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Blogue de Montréal hanté #28 – Le Cercle des professeurs de McGill

Le Cercle des profs de McGill est le genre de lieu où littéralement on entend des choses la nuit. Les portes des étages supérieurs claquent par elles-mêmes. Le personnel rapporte que l’ascenseur bouge parfois entre les étages, inexplicablement, sans passagers. Dans la salle des billards, les boules se déplacent seules, comme si des esprits invisibles y jouaient. Certains domestiques sont énervés par les nombreux portraits sur les murs : les yeux peints les suivent, affirment-ils.

Blogue de Montréal hanté #6 – Le tour de fantômes Haunted Griffintown et l’esprit de la bibliothèque McLennan

Le sixième étage de la bibliothèque McLennan est prétendument hanté par l’apparition spectrale d’un vieil homme portant un étrange manteau. Il est connu pour flotter tranquillement au-dessus du sol, tantôt en direction d’étudiants profondément plongés dans un livre ou encore de bibliothécaires qui s’affairent à remplir les étagères. Une fois qu’elle a choisi sa cible, l’apparition est réputée pour se glisser derrière celle-ci et se cacher en restant presque tout à fait immobile. Elle fixe alors sa victime jusqu’à ce que celle-ci le remarque. Quand la personne se met tout à coup à réagir, habituellement en bondissant de sa chaise et en criant, le fantôme est dit se métamorphoser dans les airs, laissant alors la victime honteuse d’avoir brisé le silence serein qui fait que la bibliothèque McLennan est si prisée.

Blogue de Montréal hanté #2 – La maison Duggan

Le bâtiment est présentement utilisé par la Faculté d'Éducation. Un jour durant les années 90, une jeune étudiante a fait une rencontre terrifiante dans la maison Duggan. Elle devait alors rencontrer un de ses professeur dans le hall principal du bâtiment. Quand elle est entrée, il était assis dans un fauteuil à l'attendre. L'étudiante s'est assise en face de lui, a déposé son sac sur le sol, à sa droite, et a ouvert son cahier de notes. Elle s'apprêtait à lui expliquer où en étaient ses pistes de recherche quand soudainement elle s’est figée et s’est arrêtée net de parler. Elle était bouche bée et fixait la pénombre de la cage d’escalier en colimaçon, à la gauche du professeur. L’étudiante semblait tétanisée par la panique, elle pointa du doigt la cage d’escalier et poussa un hurlement. Le spectre d’une femme, vêtue d’un jupon du 19e siècle, s’était matérialisé dans le haut de la cage d’escalier en colimaçon et commençait à descendre dans le hall. La jeune femme criait maintenant hystériquement, ce qui entraina le professeur dans sa panique. Il retourna immédiatement sa chaise pour faire face au danger imminent qui terrorisait son étudiante… il ne vit rien.

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