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Blogue #54 de Montréal hanté – Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours

L’église est entourée de mystère. Non seulement les corps de plusieurs religieuses sont enterrés dans la crypte, mais c’est également là que se trouvent les restes sacrés de Sainte Marguerite Bourgeoys, une statue miraculeuse et un tableau de 1848 probablement hanté appelé « Le Typhus » par Théophile Hamel qui dépeint l’horrible impact de la famine irlandaise sur la ville. Il y a aussi plusieurs rapports de touristes qui ont photographié soit un homme en tuxedo ou un prêtre de l’extérieur des vitraux de l’église. Certains croient que le fantôme photographié n’est autre que le prêtre de la Famine M. Gottefrey, qui a subi une terrible blessure dans l’église plusieurs heures avant de mourir à l’été 1847 alors qu’il s’occupait de réfugiés irlandais.

Blogue de Montréal hanté #42 – L’Oratoire Saint-Joseph

"La fameuse cathédrale où le Frère André aurait travaillé aurait plusieurs visiteurs d’outre-tombe apparemment. Quelques touristes ont en effet aperçu des prêtres en tunique, et quand ils se sont approchés d’eux… ils se seraient évaporés ! De plus, on raconte que le Frère André lui-même apparaîtrait de temps à autre dans la petite chapelle où l’on avait exposé son cœur."

Blogue de Montréal hanté #11 – L’église évangélique St. John

Alors que de nouveaux théâtres, cinémas et salles de spectacle se multiplient, l’église évangélique St. John campe fermement au coin de la rue Saint-Urbain et de l’avenue Président-Kennedy. Elle est à la fois un rappel architectural d’une époque antérieure et une église anglo-catholique pleinement opérationnelle qui continue de servir sa congrégation et qui sert de maison d’accueil pour les nécessiteux. Ce que des milliers de touristes qui flânent autour durant la saison des festivals ne réalisent pas c’est que l’église au toit rouge est réputée hantée depuis fort longtemps. Cependant, les hantises sont extrêmement inhabituelles : elles sont minimes. Fait intéressant, au lieu des troublantes zones froides et autres déplaisantes manifestations paranormales, l’esprit qui hante l’église est décrit comme très doux. En effet, des "zones chaudes" sont connues pour se matérialiser à l’occasion, réconfortant les paroissiens assez chanceux pour les expérimenter. Le sentiment, selon un pratiquant s’apparente à celui "d’être embrassé par un être cher."
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