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Blogue #55 de Montréal hanté – Le pari fantomatique du Réseau Express Métropolitain (2ème partie)

Les fantômes se régaleront du côté électrique. Ils cherchent une source pour pouvoir se manifester, donc oui, les fantômes vont hanter le REM. Je te le dis, vous verrez des gens se plaindre de choses étranges qui se passent au REM et aux personnes qui y travaillent. Les fantômes vont même causer des problèmes au niveau du train et il y aura souvent des pénuries d'électricité et des dysfonctionnements du train.

Blogue #54 de Montréal hanté – Chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours

L’église est entourée de mystère. Non seulement les corps de plusieurs religieuses sont enterrés dans la crypte, mais c’est également là que se trouvent les restes sacrés de Sainte Marguerite Bourgeoys, une statue miraculeuse et un tableau de 1848 probablement hanté appelé « Le Typhus » par Théophile Hamel qui dépeint l’horrible impact de la famine irlandaise sur la ville. Il y a aussi plusieurs rapports de touristes qui ont photographié soit un homme en tuxedo ou un prêtre de l’extérieur des vitraux de l’église. Certains croient que le fantôme photographié n’est autre que le prêtre de la Famine M. Gottefrey, qui a subi une terrible blessure dans l’église plusieurs heures avant de mourir à l’été 1847 alors qu’il s’occupait de réfugiés irlandais.

Blogue #53 de Montréal hanté – Le pari fantomatique du Réseau Express Métropolitain

En novembre, des ouvriers qui creusaient un trou pour un pylône près du pont Victoria ont découvert les ossements d'une douzaine de victimes de la famine irlandaise de 1847 sur le site de la Roche Noire. Étant donné que ces réfugiés irlandais fuyaient vers l'ouest, il est tout à fait possible que leur esprit troublé revienne hanter le nouveau réseau de trains électriques.

Blogue #35 de Montréal hanté – La Roche noire

En août 1942, les ouvriers de la compagnie Kennedy Construction firent une découverte horrible. Alors qu’ils creusaient un tunnel piétonnier sous la ville près du pont Victoria ils découvrirent douze « cercueils en pin pourri, noircis par les ans, dans un long tombeau style tranché au pied de la rue Bridge. La communauté irlandaise requit la permission du CNR et des dirigeants anglicans pour réenfouir les morts au site du monument. Permission accordée, les os furent enterrés près de la Pierre irlandaise, dans des cercueils gris plat, à la Toussaint, le 1er novembre 1942. La découverte servit à démentir que le site n’était pas, en effet, un cimetière.

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