprécié l’expérience, nous vous encourageons à écrire une critique sur notre page Tripadvisor, ce qui aide vraiment Montréal hanté à commercialiser ses circuits.
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À venir le 13 juillet : Le fantôme de Jeanne Le Ber
Jeanne Le Ber était une catholique recluse qui paya pour une nouvelle église à condition qu’elle puisse y vivre à l’étroit derrière l’autel. L’une des personnalités les plus vénérées de la Nouvelle-France, elle était connue pour s’autoflageller, se prosterner devant l’autel, prier, coudre et manger les restes des pauvres. Récemment, son fantôme a été aperçu près de l’emplacement de l’église aujourd’hui démolie qui fut autrefois sa demeure, à l’angle ouest du boulevard Saint-Laurent et Les cours Le Royer, dans le Vieux-Montréal.
Auteur :
Donovan King est un historien postcolonial, il est également enseignant, guide touristique et acteur professionnel. En tant que fondateur de Montréal hanté, il combine ses compétences pour créer les meilleures histoires de fantômes, se déroulant à Montréal, à la fois en écriture et en théâtre. King est titulaire d’un DEC (théâtre professionnel, collège John Abbott), d’un baccalauréat en Beaux-Arts (théâtre dramatique en éducation, université de Concordia), d’un baccalauréat en éducation (histoire et enseignement de l’anglais, université de McGill), d’une maîtrise en théâtre (université de Calgary) et d’AEC (Montréal guide touristique, Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec). Il est également certifié comme Spécialiste de Destination Montréal.
Traductrice :
Claude Chevalot détient une maîtrise en linguistique appliquée de l’Université Mcgill. Elle est rédactrice, réviseure et traductrice. Depuis plus de 15 ans, elle se consacre presque exclusivement à la traduction littéraire et à la traduction de textes sur l’art actuel et contemporain.
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