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Blogue Montréal hanté #100 – Nips Daimon

En 1862, l'auteur C.E. Bockus écrit une histoire de fantômes qui se déroule à Montréal et qui s'intitule " Nips Daimon ". Publiée à Londres dans l'édition de mai de Once a Week, ce récit effrayant mettant en scène un lugeur du mont Royal, Eugène Roy, et ses mésaventures avec un esprit mort-vivant, s'inspirait d'une véritable histoire de fantômes, celle de Simon McTavish et de son château hanté. Basé sur la véritable histoire de Simon McTavish et de son château hanté, "Nips Daimon" ajoute une nouvelle dimension à l'héritage dérangé du baron de la fourrure oublié. Réputé pour dévaler les pentes des montagnes en toboggan dans son cercueil la nuit, le fantôme de McTavish aurait terrorisé les habitants de la ville dans les années 1800. L'histoire de McTavish est largement considérée comme la "légende canadienne de Sleepy Hollow" et la version romancée de C.E. Bockus ajoute à son mystère et à son intrigue.

Blogue #66 de Montréal hanté – Les châteaux de glace hantés de l’ère victorienne à Montréal

Les châteaux de glace étaient également hantés par la rumeur selon laquelle la place du Dominion était établie sur l'ancien cimetière du choléra de Saint Antoine qui avait fermé en 1799 parce qu'il était plein. Avec des dizaines de milliers de cadavres enterrés sous le parc, la rumeur voulait que les morts soient mécontents de ces célébrations qui se déroulaient dans leur cimetière.

Blogue de Montréal hanté #40 – Les traditions du conte fantôme de Noël dans le Montréal victorien

Pendant ce temps, à Montréal, les histoires de fantômes ne manquaient pas pendant la saison des fêtes. En effet, les Montréalais ont embrassé l’hiver avec des carnavals fantastiques avec des châteaux de glace géants, des combats simulés impliquant des centaines de participants, des soirées de patinage à la somptueuse patinoire Victoria et de magnifiques feux d’artifice.

Blogue #36 de Montréal hanté – Le fantôme victorien de Sainte-Anne-de-Bellevue

"C’était une jeune fille, d’environ dix ou onze ans, vêtue complètement en blanc — de ses rubans dans ses cheveux à sa robe, dont le style tirait à l’ancienne, ses gants blancs, ses chaussettes blanches, ses souliers blancs et autour d’elle une fraicheur presque bleue. Elle penchait en avant dans un angle étrange. La détermination était dans son regard comme si elle était forcée à marcher auprès de quelqu’un qui la menaçait, si ç’a du sens. C’était si discordant avec un samedi après-midi ensoleillé d’été. Elle marchait assez vite, et se dirigeait vers le pont qui nous fait quitter l’ile, et Brigitte et moi l’avons observée jusqu’à ce qu’elle disparût sous nos yeux. La robe n’était pas de notre temps, et au début nous pensions que c’était peut-être une robe chic de fête."

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